La finale de l'édition 2021 de la Ligue des Champions se déroulera à Göteborg. A l'occasion des 400 ans de la fondation de la ville suédoise de Göteborg, celle-ci accueillera la finale de la plus prestigieuse compétition du club en Europe. Une décision prise à Bakou ce mercredi 29 mai par l'UEFA. Après Budapest cette année, Vienne la saison prochaine, ce sera plus au Nord que se décernera le trophée européen au Ullevi Stadium. Un stade qui avait accueilli 4 matchs de l'Euro 2013 et accueille aussi régulièrement la sélection suédoise féminine. La Suède avait déjà accueilli des finales de Ligue des Champions mais avant la réforme en match simple avec Umeå et Djurgården.
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Ligue des Champions - La finale 2021 à Göteborg
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Coupe du Monde - Groupe E : Présentation des PAYS-BAS (5/24)
Championnes d'Europe en titre, les Néerlandaises se sont qualifiées pour leur deuxième Coupe du Monde à l'issue des barrages.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 8e
Meilleur classement FIFA : 7e (09/2017)
Premier match de la sélection : 17 avril 1971 contre la France (0-4) (Premier match avec la KNVB : 9 novembre 1973 contre l'Angleterre 0-1)
Plus large victoire : 13-1 contre la Macédoine (29 octobre 2009) et 12-0 contre l'Israël (22 août 1977)
Plus large défaite : 0-7 contre la Suède (26 septembre 1981)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Nouvelle-Zélande (Le Havre)
15 juin 2019 : Cameroun (Valenciennes)
20 juin 2019 : Canada (Reims)
Meilleur classement FIFA : 7e (09/2017)
Premier match de la sélection : 17 avril 1971 contre la France (0-4) (Premier match avec la KNVB : 9 novembre 1973 contre l'Angleterre 0-1)
Plus large victoire : 13-1 contre la Macédoine (29 octobre 2009) et 12-0 contre l'Israël (22 août 1977)
Plus large défaite : 0-7 contre la Suède (26 septembre 1981)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Nouvelle-Zélande (Le Havre)
15 juin 2019 : Cameroun (Valenciennes)
20 juin 2019 : Canada (Reims)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 1
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Huitième (2015)
Bilan général en Coupe du Monde : quatre matches, une victoire, un match nul, deux défaites, 3 buts pour, 4 buts contre
Plus large victoire : 1-0 face à la Nouvelle-Zélande (2015)
Plus large défaite : 1-2 contre le Japon (2015), 0-1 contre la Chine (2015)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :9 joueuses avec 4 matchs
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Kirsten van de Ven, 2 buts (2015)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Huitième (2015)
Bilan général en Coupe du Monde : quatre matches, une victoire, un match nul, deux défaites, 3 buts pour, 4 buts contre
Plus large victoire : 1-0 face à la Nouvelle-Zélande (2015)
Plus large défaite : 1-2 contre le Japon (2015), 0-1 contre la Chine (2015)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :9 joueuses avec 4 matchs
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Kirsten van de Ven, 2 buts (2015)
Qualifications
Les Pays-Bas ont vu la qualification directe leur échapper lors de la dernière journée des qualifications, avec une défaite en Norvège coûteuse, car les championnes d'Europe avaient réalisé un match nul face à l'Irlande fin 2017 qui les plaçait sous la menace de la Norvège en cas de défaite. Mais, qualifiée pour les barrages, la sélection néerlandaise éliminait d'abord le Danemark, en remportant les matches aller et retour (4-1 en cumulé), puis la Suisse, nettement battue au match aller avant un match nul au retour (4-1 en cumulé), pour obtenir le droit de disputer sa deuxième Coupe du monde consécutive.
Date de qualification : 13 novembre 2018
Bilan des qualifications
12 matchs, 9 victoires, 2 nuls, 1 défaite, 30 buts pour, 4 buts contre
Norvège (1-0, 1-2) ; Slovaquie (5-0, 1-0) ; Irlande (0-0, 2-0) ; Irlande du Nord (7-0, 5-0) ; Danemark (2-0, 2-1) ; Suisse (3-0, 1-1)
Sélectionneure : Wiegman-Glotzbach (12)
Bilan joueuses/buteuses
G : Van Veenendaal (7), Geurts (4)
D : Worm (4), van Es (6), van der Most (2), Bloodworth (12)
M : van de Donk (11/1 but), Spitse (12/6), Martens (12/4), van Lunteren (9), Dekker (9), Roord (10), Groenen (11/1)
A : Beerensteyn (11/5), E.Jansen (2), R.Jansen (9), van de Sanden (12/3), Miedema (9/7), van Dongen (1)
Date de qualification : 13 novembre 2018
Bilan des qualifications
12 matchs, 9 victoires, 2 nuls, 1 défaite, 30 buts pour, 4 buts contre
Norvège (1-0, 1-2) ; Slovaquie (5-0, 1-0) ; Irlande (0-0, 2-0) ; Irlande du Nord (7-0, 5-0) ; Danemark (2-0, 2-1) ; Suisse (3-0, 1-1)
Sélectionneure : Wiegman-Glotzbach (12)
Bilan joueuses/buteuses
G : Van Veenendaal (7), Geurts (4)
D : Worm (4), van Es (6), van der Most (2), Bloodworth (12)
M : van de Donk (11/1 but), Spitse (12/6), Martens (12/4), van Lunteren (9), Dekker (9), Roord (10), Groenen (11/1)
A : Beerensteyn (11/5), E.Jansen (2), R.Jansen (9), van de Sanden (12/3), Miedema (9/7), van Dongen (1)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
les joueuses sélectionnées évoluent dans différents championnats, principalement à domicile et en Angleterre (6). L'autre moitié de la liste évolue en Allemagne, France, Norvège ou encore en Suède. Sarina Wiegman a joué sur la continuité, puisque non moins de 17 joueuses appelées ont été sacrées championnes d'Europe il y a deux ans, dont la quasi-intégralité de l'équipe-type.
Les absentes
il n'y en a pas. Plusieurs joueuses qui ont une certaine expérience de la sélection sont réservistes, mais aucune n'avait un rôle dans le groupe tel que son absence serait un coup dur pour la sélection.
Equipe-type
Dans un système en 4-3-3 habituel, Sari van Veenendaal devrait être titulaire dans les buts, Loes Geurts étant numéro 1 bis. La défense préférentielle devrait être composée du quatuor Kika Van Es à gauche, Desiree Van Lunteren à droite, et le duo Dekker/Bloodworth en défense centrale, avec Stephanie van der Gragt comme alternative. Le trio au milieu du terrain est composé de Sherida Spitse, Jackie Groenen et Danielle van de Donk, Jill Roord se présentant comme la première remplaçante. En attaque, Lieke Martens occupe le côté gauche, Vivianne Miedema celui d'avant-centre, et le côté droit peut être occupée soit par Shanice van de Sanden, soit Lineth Beerensteyn, qui peut également suppléer Miedema en pointe.
les joueuses sélectionnées évoluent dans différents championnats, principalement à domicile et en Angleterre (6). L'autre moitié de la liste évolue en Allemagne, France, Norvège ou encore en Suède. Sarina Wiegman a joué sur la continuité, puisque non moins de 17 joueuses appelées ont été sacrées championnes d'Europe il y a deux ans, dont la quasi-intégralité de l'équipe-type.
Les absentes
il n'y en a pas. Plusieurs joueuses qui ont une certaine expérience de la sélection sont réservistes, mais aucune n'avait un rôle dans le groupe tel que son absence serait un coup dur pour la sélection.
Equipe-type
Dans un système en 4-3-3 habituel, Sari van Veenendaal devrait être titulaire dans les buts, Loes Geurts étant numéro 1 bis. La défense préférentielle devrait être composée du quatuor Kika Van Es à gauche, Desiree Van Lunteren à droite, et le duo Dekker/Bloodworth en défense centrale, avec Stephanie van der Gragt comme alternative. Le trio au milieu du terrain est composé de Sherida Spitse, Jackie Groenen et Danielle van de Donk, Jill Roord se présentant comme la première remplaçante. En attaque, Lieke Martens occupe le côté gauche, Vivianne Miedema celui d'avant-centre, et le côté droit peut être occupée soit par Shanice van de Sanden, soit Lineth Beerensteyn, qui peut également suppléer Miedema en pointe.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : collectif, complémentarité, présence physique, vitesse dans les couloirs
§ Points faibles : défense lourde, existe-t-il un plan B ?
§ Joueuses clés : l'équipe telle qu'elle est construite fonctionne comme un tout, chaque joueuse ayant son rôle dans le collectif.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : la recette est immuable pour l'instant, avec une défense imposante physiquement mais plutôt lourde, un trio complémentaire au milieu, qui propose aussi bien physique que technique, deux flèches sur les côtés, et une avant-centre efficace qui joue un rôle dans la construction du jeu.
La joueuse à suivre
Parce qu'elle est trop souvent sous-estimée, Danielle van de Donk. La numéro 10 batave est une joueuse intelligente qui permet de fluidifier le jeu, notamment avec Jackie Groenen, et à ses coéquipières de briller.
La sélectionneure
Sarina Wiegman-Glotzbach est une ancienne internationale néerlandaise qui fut la première à passer le cap des 100 sélections. Elle a débuté sa carrière d'entraineur il y a plus de 10 ans, et n'était pas étrangère à la sélection A avant d'être nommée définitivement début 2017, puisqu'elle avait déjà été adjointe, et même sélectionneure par intérim après la dernière Coupe du monde. Pour sa première compétition à la tête de la sélection elle a remporté l'Euro qui était disputé à domicile, et remporté le titre de Meilleur Entraineur de l'année décerné par la FIFA. Elle va disputer sa première Coupe du monde avec la sélection.
§ Points forts : collectif, complémentarité, présence physique, vitesse dans les couloirs
§ Points faibles : défense lourde, existe-t-il un plan B ?
§ Joueuses clés : l'équipe telle qu'elle est construite fonctionne comme un tout, chaque joueuse ayant son rôle dans le collectif.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : la recette est immuable pour l'instant, avec une défense imposante physiquement mais plutôt lourde, un trio complémentaire au milieu, qui propose aussi bien physique que technique, deux flèches sur les côtés, et une avant-centre efficace qui joue un rôle dans la construction du jeu.
La joueuse à suivre
Parce qu'elle est trop souvent sous-estimée, Danielle van de Donk. La numéro 10 batave est une joueuse intelligente qui permet de fluidifier le jeu, notamment avec Jackie Groenen, et à ses coéquipières de briller.
La sélectionneure
Sarina Wiegman-Glotzbach est une ancienne internationale néerlandaise qui fut la première à passer le cap des 100 sélections. Elle a débuté sa carrière d'entraineur il y a plus de 10 ans, et n'était pas étrangère à la sélection A avant d'être nommée définitivement début 2017, puisqu'elle avait déjà été adjointe, et même sélectionneure par intérim après la dernière Coupe du monde. Pour sa première compétition à la tête de la sélection elle a remporté l'Euro qui était disputé à domicile, et remporté le titre de Meilleur Entraineur de l'année décerné par la FIFA. Elle va disputer sa première Coupe du monde avec la sélection.
La préparation
1er juin : Australie (Eindhoven)
9 avril : Chili 7-0 (G)
5 avril : Mexique 2-0 (G)
6 mars : Chine 1-1 (tab 2-4) (N)
4 mars : Pologne 0-1 (P)
27 février : Espagne 0-2 (P)
19 janvier : Afrique du Sud 2-1 (G)
9 avril : Chili 7-0 (G)
5 avril : Mexique 2-0 (G)
6 mars : Chine 1-1 (tab 2-4) (N)
4 mars : Pologne 0-1 (P)
27 février : Espagne 0-2 (P)
19 janvier : Afrique du Sud 2-1 (G)
Faits et chiffres
Deux des trois buts bataves inscrits en Coupe du Monde Féminine de la FIFA™ portent la griffe de Kirsten Van de Ven, pourtant remplaçante. Face au Canada, Van de Ven était entrée en jeu à la 72e minute, signant l’égalisation 15 minutes plus tard (score final 1:1) ; contre le Japon, la joueuse était sortie du banc à la 53e minute, sauvant l’honneur à la 92e minute face aux Asiatiques (score final 2:1). En revanche, le but qui a offert la seule victoire des Pays-Bas (1:0) en Coupe du Monde Féminine de la FIFA™ est à mettre au crédit de Lieke Martens, devant la Nouvelle-Zélande.
L'avis de FOOTOFEMININ
Face à la Nouvelle-Zélande, au Cameroun et au Canada (dans l'ordre des matchs), les Pays-Bas, qui ont désormais un statut à défendre, n'ont pas le droit à l'erreur. Le premier objectif sera la première place du groupe, pour laquelle le Canada sera son principal adversaire. En huitièmes de finale, l'équipe devrait rencontrer une équipe solide et c'est à partir de là qu'il lui faudra vraiment sortir le grand jeu. Très belle championne d'Europe, la sélection est désormais attendue, et la Coupe du monde sera l'occasion de confirmer son titre sans bénéficier toutefois de l'effet de surprise, et avec une recette désormais connue.
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Coupe du Monde - Groupe B : Présentation de l'ALLEMAGNE (6/24)
Deux fois vainqueur de la compétition, l'Allemagne a perdu les derniers titres mondiaux et européens, et ne détient plus que les Jeux Olympiques au moment d'aborder un tournoi où elle restera une valeur sure.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 2e
Meilleur classement FIFA : 1er (10/2003 à 2007, 12/2014 à 06/2015, 03/2017)
Premier match de la sélection : 10 novembre 1982 contre la Suisse (5-1)
Plus large victoire : 17-0 contre le Kazakhstan (19 novembre 2011)
Plus large défaite : 0-6 contre les Etats-Unis (14 mars 1996)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Chine (Rennes)
12 juin 2019 : Espagne (Valenciennes)
17 juin 2019 : Afrique du Sud (Montpellier)
Meilleur classement FIFA : 1er (10/2003 à 2007, 12/2014 à 06/2015, 03/2017)
Premier match de la sélection : 10 novembre 1982 contre la Suisse (5-1)
Plus large victoire : 17-0 contre le Kazakhstan (19 novembre 2011)
Plus large défaite : 0-6 contre les Etats-Unis (14 mars 1996)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Chine (Rennes)
12 juin 2019 : Espagne (Valenciennes)
17 juin 2019 : Afrique du Sud (Montpellier)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 8
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Vainqueur (2003, 2007)
Bilan général en Coupe du Monde : 39 matches, 26 victoires, 8 défaites, 5 matches nuls, 111 buts pour, 37 buts contre
Plus large victoire : 11-0 contre l'Argentine (2007)
Plus large défaite : 0-4 contre la Suède (1991)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Birgit Prinz, 24 matchs (1995, 1999, 2003, 2007)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Birgit Prinz, 14 buts (1995, 1999, 2003, 2007)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Vainqueur (2003, 2007)
Bilan général en Coupe du Monde : 39 matches, 26 victoires, 8 défaites, 5 matches nuls, 111 buts pour, 37 buts contre
Plus large victoire : 11-0 contre l'Argentine (2007)
Plus large défaite : 0-4 contre la Suède (1991)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Birgit Prinz, 24 matchs (1995, 1999, 2003, 2007)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Birgit Prinz, 14 buts (1995, 1999, 2003, 2007)
Qualifications
Dans le groupe 5, l'Allemagne a finalement terminé en tête après un début de campagne plutôt compliqué et notamment une défaite face à l'Islande qui a eu raison de Steffi Jones. Ce fut le seul faux-pas, et les seuls buts encaissés par la sélection qui a retrouvé un second souffle par la suite pour se qualifier fort logiquement pour sa huitième Coupe du monde.
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 38 buts pour, 3 buts contre
Slovénie (6-0, 4-0) ; République tchèque (1-0, 4-0) ; Islande (2-3, 2-0) ; Iles Féroé (11-0, 8-0)
Sélectionneurs : Jones (4), Hrubesch (4)
Bilan joueuses/buteuses
G : Schult (6)
D : Schweers (2), Doorsoun-Khajeh (5), Demann (5/1 but), Simon (5/2), Maier (7/1), Elsig (2)
M : Däbritz (5), Schüller (6/6), Magull (5/4), Leupolz (5), Goessling (5)
A : Popp (6/6), Knaak (2), Rolser (1), Dallmann (6/1), Huth (6/3)
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 38 buts pour, 3 buts contre
Slovénie (6-0, 4-0) ; République tchèque (1-0, 4-0) ; Islande (2-3, 2-0) ; Iles Féroé (11-0, 8-0)
Sélectionneurs : Jones (4), Hrubesch (4)
Bilan joueuses/buteuses
G : Schult (6)
D : Schweers (2), Doorsoun-Khajeh (5), Demann (5/1 but), Simon (5/2), Maier (7/1), Elsig (2)
M : Däbritz (5), Schüller (6/6), Magull (5/4), Leupolz (5), Goessling (5)
A : Popp (6/6), Knaak (2), Rolser (1), Dallmann (6/1), Huth (6/3)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
A l'exception de deux joueuses évoluant à l'OL (et bientôt une de plus au PSG), les Allemandes évoluent à domicile, principalement dans quatre clubs : le Bayern Munich, Essen (5), Wolfsburg et Fribourg (4). Martina Voss-Tecklenburg n'a pas hésité à faire appel à certaines très jeunes joueuses appelées à faire les beaux jours de la sélection dans les années à venir et à donner un vrai coup de jeune à la sélection depuis son arrivée, et il n'est pas surprenant de voir que dix joueuses comptent 15 sélections ou moins à leur compteur.
Les absentes
Il n'y a pas de grande absente à recenser, si ce n'est peut-être Babett Peter, désormais à la retraite mais que l'on aurait pu imaginer pousser jusqu'à la Coupe du monde.
Equipe-type
Martina Voss-Tecklenburg n'ayant à ce jour dirigé la sélection que pour trois rencontres, difficile de s'avancer concrètement. Dans un système en 4-2-3-1, utilisé à deux reprises, l'équipe pourrait ressembler à ce qui suit : Almuth Schult dans les buts (ou Merle Frohms), un quatuor Schweers/Elsig/Hegering/Heindrich (ou Maier) en défense, un duo Lina Magull/Melanie Leupolz évoluant derrière un trio composé de Sara Däbritz (ou Dallmann), Dzsenifer Marozsan et Svenja Huth (ou Popp), avec Alexandra Popp (ou Schüller) en pointe.
A l'exception de deux joueuses évoluant à l'OL (et bientôt une de plus au PSG), les Allemandes évoluent à domicile, principalement dans quatre clubs : le Bayern Munich, Essen (5), Wolfsburg et Fribourg (4). Martina Voss-Tecklenburg n'a pas hésité à faire appel à certaines très jeunes joueuses appelées à faire les beaux jours de la sélection dans les années à venir et à donner un vrai coup de jeune à la sélection depuis son arrivée, et il n'est pas surprenant de voir que dix joueuses comptent 15 sélections ou moins à leur compteur.
Les absentes
Il n'y a pas de grande absente à recenser, si ce n'est peut-être Babett Peter, désormais à la retraite mais que l'on aurait pu imaginer pousser jusqu'à la Coupe du monde.
Equipe-type
Martina Voss-Tecklenburg n'ayant à ce jour dirigé la sélection que pour trois rencontres, difficile de s'avancer concrètement. Dans un système en 4-2-3-1, utilisé à deux reprises, l'équipe pourrait ressembler à ce qui suit : Almuth Schult dans les buts (ou Merle Frohms), un quatuor Schweers/Elsig/Hegering/Heindrich (ou Maier) en défense, un duo Lina Magull/Melanie Leupolz évoluant derrière un trio composé de Sara Däbritz (ou Dallmann), Dzsenifer Marozsan et Svenja Huth (ou Popp), avec Alexandra Popp (ou Schüller) en pointe.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : une équipe complète, du talent à tous les étages
§ Points faibles : aucune gardienne n'est Nadine Angerer, peut-être un peu de confusion avec les changements d'entraineurs
§ Joueuses clés : Alex Popp, Dzsenifer Marozsan
§ Infos à savoir sur le système de jeu : quel que soit le système de jeu utilisé, l'Allemagne aura une équipe compétitive sur le terrain et des latérales offensives qui appelleront le surnombre en attaque
La joueuse à suivre
Si Alex Popp sera encore une fois la leader mentale, et Dzsenifer Marozsan la leader technique, il sera intéressant de suivre le comportement de Johanna Elsig, en train de s'installer comme le nouveau pilier de la défense allemande, un secteur en reconstruction et qui n'a plus la sécurité Nadine Angerer derrière elle.
La sélectionneure
Martina Voss-Tecklenburg est une ancienne internationale allemande qui a pris part à plusieurs Coupes du monde, ainsi qu'aux Jeux olympiques, et a disputé l'Euro à plusieurs reprises, représentant l'Allemagne à 125 reprises au plus haut niveau. Elle a ensuite birfurqué vers le métier d'entraineure, et s'est construit une solide réputation, d'abord en championnat, puis en qualifiant la Suisse pour sa première Coupe du monde il y a quatre ans. Elle a pris les rênes de la sélection allemande une fois la Suisse éliminée des barrages pour la Coupe du monde, et vient donc tout juste de débuter une nouvelle ère pour la sélection allemande.
§ Points forts : une équipe complète, du talent à tous les étages
§ Points faibles : aucune gardienne n'est Nadine Angerer, peut-être un peu de confusion avec les changements d'entraineurs
§ Joueuses clés : Alex Popp, Dzsenifer Marozsan
§ Infos à savoir sur le système de jeu : quel que soit le système de jeu utilisé, l'Allemagne aura une équipe compétitive sur le terrain et des latérales offensives qui appelleront le surnombre en attaque
La joueuse à suivre
Si Alex Popp sera encore une fois la leader mentale, et Dzsenifer Marozsan la leader technique, il sera intéressant de suivre le comportement de Johanna Elsig, en train de s'installer comme le nouveau pilier de la défense allemande, un secteur en reconstruction et qui n'a plus la sécurité Nadine Angerer derrière elle.
La sélectionneure
Martina Voss-Tecklenburg est une ancienne internationale allemande qui a pris part à plusieurs Coupes du monde, ainsi qu'aux Jeux olympiques, et a disputé l'Euro à plusieurs reprises, représentant l'Allemagne à 125 reprises au plus haut niveau. Elle a ensuite birfurqué vers le métier d'entraineure, et s'est construit une solide réputation, d'abord en championnat, puis en qualifiant la Suisse pour sa première Coupe du monde il y a quatre ans. Elle a pris les rênes de la sélection allemande une fois la Suisse éliminée des barrages pour la Coupe du monde, et vient donc tout juste de débuter une nouvelle ère pour la sélection allemande.
La préparation
30 mai : Chili
9 avril : Japon 2-2 (N)
6 avril : Suède 2-1 (G)
28 février : France 1-0 (G)
9 avril : Japon 2-2 (N)
6 avril : Suède 2-1 (G)
28 février : France 1-0 (G)
Faits et chiffres
Deuxième derrière les États-Unis au nombre de titres conquis (2 à 3), de matches disputés (39 contre 43), de victoires (26 à 33) et de buts marqués (111 contre 112), l’Allemagne est en revanche la seule nation à avoir remporté deux Coupes du Monde Féminines de la FIFA d’affilée, en 2003 et en 2007.
La sélection allemande compte d’autres records dans la compétition. La Frauen-Mannschaft a maintenu sa cage inviolée pendant les 6 rencontres du tournoi remporté en 2007 ; elle a signé le plus grand nombre de buts en une seule édition (25 en 2003, aussi bien que les États-Unis en 1991) ; elle est restée invaincue pendant 15 matches entre 2003 et 2011 ; elle détient le record des victoires les plus larges (11:0 contre l’Argentine en 2007 et 10:0 face à la Côte d’Ivoire en 2015) ; enfin, 5 joueuses allemandes ont signé un triplé en phase finale mondiale : Inka Grings (1999), Birgit Prinz (2007), Sandra Smisek (2007), Anja Mittag (2015) et Celia Sasic (2015).
La sélection allemande compte d’autres records dans la compétition. La Frauen-Mannschaft a maintenu sa cage inviolée pendant les 6 rencontres du tournoi remporté en 2007 ; elle a signé le plus grand nombre de buts en une seule édition (25 en 2003, aussi bien que les États-Unis en 1991) ; elle est restée invaincue pendant 15 matches entre 2003 et 2011 ; elle détient le record des victoires les plus larges (11:0 contre l’Argentine en 2007 et 10:0 face à la Côte d’Ivoire en 2015) ; enfin, 5 joueuses allemandes ont signé un triplé en phase finale mondiale : Inka Grings (1999), Birgit Prinz (2007), Sandra Smisek (2007), Anja Mittag (2015) et Celia Sasic (2015).
L'avis de FOOTOFEMININ
Face à la Chine, à l'Espagne et à l'Afrique du Sud (dans l'ordre des matches), l'objectif de l'Allemagne ne peut être que la qualification pour les huitièmes de finale comme première étape vers le titre pour lequel elle fait partie des favoris comme toujours, et ce malgré les dernières années agitées et les nombreuses retraites qui ont demandé un renouvellement de l'effectif. Il lui faudra montrer les crocs dès le début de la compétition, notamment face à l'Espagne qui voudra également terminer en tête du groupe.
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Bleues - Un dernier test avant le grand jour (Chine, 21h00)
Les Bleues effectuent une dernière répétition ce vendredi soir à Créteil face à la Chine, également qualifiée pour la compétition. Un ultime rendez-vous qui permettra à une semaine du début du tournoi de répéter ses gammes face à un adversaire asiatique, tout comme le sera la Corée du Sud, le 6 juin à Paris.
Si le Jour J approche à grands pas, Corinne Diacre avance pas à pas et ne veut pas encore évoquer pleinement ce match d'ouverture de la Coupe du Monde au Parc des Princes. Après une intense préparation physique, il est désormais nécessaire de peaufiner dans la dernière ligne droite les détails tactiques et techniques pour être fin prêt au moment voulu.
L'adversaire n'a pas été choisi au hasard. Après la Thaïlande où la prestation avait été moyenne, il faudra corriger les manquements observés. La Chine est l'équipe qui se rapproche le plus de la Corée du Sud pour Corinne Diacre dans le style de jeu. La France devra avant tout veiller à ne pas commettre le même manque de réalisme à l'image des 34 tirs dont seulement 3 buts à Orléans. Trois buts face à un adversaire largement à la portée des Bleues, et aussi deux penalties manqués. Avec de l'efficacité lors de ce match face à la Chine, c'est aussi une certaine confiance nécessaire pour aborder le match de la semaine prochaine qui sera amenée.
L'adversaire n'a pas été choisi au hasard. Après la Thaïlande où la prestation avait été moyenne, il faudra corriger les manquements observés. La Chine est l'équipe qui se rapproche le plus de la Corée du Sud pour Corinne Diacre dans le style de jeu. La France devra avant tout veiller à ne pas commettre le même manque de réalisme à l'image des 34 tirs dont seulement 3 buts à Orléans. Trois buts face à un adversaire largement à la portée des Bleues, et aussi deux penalties manqués. Avec de l'efficacité lors de ce match face à la Chine, c'est aussi une certaine confiance nécessaire pour aborder le match de la semaine prochaine qui sera amenée.
Sans Le Sommer et Majri
A une semaine du match d'ouverture de la Coupe du Monde, les Bleues accueillent la Chine à Créteil 🇫🇷🇨🇳
— Equipe de France ⭐⭐ (@equipedefrance) 31 mai 2019
📺 @W9
⏰ 21H00
📍Créteil - Stade Dominique-Duvauchelle pic.twitter.com/s4OHIXCDpy
Déjà en délicatesse la semaine dernière en raison d'une blessure musculaire, Le Sommer qui devait reprendre cette semaine, ne sera finalement pas prête ce vendredi. La deuxième meilleure buteuse de l'histoire des Bleues, tout comme Amel Majri (ischio-jambiers) ne seront pas sur le terrain. Un choix par précaution pour la sélectionneure qui ne préfère pas prendre de risque avec deux valeurs sûres de la sélection dont les preuves ne sont plus à faire. Ainsi Sakina Karchaoui aura l'occasion de prendre le côté gauche, alors qu'il reste à savoir quelle organisation offensive sera proposée. Kadidiatou Diani, Valérie Gauvin, Viviane Asseyi ou encore Delphine Cascarino sont quatre prétendantes pour trois places et différentes alternatives sont possibles notamment pour la première citée qui peut évoluer dans les deux couloirs et à la pointe de l'attaque des Bleues.
Il reste aux Bleues à savoir si elles ont pu écouter les conseils de leurs homologues masculins lors du repas organisé à Clairefontaine, mercredi avec les sélections présentes à Clairefontaine.
Il reste aux Bleues à savoir si elles ont pu écouter les conseils de leurs homologues masculins lors du repas organisé à Clairefontaine, mercredi avec les sélections présentes à Clairefontaine.
Match de préparation à la Coupe du Monde de la FIFA 2019
Vendredi 31 mai 2019
FRANCE - CHINE
Créteil (Stade Dominique Duvauchelle)
France :
G : 1-Solène Durand, 16-Sarah Bouhaddi, 21-Pauline Peyraud-Magnin
D : 2-Eve Périsset, 3-Wendie Renard, 4-Marion Torrent, 5-Aïssatou Tounkara, 7-Sakina Karchaoui, 19-Griedge Mbock Bathy Nka, 22-Julie Debever
M : 6-Amandine Henry, 8-Grace Geyoro, 14-Charlotte Bilbault, 15-Elise Bussaglia, 17-Gaëtane Thiney, 23-Maéva Clemaron
A : 11-Kadidiatou Diani, 12-Emelyne Laurent, 13-Valérie Gauvin, 18-Viviane Asseyi, 20-Delphine Cascarino
Soins : 9-Eugénie Le Sommer, 10-Amel Majri
Chine :
G : 1-Xu Huan, 12-Peng Shimeng, 18-Bi Xiaolin
D : 2-Liu Shanshan, 3-Lin Yuping, 5-Wu Haiyan, 8-Li Jiayue, 13-Wang Yan, 14-Wang Ying, 16-Li Wen
M : 6-Han Peng, 19-Tan Ruyin, 20-Zhang Rui, 21-Yao Wei, 22-Luo Guiping, 23-Liy Yanqiu
A : 4-Lou Jiahui, 7-Wang Shuang, 9-Yang Li, 10-Li Ying, 11-Wang Shanshan, 15-Song Duan, 17-Gu Yasha
Vendredi 31 mai 2019
FRANCE - CHINE
Créteil (Stade Dominique Duvauchelle)
France :
G : 1-Solène Durand, 16-Sarah Bouhaddi, 21-Pauline Peyraud-Magnin
D : 2-Eve Périsset, 3-Wendie Renard, 4-Marion Torrent, 5-Aïssatou Tounkara, 7-Sakina Karchaoui, 19-Griedge Mbock Bathy Nka, 22-Julie Debever
M : 6-Amandine Henry, 8-Grace Geyoro, 14-Charlotte Bilbault, 15-Elise Bussaglia, 17-Gaëtane Thiney, 23-Maéva Clemaron
A : 11-Kadidiatou Diani, 12-Emelyne Laurent, 13-Valérie Gauvin, 18-Viviane Asseyi, 20-Delphine Cascarino
Soins : 9-Eugénie Le Sommer, 10-Amel Majri
Chine :
G : 1-Xu Huan, 12-Peng Shimeng, 18-Bi Xiaolin
D : 2-Liu Shanshan, 3-Lin Yuping, 5-Wu Haiyan, 8-Li Jiayue, 13-Wang Yan, 14-Wang Ying, 16-Li Wen
M : 6-Han Peng, 19-Tan Ruyin, 20-Zhang Rui, 21-Yao Wei, 22-Luo Guiping, 23-Liy Yanqiu
A : 4-Lou Jiahui, 7-Wang Shuang, 9-Yang Li, 10-Li Ying, 11-Wang Shanshan, 15-Song Duan, 17-Gu Yasha
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Coupe du Monde - Groupe B : Présentation de la CHINE (7/24)
Bien loin de ses performances des années 90 et du début des années 2000, la Chine essaye de se reconstruire un avenir parmi les plus grands.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 16e
Meilleur classement FIFA : 4e (07/2003)
Premier match de la sélection : 20 juillet 1986 contre les Etats-Unis (1-2)
Plus large victoire : 21-0 contre les Philippines (24 septembre 1995)
Plus large défaite : 0-8 contre l'Allemagne (11 août 2004)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Allemagne (Rennes)
12 juin 2019 :
17 juin 2019 :
Meilleur classement FIFA : 4e (07/2003)
Premier match de la sélection : 20 juillet 1986 contre les Etats-Unis (1-2)
Plus large victoire : 21-0 contre les Philippines (24 septembre 1995)
Plus large défaite : 0-8 contre l'Allemagne (11 août 2004)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Allemagne (Rennes)
12 juin 2019 :
17 juin 2019 :
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 6
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Finaliste (1999)
Bilan général en Coupe du Monde : 29 matches, 15 victoires, 6 nuls, 8 défaites, 52 buts pour, 29 buts contre
Plus large victoire : 7-0 contre le Ghana (1999)
Plus large défaite : 0-5 contre le Brésil (2007)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Sun Wen, 20 matchs (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Sun Wen, 11 buts (1991, 1995, 1999, 2003)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Finaliste (1999)
Bilan général en Coupe du Monde : 29 matches, 15 victoires, 6 nuls, 8 défaites, 52 buts pour, 29 buts contre
Plus large victoire : 7-0 contre le Ghana (1999)
Plus large défaite : 0-5 contre le Brésil (2007)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Sun Wen, 20 matchs (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Sun Wen, 11 buts (1991, 1995, 1999, 2003)
Qualifications
Placée dans le groupe le moins relevé, évitant à la fois le Japon et l'Australie, la Chine a terminé en tête de son groupe lors de la Coupe d'Asie des Nations qualificative pour la Coupe du monde. Face à la Thaïlande, les Philippines puis la Jordanie, les Roses d'Acier se sont largement imposées pour obtenir leur qualification pour la France. En demi-finale, elles ont chuté contre le Japon, puis ont battu la Thaïlande à nouveau lors du match pour la troisième place.
Date de qualification : 9 avril 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 38 buts pour, 3 buts contre
Slovénie (6-0, 4-0) ; République tchèque (1-0, 4-0) ; Islande (2-3, 2-0) ; Iles Féroé (11-0, 8-0)
Sélectionneurs : Eyjolfsson (5)
Bilan joueuses/buteuses
G : Peng Shimeng (5)
D : Liu Shanshan (5), Xue Jiao (1), Li Danyang (4), Wu Haiyan (4), Lin Yuping (1),
M : Wang Shuang (5/4 buts), Ma Jun (4/1), Tang Jiali (2/1), Lu Yueyun (2), Xu Yanlu (5), Song Duan (5/4), Yan Jinjin (1), Han Peng (1), Tan Ruyin (1), Zhang Rui (4), Xiao Yuyi (1)
A : Wang Shanshan (3/1), Ren Guixin (5/1), Li Ying (5/7), Gu Yasha (5)
Date de qualification : 9 avril 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 38 buts pour, 3 buts contre
Slovénie (6-0, 4-0) ; République tchèque (1-0, 4-0) ; Islande (2-3, 2-0) ; Iles Féroé (11-0, 8-0)
Sélectionneurs : Eyjolfsson (5)
Bilan joueuses/buteuses
G : Peng Shimeng (5)
D : Liu Shanshan (5), Xue Jiao (1), Li Danyang (4), Wu Haiyan (4), Lin Yuping (1),
M : Wang Shuang (5/4 buts), Ma Jun (4/1), Tang Jiali (2/1), Lu Yueyun (2), Xu Yanlu (5), Song Duan (5/4), Yan Jinjin (1), Han Peng (1), Tan Ruyin (1), Zhang Rui (4), Xiao Yuyi (1)
A : Wang Shanshan (3/1), Ren Guixin (5/1), Li Ying (5/7), Gu Yasha (5)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Toutes les joueuses sélectionnées pour la Coupe du monde évoluent dans le championnat national à l'exception de Wang Shuang, qui a récemment rejoint la France et le PSG. Un départ pour l'étranger qui pourrait en amener d'autres selon la capitaine Wu Haiyan, pour l'expérience globale que cela peut apporter pour permettre de faire grandir les joueuses et la sélection.
Les absentes
Il n'y a pas vraiment de grandes absentes, la Chine tente depuis plusieurs années de retrouver les sommets et a tenté différents entraineurs étrangers et de nombreuses joueuses. Si des joueuses comme Lina Yang ou Wang Linlin pensaient peut-être avoir convaincu le sélectionneur des les appeler, il a fait ses choix au fil des matches.
Equipe-type
Dans un 4-4-2 classique, on devrait retrouver Bi Xiaolin dans les buts, devant Peng Shimeng. Devant, une défense à quatre avec Lou Jiahui et Liu Shanshan sur les côtés, Wu Haiyan et Li Jiayue au centre avec Lin Yuping en suppléante. Le duo central au milieu du terrain devrait être composé de Zhang Rui et Tan Ruyin ou Han Peng, avec Gu Yasha et Wang Shuang sur les côtés, derrière un duo Li Ying/Wang Shanshan en attaque.
Toutes les joueuses sélectionnées pour la Coupe du monde évoluent dans le championnat national à l'exception de Wang Shuang, qui a récemment rejoint la France et le PSG. Un départ pour l'étranger qui pourrait en amener d'autres selon la capitaine Wu Haiyan, pour l'expérience globale que cela peut apporter pour permettre de faire grandir les joueuses et la sélection.
Les absentes
Il n'y a pas vraiment de grandes absentes, la Chine tente depuis plusieurs années de retrouver les sommets et a tenté différents entraineurs étrangers et de nombreuses joueuses. Si des joueuses comme Lina Yang ou Wang Linlin pensaient peut-être avoir convaincu le sélectionneur des les appeler, il a fait ses choix au fil des matches.
Equipe-type
Dans un 4-4-2 classique, on devrait retrouver Bi Xiaolin dans les buts, devant Peng Shimeng. Devant, une défense à quatre avec Lou Jiahui et Liu Shanshan sur les côtés, Wu Haiyan et Li Jiayue au centre avec Lin Yuping en suppléante. Le duo central au milieu du terrain devrait être composé de Zhang Rui et Tan Ruyin ou Han Peng, avec Gu Yasha et Wang Shuang sur les côtés, derrière un duo Li Ying/Wang Shanshan en attaque.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : collectif, tactique, attaque
§ Points faibles : physique, un certain manque de continuité et travail sur le long terme
§ Joueuses clés : Wu Haiyan, Zhang Rui, Wang Shuang, Wang Shanshan
§ Infos à savoir sur le système de jeu : il faut s'attendre à une équipe bien en place, qui veut jouer rapidement vers l'avant. Le sélectionneur a dit vouloir s'inspirer de plusieurs résultats surprises lors de la dernière Coupe du monde masculine.
La joueuse à suivre
Véritable star en Chine, Wang Shuang sera particulièrement attendue pour créer des opportunités de but ou les finir. Son duo avec Wang Shanshan fonctionne bien depuis plusieurs années.
La sélectionneure
Jia Xiuquan est un des entraineurs les plus respectés en Chine. Ancien international, il a entrainé différents clubs et sélections masculines et connait avec la sélection féminine depuis un an sa première expérience dans le football féminin, et va disputer sa première grande compétition avec la sélection. Une compétition dont il vise le titre, tout simplement.
§ Points forts : collectif, tactique, attaque
§ Points faibles : physique, un certain manque de continuité et travail sur le long terme
§ Joueuses clés : Wu Haiyan, Zhang Rui, Wang Shuang, Wang Shanshan
§ Infos à savoir sur le système de jeu : il faut s'attendre à une équipe bien en place, qui veut jouer rapidement vers l'avant. Le sélectionneur a dit vouloir s'inspirer de plusieurs résultats surprises lors de la dernière Coupe du monde masculine.
La joueuse à suivre
Véritable star en Chine, Wang Shuang sera particulièrement attendue pour créer des opportunités de but ou les finir. Son duo avec Wang Shanshan fonctionne bien depuis plusieurs années.
La sélectionneure
Jia Xiuquan est un des entraineurs les plus respectés en Chine. Ancien international, il a entrainé différents clubs et sélections masculines et connait avec la sélection féminine depuis un an sa première expérience dans le football féminin, et va disputer sa première grande compétition avec la sélection. Une compétition dont il vise le titre, tout simplement.
La préparation
31 mai : France
7 avril : Cameroun 1-0 (G)
4 avril : Russie 4-1 (G)
6 mars : Pays-Bas 1-1 tab 2-4 (N)
4 mars : Danemark 0-1 (P)
1er mars : Norvège 1-3 (P)
20 janvier : Corée du Sud 1-0 (G)
17 janvier : Nigeria 3-0 (G)
7 avril : Cameroun 1-0 (G)
4 avril : Russie 4-1 (G)
6 mars : Pays-Bas 1-1 tab 2-4 (N)
4 mars : Danemark 0-1 (P)
1er mars : Norvège 1-3 (P)
20 janvier : Corée du Sud 1-0 (G)
17 janvier : Nigeria 3-0 (G)
Faits et chiffres
La Chine, qui n’a manqué que l’édition 2011, a obtenu son meilleur résultat en Coupe du Monde Féminine de la FIFA, États-Unis 1999 en s’inclinant en finale, aux tirs au but, face aux États-Unis.
C’est à une joueuse chinoise, Ma Li, que l’on doit la première réalisation de l’histoire de la compétition, lors de la victoire 4-0 sur la Norvège en 1991.
C’est à une joueuse chinoise, Ma Li, que l’on doit la première réalisation de l’histoire de la compétition, lors de la victoire 4-0 sur la Norvège en 1991.
L'avis de FOOTOFEMININ
Le tirage n'a pas été forcément clément avec la Chine puisqu'elle va affronter dans l'ordre l'Allemagne, l'Afrique du Sud et l'Espagne. Les deux nations européennes sont favorites, donc il lui faudra réaliser de belles performances d'entrée de jeu, et espérer au minimum une place de meilleur troisième pour continuer l'aventure. Viser le titre semble cependant quelque peu présomptueux. Retrouver les quarts de finale comme ce fut le cas il y a quatre ans serait déjà une très bonne performance.
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Bleues - FRANCE - CHINE : Une victoire pour finir la préparation
Pour son dernier match de préparation avant le début de la Coupe du monde, la France a battu la Chine à Créteil 2-1 grâce à des buts de Valérie Gauvin et Kadidiatou Diani. Face à une équipe qui a offert une opposition solide, la France semble être prête pour débuter la Coupe du monde face à la Corée du Sud dans une semaine.
Corinne Diacre devait se passer de plusieurs titulaires pour ce rendez-vous. Les Lyonnaises semblent en effet connaître quelques pépins physiques. Ainsi après Eugénie Le Sommer (problèmes musculaires), ce sont Amel Majri (ischio-jambiers) et Amandine Henry (dos) qui étaient en tribune pour suivre la rencontre. Ces absences profitaient à Eve Périsset, alignée dans le couloir gauche, à Charlotte Bilbault en milieu défensive, alors que Delphine Cascarino et Kadidiatou Diani débutaient dans les couloirs. En l'absence de sa capitaine et de sa vice-capitaine, le brassard revenait à Sarah Bouhaddi.
Gauvin en avant-centre
Après dix premières minutes d'observation, la France lançait les hostilités et obligeait Peng Shimeng à deux arrêts coup sur coup. Dans un premier temps, sur un centre de Marion Torrent qui trouvait Valérie Gauvin de la tête (11'), puis sur un centre-tir d'Ève Périsset depuis le couloir gauche qui se dirigeait vers la lucarne et obligeait la gardienne chinoise à se détendre une nouvelle fois. La Chine réagissait la minute suivante avec Yang Li en profondeur, qui était contrée au dernier moment par Wendie Renard (12'). Kadidiatou Diani, qui remontait vite sur son couloir gauche, réalisait un une-deux avec Gaëtane Thiney, mais elle était ensuite entourée de défenseures dans la surface et perdait le ballon (14'). La France, qui accélérait par à-coups, se montrait dangereuse de nouveau avec Diani et Gauvin, la première faisant un petit numéro côté gauche éliminant deux défenseures, mais son centre pour la deuxième, en position idéale face au but, était légèrement dévié et ne trouvait pas l'avant-centre française (29').
Dans la foulée, un centre de Diani repoussé en deux temps était repris par Marion Torrent, qui arrivait lancée dans le surface, et Gauvin, qui se trouvait sur la trajectoire, ne laissait aucune chance à Peng Shimeng et ouvrait le score d'une frappe qui touchait la barre transversale (30'). Une ouverture du score plutôt logique pour la France, malgré un jeu équilibré. En fin de première période, la Chine se montrait dangereuse, et il fallait une défense présente pour contrer les tentatives des Roses d'Acier dans la surface. La France rejoignait son vestiaire avec un court avantage au tableau d'affichage.
Dans la foulée, un centre de Diani repoussé en deux temps était repris par Marion Torrent, qui arrivait lancée dans le surface, et Gauvin, qui se trouvait sur la trajectoire, ne laissait aucune chance à Peng Shimeng et ouvrait le score d'une frappe qui touchait la barre transversale (30'). Une ouverture du score plutôt logique pour la France, malgré un jeu équilibré. En fin de première période, la Chine se montrait dangereuse, et il fallait une défense présente pour contrer les tentatives des Roses d'Acier dans la surface. La France rejoignait son vestiaire avec un court avantage au tableau d'affichage.
Diani, un solo victorieux
Après avoir déjà effectué un changement en première période, Jia Xiuquan faisait entrer Wang Shuang pour la seconde période. La joueuse du PSG se mettait rapidement en évidence en lançant Wang Shanshan dans le dos de la défense centrale française, mal alignée, et l'avant-centre allait battre Sarah Bouhaddi d'un petit piqué qui remettait les deux équipes à égalité (51'). Un soulagement de courte durée pour les Chinoises, puisque Diani décidait de prendre les choses en mains, et sur une action en solo depuis le rond central, elle éliminait plusieurs défenseures pour déclencher, aux abords de la surface, une frappe qui trompait Peng Shimeng à nouveau et voyait la France repasser devant au tableau d'affichage (58'). Trois minutes plus tard Cascarino, centrait au deuxième poteau pour la deuxième buteuse française de la soirée, mais sa tête était bien captée par Peng Shimeng (61').
Sept jours pour récupérer tout le monde
La Chine ne passait pas loin de profiter d'une défense approximative une deuxième fois dans la soirée, Wang Shanshan étant une nouvelle fois lancée en profondeur dans le dos de celle-ci. Mais Griedge Mbock revenait bien couvrir et concédait un corner (71'). Celui-ci, repoussé dans un premier temps, revenait sur Wang Shuang qui centrait fort devant le but sans trouver preneuse (71'). Les dernières « opportunités » de la partie étaient à mettre à l'actif de l'équipe de France sur coup franc, alors que les deux équipes effectuaient de nombreux changements. Sur un coup franc joué en deux temps, Thiney trouvait la tête d'une défenseure chinoise qui voyait le ballon manquer le cadre (80'). Puis Sakina Karchaoui, à la dernière minute, obligeait Peng Shimeng à boxer le ballon qui était peut-être trop plongeant.
La France s'impose pour son dernier match de préparation pour la Coupe du monde, en l'absence d'Amandine Henry et Eugénie Le Sommer entre autres. Si tout n'a pas été parfait, les Tricolores finissent leur préparation sur une bonne note, et ont bien révisé avant la Corée du Sud. Rendez-vous dans une semaine au Parc des Princes, avec le groupe au complet.
La France s'impose pour son dernier match de préparation pour la Coupe du monde, en l'absence d'Amandine Henry et Eugénie Le Sommer entre autres. Si tout n'a pas été parfait, les Tricolores finissent leur préparation sur une bonne note, et ont bien révisé avant la Corée du Sud. Rendez-vous dans une semaine au Parc des Princes, avec le groupe au complet.
Match de préparation de la Coupe du Monde de la FIFA
Vendredi 31 mai 2019 - 21h00
FRANCE - CHINE : 2-1 (1-0)
Créteil (Stade Dominique Duvauchelle)
Temps chaud (25°C) - Terrain en très bon état
Spectateurs : 10 028
Arbitres : Bram Van Driessche (Belgique) assisté de Yves De Neve (Belgique) et Kevin Monteny (Belgique). 4e arbitre : Stéphanie Di Benedetto (France). Arbitre VAR : Erik Lambrechts (Belgique)
Buts :
1-0 Valérie GAUVIN 30' (Centre de Diani depuis la gauche qui arrive au second sur Cascarino en duel avec une adversaire. Le ballon revient derrière sur Torrent qui arrive élancée et place une frappe du gauche dont Gauvin hérite au second poteau pour dévier du gauche devant Wang Ying)
1-1 WANG Shanshan 52' (Wang Shuang trouve plein axe sur une passe au sol en profondeur Wang Shanshan qui part dans le dos de Mbock et vient battre Bouhaddi d'un petit extérieur du droit de 12 m qui termine plein axe)
2-1 Kadidiatou DIANI 58' (Côté gauche à 50 m du but, servie par Mbock, Diani se lance dans un raid de 30m éliminant 5 adversaires avant de placer une frappe du droit de 18 m au ras du poteau droit chinois)
Aucun avertissement
France : 16-Sarah Bouhaddi (cap.) ; 4-Marion Torrent, 29-Griedge Mbock Bathy Nka, 3-Wendie Renard, 2-Éve Perisset ; 14-Charlotte Bilbault, 15-Élise Bussaglia (8-Grace Geyoro 85') ; 20-Delphine Cascarino (12-Emelyne Laurent 62'), 17-Gaëtane Thiney, 11-Kadidiatou Diani (7-Sakina Karchaoui 73') ; 13-Valérie Gauvin (18-Viviane Asseyi 62'). Entr. : Corinne Diacre
Non utilisées : 1-Solène Durand, 21-Pauline Peyraud-Magnin, 5-Aïssatou Tounkara, 22-Julie Debever, 23-Maéva Clemaron
Chine : 12-Peng Shimeng ; 14-Wang Ying, 5-Wu Haiyan (cap.), 3-Lin Yuping, 2-Liu Shanshan ; 19-Tan Ruyin (20-Zhang Rui 38'), 21-Yao Wei (13-Wang Yan 54') ; 4-Lou Jiahui (7-Wang Shuang 46'), 11-Wang Shanshan (16-Wen Li 78'), 17-Gu Yasha (10-Li Ying 69') ; 9-Yang Li (15-Song Duan 54'). Entr. : Jia Xiuquan
Non utilisées : 1-Xu Huan, 18-Bi Xiaolin, 6-Han Peng, 8-Li Jiayue, 22-Luo Guiping, 23-Liu Yanqiu
Vendredi 31 mai 2019 - 21h00
FRANCE - CHINE : 2-1 (1-0)
Créteil (Stade Dominique Duvauchelle)
Temps chaud (25°C) - Terrain en très bon état
Spectateurs : 10 028
Arbitres : Bram Van Driessche (Belgique) assisté de Yves De Neve (Belgique) et Kevin Monteny (Belgique). 4e arbitre : Stéphanie Di Benedetto (France). Arbitre VAR : Erik Lambrechts (Belgique)
Buts :
1-0 Valérie GAUVIN 30' (Centre de Diani depuis la gauche qui arrive au second sur Cascarino en duel avec une adversaire. Le ballon revient derrière sur Torrent qui arrive élancée et place une frappe du gauche dont Gauvin hérite au second poteau pour dévier du gauche devant Wang Ying)
1-1 WANG Shanshan 52' (Wang Shuang trouve plein axe sur une passe au sol en profondeur Wang Shanshan qui part dans le dos de Mbock et vient battre Bouhaddi d'un petit extérieur du droit de 12 m qui termine plein axe)
2-1 Kadidiatou DIANI 58' (Côté gauche à 50 m du but, servie par Mbock, Diani se lance dans un raid de 30m éliminant 5 adversaires avant de placer une frappe du droit de 18 m au ras du poteau droit chinois)
Aucun avertissement
France : 16-Sarah Bouhaddi (cap.) ; 4-Marion Torrent, 29-Griedge Mbock Bathy Nka, 3-Wendie Renard, 2-Éve Perisset ; 14-Charlotte Bilbault, 15-Élise Bussaglia (8-Grace Geyoro 85') ; 20-Delphine Cascarino (12-Emelyne Laurent 62'), 17-Gaëtane Thiney, 11-Kadidiatou Diani (7-Sakina Karchaoui 73') ; 13-Valérie Gauvin (18-Viviane Asseyi 62'). Entr. : Corinne Diacre
Non utilisées : 1-Solène Durand, 21-Pauline Peyraud-Magnin, 5-Aïssatou Tounkara, 22-Julie Debever, 23-Maéva Clemaron
Chine : 12-Peng Shimeng ; 14-Wang Ying, 5-Wu Haiyan (cap.), 3-Lin Yuping, 2-Liu Shanshan ; 19-Tan Ruyin (20-Zhang Rui 38'), 21-Yao Wei (13-Wang Yan 54') ; 4-Lou Jiahui (7-Wang Shuang 46'), 11-Wang Shanshan (16-Wen Li 78'), 17-Gu Yasha (10-Li Ying 69') ; 9-Yang Li (15-Song Duan 54'). Entr. : Jia Xiuquan
Non utilisées : 1-Xu Huan, 18-Bi Xiaolin, 6-Han Peng, 8-Li Jiayue, 22-Luo Guiping, 23-Liu Yanqiu
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Bleues - FRANCE - CHINE : le match en photos
Retrouvez des photos de la dernière rencontre de préparation disputée à Créteil face à la Chine (2-1) ce 31 mai
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Coupe du Monde - Le magazine L'EQUIPE spécial Coupe du Monde avec un supplément ce samedi
Ce samedi 1er juin, le Quotidien L'Equipe propose avec son magazine L'Equipe, le Guide de la Coupe du Monde Féminine. Dans les kiosques, ce samedi 1er juin, au prix de 3,70€, le journal habituel, le magazine hebdomadaire et un guide Coupe du Monde est proposé aux lecteurs.
Le magazine propose notamment un reportage sur les anciens partenaires d'Amandine Henry avec l'Iris Lambersart en Benjamins lors de la saison 2001-2002. L'occasion d'émouvantes retrouvailles. Autres sujets, la Saga Bleue, retour sur le match historique du 16 novembre 2002 à Saint-Etienne, la génération "Joue-la Comme Beckham", l'arbitre Bibiana Steinhaus, ou encore le long combat des Argentines pour devenir professionnel...
Le Guide de la Coupe du Monde est également proposé avec près de 70 pages consacrées aux équipes qualifiées et l'histoire de la Coupe du Monde.
Le Guide de la Coupe du Monde est également proposé avec près de 70 pages consacrées aux équipes qualifiées et l'histoire de la Coupe du Monde.
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Phase accession (2e tour retour) - A 90 minutes de la D2
Le deuxième tour de la phase accession nationale à la Division 2 s'achèvera ce dimanche. Des douze équipes, seules six iront en D2.
Si certaines équipes ont pris un net avantage à l'image d'Amiens (5 buts) ou encore Bergerac (3), d'autres rencontres restent indécises comme le duel Châtenoy - Nice (0-1 à l'aller) ou encore Saint-Denis - Valence. Le dénouement aura lieu ce dimanche soir en rappelant qu'en cas d'égalité sur les deux matchs, l'équipe qui a marqué le plus de buts à l'extérieur est qualifiée. Si l'égalité persiste, une séance de tirs au but est organisée.
2ème Tour : Match Aller : 26 mai 2019 - Match Retour : 2 juin 2019
Match 1 : AS Lattes - Amiens : 13h00
Aller : Amiens SC - AS Lattes : 5-0 (Tiffany Vassant 6', Leïla Séret 23', Camille Dolignon 45', 86', Océane Follain 88')
Expulsion : Jennifer Brival à Lattes (44')
Match 2 : Toulouse FC - Strasbourg RCSA : 13h30
Aller : Strasbourg RCSA - Toulouse FC : 1-3 (Lisa Steinbach 90' ; Julie Peruzzetto 19', Chloé Rochet 54' c.s.c., Chaima Badr Bassem 80')
Match 3 : FC Lorient - FC Bergerac Périgord : 15h00
Aller : FC Bergerac Périgord - FC Lorient : 3-0 (Elodie Zaïda 3', 59', Amandine Carrié 30')
Match 4 : FC Nantes - Le Mans FC : 15h00
Aller : Le Mans FC - FC Nantes : 0-2 (Elia Douet 22', Claire Guillard 73')
Match 5 : AS Châtenoy le Royal - OGC Nice : 15h00
OGC Nice - AS Châtenoy le Royal : 1-0 (Sylviane Gomes 54')
Match 6 : RC Saint-Denis - O. Valence : 15h00
O. Valence - RC Saint Denis : 3-2 (Emmy Bineau 46', 71', Julia Alix 90+3' ; Roselene Khezami 49', Namnata Traoré 81')
Match 1 : AS Lattes - Amiens : 13h00
Aller : Amiens SC - AS Lattes : 5-0 (Tiffany Vassant 6', Leïla Séret 23', Camille Dolignon 45', 86', Océane Follain 88')
Expulsion : Jennifer Brival à Lattes (44')
Match 2 : Toulouse FC - Strasbourg RCSA : 13h30
Aller : Strasbourg RCSA - Toulouse FC : 1-3 (Lisa Steinbach 90' ; Julie Peruzzetto 19', Chloé Rochet 54' c.s.c., Chaima Badr Bassem 80')
Match 3 : FC Lorient - FC Bergerac Périgord : 15h00
Aller : FC Bergerac Périgord - FC Lorient : 3-0 (Elodie Zaïda 3', 59', Amandine Carrié 30')
Match 4 : FC Nantes - Le Mans FC : 15h00
Aller : Le Mans FC - FC Nantes : 0-2 (Elia Douet 22', Claire Guillard 73')
Match 5 : AS Châtenoy le Royal - OGC Nice : 15h00
OGC Nice - AS Châtenoy le Royal : 1-0 (Sylviane Gomes 54')
Match 6 : RC Saint-Denis - O. Valence : 15h00
O. Valence - RC Saint Denis : 3-2 (Emmy Bineau 46', 71', Julia Alix 90+3' ; Roselene Khezami 49', Namnata Traoré 81')
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Coupe du Monde - Groupe A : Présentation de la NORVEGE (8/24)
Présente lors des huit éditions, la Norvège a été titrée en 1995. Depuis 20 ans, la sélection n'a plus atteint le dernier carré et se retrouve dans le groupe des Bleues.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 12e
Meilleur classement FIFA : 2e (07/2003)
Premier match de la sélection : 16 juillet 1978 contre la Suède (1-2)
Plus large victoire : 17-0 contre la Slovaquie (19 septembre 1995)
Plus large défaite : 0-5 contre la Suède (22 août 1985) et 0-5 contre la Chine (4 juillet 1999)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Nigeria (Reims)
12 juin 2019 : France (Nice)
17 juin 2019 : Corée du Sud (Reims)
Meilleur classement FIFA : 2e (07/2003)
Premier match de la sélection : 16 juillet 1978 contre la Suède (1-2)
Plus large victoire : 17-0 contre la Slovaquie (19 septembre 1995)
Plus large défaite : 0-5 contre la Suède (22 août 1985) et 0-5 contre la Chine (4 juillet 1999)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Nigeria (Reims)
12 juin 2019 : France (Nice)
17 juin 2019 : Corée du Sud (Reims)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 7
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Vainqueur (1995)
Bilan général en Coupe du Monde : 35 matches, 22 victoires, 3 matches nuls, 10 défaites, 86 buts pour, 45 buts contre
Plus large victoire : 8-0 contre le Nigeria (1995)
Plus large défaite : 0-5 contre la Chine (1999)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Bente Nordby, 22 matchs (1995, 1999, 2003, 2007) et Hege Riise (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Ann Kristin Aarones, 10 buts (1995, 1999)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Vainqueur (1995)
Bilan général en Coupe du Monde : 35 matches, 22 victoires, 3 matches nuls, 10 défaites, 86 buts pour, 45 buts contre
Plus large victoire : 8-0 contre le Nigeria (1995)
Plus large défaite : 0-5 contre la Chine (1999)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Bente Nordby, 22 matchs (1995, 1999, 2003, 2007) et Hege Riise (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Ann Kristin Aarones, 10 buts (1995, 1999)
Qualifications
Dans le groupe 3 des qualifications pour la Coupe du monde, la Norvège a obtenu sa qualification directe lors de la dernière journée en battant les Pays-Bas alors leaders du groupe. Une belle performance, alors que son seul faux-pas était survenu contre les championnes d'Europe, vainqueurs à domicile dans le temps additionnel. La Norvège a donc réalisé une phase de qualification très solide, avec un bilan de sept victoires et une défaite en huit rencontres dans un groupe relevé.
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 22 buts pour, 4 buts contre
Irlande du Nord (4-1, 3-0) ; Slovaquie (6-1, 4-0) ; Pays-Bas (0-1, 2-1) ; Irlande (2-0, 1-0)
Sélectionneurs : Sjögren (8)
Bilan joueuses/buteuses
G : Hjelmseth (8)
D : Thorisdottir (8), Wold (8), Leine (1), Mjelde (8/1), Minde (6)
M : Haavi (5), Maanum (8), Skinnes Hansen (4), Reiten (8/4), Spord (3), Engen (5/1), Risa (4)
A : Herlovsen (6/2), Graham Hansen (8/6), Jensen (1), Utland (8/7)
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 22 buts pour, 4 buts contre
Irlande du Nord (4-1, 3-0) ; Slovaquie (6-1, 4-0) ; Pays-Bas (0-1, 2-1) ; Irlande (2-0, 1-0)
Sélectionneurs : Sjögren (8)
Bilan joueuses/buteuses
G : Hjelmseth (8)
D : Thorisdottir (8), Wold (8), Leine (1), Mjelde (8/1), Minde (6)
M : Haavi (5), Maanum (8), Skinnes Hansen (4), Reiten (8/4), Spord (3), Engen (5/1), Risa (4)
A : Herlovsen (6/2), Graham Hansen (8/6), Jensen (1), Utland (8/7)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Les Norvégiennes évoluent principalement à domicile (16) et notamment du côté de Lillestrøm (8), les joueuses restantes défendant les couleurs de clubs suédois (3), anglais (2) et allemand (2, Caroline Hansen ayant d'ores et déjà signé à Barcelone).
Les absentes
Ce n'est en aucun cas une surprise, mais il faut bien mentionner Ada Hegerberg, la star de l'équipe qui évolue en France. La Norvège a obtenu sa qualification sans la Ballon d'Or, et disputera la compétition sans elle comme cela était attendu.
Equipe-type
L'équipe devrait évoluer principalement évoluer en 4-4-2 avec Ingrid Hjelmseth qui garde a priori une petite longueur d'avance sur Cecilie Fiskerstrand pour être titulaire dans les buts. La défense devrait voir Kristine Minde à gauche, le duo de Chelsea Maren Mjelde (à moins qu'elle ne joue au milieu)/Marie Thorisdottir, Ingrid Moe Wold à droite. Au milieu, Guro Reiten devrait évoluer dans le couloir gauche, le jeune duo Ingrid Engen/Vilde Bøe Risa part avec un temps d'avance au centre, et a priori Emilie Haavi dans le couloir droit. Cela ne laisse que deux places dans le onze pour Caroline Hansen, Lisa-Marie Utland et Isabelle Herlovsen, il peut donc y avoir des modifications.
Les Norvégiennes évoluent principalement à domicile (16) et notamment du côté de Lillestrøm (8), les joueuses restantes défendant les couleurs de clubs suédois (3), anglais (2) et allemand (2, Caroline Hansen ayant d'ores et déjà signé à Barcelone).
Les absentes
Ce n'est en aucun cas une surprise, mais il faut bien mentionner Ada Hegerberg, la star de l'équipe qui évolue en France. La Norvège a obtenu sa qualification sans la Ballon d'Or, et disputera la compétition sans elle comme cela était attendu.
Equipe-type
L'équipe devrait évoluer principalement évoluer en 4-4-2 avec Ingrid Hjelmseth qui garde a priori une petite longueur d'avance sur Cecilie Fiskerstrand pour être titulaire dans les buts. La défense devrait voir Kristine Minde à gauche, le duo de Chelsea Maren Mjelde (à moins qu'elle ne joue au milieu)/Marie Thorisdottir, Ingrid Moe Wold à droite. Au milieu, Guro Reiten devrait évoluer dans le couloir gauche, le jeune duo Ingrid Engen/Vilde Bøe Risa part avec un temps d'avance au centre, et a priori Emilie Haavi dans le couloir droit. Cela ne laisse que deux places dans le onze pour Caroline Hansen, Lisa-Marie Utland et Isabelle Herlovsen, il peut donc y avoir des modifications.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : solidité générale et notamment défensive, bon mélange entre expérience et jeunesse, vitesse en attaque
§ Points faibles : créativité malgré Caroline Hansen, niveau général
§ Joueuses clés : l'équipe s'appuie avant tout sur un collectif solide, mais des joueuses telles que Maren Mjelde ou Caroline Hansen auront un rôle important.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : l'équipe évolue surtout dans un 442 assez strict, Caroline Hansen ayant un rôle d'électron libre en attaque. Les latérales sont offensives et n'hésitent pas à créer le surnombre, les côtés sont donc particulièrement à surveiller.
La joueuse à suivre
Si Caroline Hansen est natuellement la principale joueuse à suivre, Guro Reiten peut profiter de la compétition pour confirmer toutes ses qualités avant de signer pourquoi pas à l'étranger.
Le sélectionneur
Martin Sjögren est un jeune entraineur suédois, ancien joueur qui s'est fait un nom en entrainant Malmö (qui deviendra Rosengård) puis Linköping, qu'il quitte après le titre national en 2016 pour prendre les rênes de la sélection norvégienne, pour un projet « sur le long terme » avec une jeune sélection. Pour sa première compétition avec la sélection, la Norvège terminait l'Euro 2017 avec un bilan de trois défaites en autant de rencontres.
§ Points forts : solidité générale et notamment défensive, bon mélange entre expérience et jeunesse, vitesse en attaque
§ Points faibles : créativité malgré Caroline Hansen, niveau général
§ Joueuses clés : l'équipe s'appuie avant tout sur un collectif solide, mais des joueuses telles que Maren Mjelde ou Caroline Hansen auront un rôle important.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : l'équipe évolue surtout dans un 442 assez strict, Caroline Hansen ayant un rôle d'électron libre en attaque. Les latérales sont offensives et n'hésitent pas à créer le surnombre, les côtés sont donc particulièrement à surveiller.
La joueuse à suivre
Si Caroline Hansen est natuellement la principale joueuse à suivre, Guro Reiten peut profiter de la compétition pour confirmer toutes ses qualités avant de signer pourquoi pas à l'étranger.
Le sélectionneur
Martin Sjögren est un jeune entraineur suédois, ancien joueur qui s'est fait un nom en entrainant Malmö (qui deviendra Rosengård) puis Linköping, qu'il quitte après le titre national en 2016 pour prendre les rênes de la sélection norvégienne, pour un projet « sur le long terme » avec une jeune sélection. Pour sa première compétition avec la sélection, la Norvège terminait l'Euro 2017 avec un bilan de trois défaites en autant de rencontres.
La préparation
2 juin : Afrique du Sud
9 avril : Nouvelle-Zélande 0-1 (P)
5 avril : Nouvelle-Zélande 1-0 (G) *non FIFA
6 mars : Pologne 3-0 (G)
1er mars : Chine 3-1 (G)
27 février : Danemark 2-1 (G)
22 janvier : Canada 0-1 (P)
17 janvier : Ecosse 3-1 (G)
9 avril : Nouvelle-Zélande 0-1 (P)
5 avril : Nouvelle-Zélande 1-0 (G) *non FIFA
6 mars : Pologne 3-0 (G)
1er mars : Chine 3-1 (G)
27 février : Danemark 2-1 (G)
22 janvier : Canada 0-1 (P)
17 janvier : Ecosse 3-1 (G)
Faits et chiffres
La Norvège a été la première sélection à disputer deux finales consécutives. Après avoir perdu la première finale de l’histoire en 1991 face aux États-Unis, elle l’a emporté quatre ans plus tard devant l’Allemagne.
En Coupe du Monde Féminine de la FIFA, les Norvégiennes détiennent le record du nombre de victoires d’affilée (10 entre 1995 et 1999) et du nombre de matches consécutifs en ayant marqué (15 entre 1991 et 1999).
En Coupe du Monde Féminine de la FIFA, les Norvégiennes détiennent le record du nombre de victoires d’affilée (10 entre 1995 et 1999) et du nombre de matches consécutifs en ayant marqué (15 entre 1991 et 1999).
L'avis de FOOTOFEMININ
Face au Nigeria, à la France et à la Corée du Sud (dans l'ordre des matches) dans le groupe A de la Coupe du monde, la Norvège a toutes ses chances de rejoindre les huitièmes de finale et ne devrait en tout cas pas terminer avec un bilan similaire à celui de l'Euro. Selon les confrontations qui s'offriraient à elle en cas de qualification pour les huitièmes de finale, elle a le potentiel pour rejoindre les quarts de finale, ce qui serait son meilleur résultat depuis 2007.
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Bleues - Griedge MBOCK : « Prendre le temps de profiter »
La défenseure centrale de l’équipe de France est apparue, comme à son habitude, souriante et détendue, à une semaine du début de la coupe du monde. Elle confie sa volonté de profiter des derniers instants de préparation au Mondial, dont le match face à la Chine ce vendredi à Créteil qui était l'occasion de sa 50e sélection.
Il y a un peu plus d’une semaine, vous remportiez la ligue des champions avec l’OL pour la 4e fois consécutive. Ça n’a pas été dur de passer de l’euphorie de la victoire au retour de la préparation ?
Non, honnêtement ça n’a pas été dur. On est sur une bonne dynamique, une vague positive, dont on se sert pour switcher. On veut amener cette énergie positive au service du groupe et de l’équipe de France ! On a des objectifs, on sait où on veut aller, donc c’est avec plaisir qu’on s’est replongées dans la préparation. Une usure mentale ? Non, on savait que ça allait s’enchaîner, on était prêtes pour ça, l’essentiel était de gagner, on l’a fait, et ça nous met encore plus de bonne humeur.
Comment se sont passées les retrouvailles ?
Ça faisait plaisir de revoir le reste du groupe, ça faisait un petit moment qu’on ne les avait pas vu, donc ça nous fait plaisir d’être de retour en Bleue, de retrouver nos habitudes, nos coéquipières. On a retrouvé un groupe qui vit bien, qui a bien travaillé aussi.
On a beaucoup parlé de la préparation physique que l’équipe a effectuée au début du stage de préparation. Le préparateur physique (Anthony Grech Angelini, NDLR), vous a-t-il laissé plus tranquilles, vous les Lyonnaises ?
Non (rires) ! On a dû rattraper ce que les filles ont fait aussi, ce qui est normal parce que la coupe du monde approche à grand pas, et qu’on a aussi besoin de se régénérer, d’avoir une charge physique dans les jambes afin de pouvoir répéter les matches et les efforts.
Non, honnêtement ça n’a pas été dur. On est sur une bonne dynamique, une vague positive, dont on se sert pour switcher. On veut amener cette énergie positive au service du groupe et de l’équipe de France ! On a des objectifs, on sait où on veut aller, donc c’est avec plaisir qu’on s’est replongées dans la préparation. Une usure mentale ? Non, on savait que ça allait s’enchaîner, on était prêtes pour ça, l’essentiel était de gagner, on l’a fait, et ça nous met encore plus de bonne humeur.
Comment se sont passées les retrouvailles ?
Ça faisait plaisir de revoir le reste du groupe, ça faisait un petit moment qu’on ne les avait pas vu, donc ça nous fait plaisir d’être de retour en Bleue, de retrouver nos habitudes, nos coéquipières. On a retrouvé un groupe qui vit bien, qui a bien travaillé aussi.
On a beaucoup parlé de la préparation physique que l’équipe a effectuée au début du stage de préparation. Le préparateur physique (Anthony Grech Angelini, NDLR), vous a-t-il laissé plus tranquilles, vous les Lyonnaises ?
Non (rires) ! On a dû rattraper ce que les filles ont fait aussi, ce qui est normal parce que la coupe du monde approche à grand pas, et qu’on a aussi besoin de se régénérer, d’avoir une charge physique dans les jambes afin de pouvoir répéter les matches et les efforts.
La coupe du monde arrive bientôt, mais dans le groupe, est-ce qu’on n’est pas impatient d’être le 7 juin ?
Il reste 10 jours (cette interview a eu lieu le 28 mai, NDLR), on va s’en servir pour continuer à travailler, peaufiner les derniers détails, se mettre dans notre bulle. C’est sûr que ça va venir vite aussi, donc il faut profiter au maximum, parce qu’il ne faut pas laisser passer ces moments. On va s’en servir pour continuer à garder cette cohésion de groupe qu’on a, cette ambiance, l’ambiance de travail aussi car on bosse bien. C’est important de prendre le temps de profiter de tout ça.
Vous vous endormez sans soucis le soir ? Il n’y a un peu d’appréhension à l’approche du coup d’envoi ?
Honnêtement, je ne ressens pas forcément d’appréhension, le fait d’être dans notre bulle nous aide aussi à évacuer je pense. On n’a pas forcément le temps d’y penser non plus, on est souvent à l’entraînement, on a pas mal de choses à faire, ça nous permet de ne pas trop penser à ça pour le moment.
Qui met le plus d’ambiance dans le groupe ?
Il y en a beaucoup (elle éclate de rire) ! La première c’est Vivianne Asseyi, Grace Geyoro, qui fait la timide alors qu’elle ne l’est pas du tout. Il y a aussi Aissatou Tounkara.... il y en a pas mal !
Et Griedge Mbock ?
(rires) Je ne vais ni confirmer, ni infirmer !
Il reste 10 jours (cette interview a eu lieu le 28 mai, NDLR), on va s’en servir pour continuer à travailler, peaufiner les derniers détails, se mettre dans notre bulle. C’est sûr que ça va venir vite aussi, donc il faut profiter au maximum, parce qu’il ne faut pas laisser passer ces moments. On va s’en servir pour continuer à garder cette cohésion de groupe qu’on a, cette ambiance, l’ambiance de travail aussi car on bosse bien. C’est important de prendre le temps de profiter de tout ça.
Vous vous endormez sans soucis le soir ? Il n’y a un peu d’appréhension à l’approche du coup d’envoi ?
Honnêtement, je ne ressens pas forcément d’appréhension, le fait d’être dans notre bulle nous aide aussi à évacuer je pense. On n’a pas forcément le temps d’y penser non plus, on est souvent à l’entraînement, on a pas mal de choses à faire, ça nous permet de ne pas trop penser à ça pour le moment.
Qui met le plus d’ambiance dans le groupe ?
Il y en a beaucoup (elle éclate de rire) ! La première c’est Vivianne Asseyi, Grace Geyoro, qui fait la timide alors qu’elle ne l’est pas du tout. Il y a aussi Aissatou Tounkara.... il y en a pas mal !
Et Griedge Mbock ?
(rires) Je ne vais ni confirmer, ni infirmer !
"Le meilleur moyen de se préparer c’est de ne pas penser aux blessures mais à la compétition"
Comment est-ce que vous interprétez l’engouement des fans ? Ça vous ajoute une pression supplémentaire ou ça vous rassure quant à l’ambiance lors du Mondial ?
On se dit que c’est cool ! Le fait qu’il y ait autant de personnes qui vont nous suivre, on sait qu’on a de la chance, on en est conscientes. Il n’y a pas de pression à se mettre, avoir autant de personnes derrière nous, ça va nous booster lors des moments difficiles, on va s’en servir pour donner le maximum, c’est une bonne chose.
Qui dit coupe du monde, dit que tous les regards vont être braqués sur vous. Mais cela veut également dire qu’il y aura plus de critiques. Est-ce que vous avez fait, en groupe ou à titre personnel, un travail de préparation mental ?
On fait du travail sur ça oui, mais après on ne se focalise pas trop sur les critiques. Quand on rate un match on sait ce qui n’a pas été, le plus important c’est le retour de la sélectionneuse. Ensuite il faut essayer de gommer ces erreurs, ce qui peut se dire à côté il faut en faire abstraction.
Lors du match face à la Thaïlande (3-0) samedi dernier, où tu n’as pas joué, quel était le retour de Corinne Diacre dans le vestiaire ?
Qu’on pouvait faire mieux, qu’il fallait continuer à travailler, que la coupe du monde était proche et qu’il fallait continuer de renforcer nos bases. Elle a dit que ça avait été un bon match de préparation pour cela. Elle savait aussi qu’il y avait pas mal de fatigue, parce qu’on avait beaucoup travaillé, puis elle nous a dit qu’il fallait se focaliser sur le match de la Chine.
On se dit que c’est cool ! Le fait qu’il y ait autant de personnes qui vont nous suivre, on sait qu’on a de la chance, on en est conscientes. Il n’y a pas de pression à se mettre, avoir autant de personnes derrière nous, ça va nous booster lors des moments difficiles, on va s’en servir pour donner le maximum, c’est une bonne chose.
Qui dit coupe du monde, dit que tous les regards vont être braqués sur vous. Mais cela veut également dire qu’il y aura plus de critiques. Est-ce que vous avez fait, en groupe ou à titre personnel, un travail de préparation mental ?
On fait du travail sur ça oui, mais après on ne se focalise pas trop sur les critiques. Quand on rate un match on sait ce qui n’a pas été, le plus important c’est le retour de la sélectionneuse. Ensuite il faut essayer de gommer ces erreurs, ce qui peut se dire à côté il faut en faire abstraction.
Lors du match face à la Thaïlande (3-0) samedi dernier, où tu n’as pas joué, quel était le retour de Corinne Diacre dans le vestiaire ?
Qu’on pouvait faire mieux, qu’il fallait continuer à travailler, que la coupe du monde était proche et qu’il fallait continuer de renforcer nos bases. Elle a dit que ça avait été un bon match de préparation pour cela. Elle savait aussi qu’il y avait pas mal de fatigue, parce qu’on avait beaucoup travaillé, puis elle nous a dit qu’il fallait se focaliser sur le match de la Chine.
Une rencontre qui va ressembler beaucoup plus à une mise en place en vue du match d’ouverture face à la Corée du Sud dans une semaine.
Ça va être une équipe qui va se rapprocher de la Corée, avec un jeu basé sur la technique, avec beaucoup de déplacements. Ça va être une bonne préparation pour le match de la semaine prochaine. Le résultat et la manière vont être aussi importants l’un que l’autre. Il va forcément falloir engranger de la confiance. La sélectionneuse appuie beaucoup sur la manière, on se doit de reproduire ce qu’on fait à l’entraînement, d’être performantes, de jouer de se lâcher, et d’essayer de se mettre en mode coupe du monde, pour lancer la compétition.
Est-ce qu’on n’a pas, dans un coin de la tête, l’angoisse de se blesser juste avant le Mondial ?
Non, ce n’est pas nécessaire de penser à ça. C’est en mettant le frein à main qu’on peut risquer des blessures, le meilleur moyen de se préparer c’est de mettre tous les ingrédients nécessaires, dans l’agressivité, dans l’intensité, ne pas penser aux blessures mais à la compétition.
Ça va être une équipe qui va se rapprocher de la Corée, avec un jeu basé sur la technique, avec beaucoup de déplacements. Ça va être une bonne préparation pour le match de la semaine prochaine. Le résultat et la manière vont être aussi importants l’un que l’autre. Il va forcément falloir engranger de la confiance. La sélectionneuse appuie beaucoup sur la manière, on se doit de reproduire ce qu’on fait à l’entraînement, d’être performantes, de jouer de se lâcher, et d’essayer de se mettre en mode coupe du monde, pour lancer la compétition.
Est-ce qu’on n’a pas, dans un coin de la tête, l’angoisse de se blesser juste avant le Mondial ?
Non, ce n’est pas nécessaire de penser à ça. C’est en mettant le frein à main qu’on peut risquer des blessures, le meilleur moyen de se préparer c’est de mettre tous les ingrédients nécessaires, dans l’agressivité, dans l’intensité, ne pas penser aux blessures mais à la compétition.
Griedge MBOCK BATHY NKA
Défenseure
Née le 26 février 1995 à Brest
1,73 m - 66 kg
50 sélections - 5 buts
Première sélection : 23.11.13 contre la Bulgarie (10-0)
Premier but : 22.01.17 contre l'Afrique du Sud (2-0)
Sélections
A : 50
U20 : 8
U19 : 11
U17 : 28
Clubs
SC Pontanézen (2001-2006)
AS Brestoise (2006-2010)
Stade Briochin (2010-2011)
EA Guingamp (2011-2015)
O. Lyonnais (2015-)
D1
Nombre de matchs : 154
Nombre de buts : 20
Premier match : 04.09.10 contre Yzeure
Palmarès
Vainqueur de la Coupe du Monde U17 (2012)
Vainqueur de l'Euro U19 (2013)
Vainqueur de la Ligue des Champions (2016, 2017, 2018, 2019)
Vainqueur du Championnat de France de D1 (2016, 2017, 2018, 2019)
Vainqueur de la Coupe de France (2016, 2017, 2019)
Défenseure
Née le 26 février 1995 à Brest
1,73 m - 66 kg
50 sélections - 5 buts
Première sélection : 23.11.13 contre la Bulgarie (10-0)
Premier but : 22.01.17 contre l'Afrique du Sud (2-0)
Sélections
A : 50
U20 : 8
U19 : 11
U17 : 28
Clubs
SC Pontanézen (2001-2006)
AS Brestoise (2006-2010)
Stade Briochin (2010-2011)
EA Guingamp (2011-2015)
O. Lyonnais (2015-)
D1
Nombre de matchs : 154
Nombre de buts : 20
Premier match : 04.09.10 contre Yzeure
Palmarès
Vainqueur de la Coupe du Monde U17 (2012)
Vainqueur de l'Euro U19 (2013)
Vainqueur de la Ligue des Champions (2016, 2017, 2018, 2019)
Vainqueur du Championnat de France de D1 (2016, 2017, 2018, 2019)
Vainqueur de la Coupe de France (2016, 2017, 2019)
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Coupe du Monde - Groupe F : Présentation de la SUEDE (9/24)
Présente lors de chaque édition, la Suède a décroché son meilleur résultat en 2003, en atteignant la finale. Pour sa 8e participation, elle hérite du groupe des Etats-Unis.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 9e
Meilleur classement FIFA : 3e (06/2007)
Premier match de la sélection : 25 août 1973 contre la Finlande (0-0)
Plus large victoire : 17-0 contre l'Azerbaidjan (13 juin 2010)
Plus large défaite : 1-5 contre le Brésil (6 août 2016)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Chili (Rennes)
16 juin 2019 : Thaïlande (Nice)
20 juin 2019 : Etats-Unis (Le Havre)
Meilleur classement FIFA : 3e (06/2007)
Premier match de la sélection : 25 août 1973 contre la Finlande (0-0)
Plus large victoire : 17-0 contre l'Azerbaidjan (13 juin 2010)
Plus large défaite : 1-5 contre le Brésil (6 août 2016)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Chili (Rennes)
16 juin 2019 : Thaïlande (Nice)
20 juin 2019 : Etats-Unis (Le Havre)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 7
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Finaliste (2003)
Bilan général en Coupe du Monde : 33 matches, 18 victoires, 5 matches nuls, 10 défaites, 59 buts pour, 42 buts contre
Plus large victoire : 8-0 contre le Japon (1991)
Plus large défaite : 1-4 contre la Norvège (1991)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Therese Sjögran, 18 matchs (2003, 2007, 2011, 2015)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Victoria Svensson, 6 buts (1999, 2003, 2007) et Lena Videkull, 6 buts (1991, 1995)
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : Finaliste (2003)
Bilan général en Coupe du Monde : 33 matches, 18 victoires, 5 matches nuls, 10 défaites, 59 buts pour, 42 buts contre
Plus large victoire : 8-0 contre le Japon (1991)
Plus large défaite : 1-4 contre la Norvège (1991)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Therese Sjögran, 18 matchs (2003, 2007, 2011, 2015)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Victoria Svensson, 6 buts (1999, 2003, 2007) et Lena Videkull, 6 buts (1991, 1995)
Qualifications
La Suède s'est fait un peu peur lors des qualification. Alors qu'elle survolait son groupe, aidée par une victoire sur tapis vert face au Danemark, elle perdait en Ukraine pour relancer le suspense avant le dernier rassemblement. Mais un match nul du Danemark face à la Croatie et une courte victoire chez son principal adversaire lui permettait d'obtenir sa qualification directe pour la Coupe du monde.
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 22 buts pour, 2 buts contre
Croatie (2-0, 4-0) ; Danemark (3-0F, 1-0) ; Hongrie (5-0, 4-1) ; Ukraine (0-1, 3-0)
Sélectionneurs : Gerhardsson (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Lindahl (7)
D : Adolfsson (1), Eriksson (5/1), Oskarsson (1), Glas (4), Sembrant (7), Fischer (7/1), Carlsson (2), J.Andersson (7)
M : Seger (5/2), Rubensson (6/2), Folkesson (3/1), Asllani (7/4), Anvegård (2), Karlenäs (1)
A : Schough (3), Jakobsson (5/2), Hurtig (4/2), M.Larsson (4/1), Blackstenius (7/3)
Date de qualification : 4 septembre 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 22 buts pour, 2 buts contre
Croatie (2-0, 4-0) ; Danemark (3-0F, 1-0) ; Hongrie (5-0, 4-1) ; Ukraine (0-1, 3-0)
Sélectionneurs : Gerhardsson (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Lindahl (7)
D : Adolfsson (1), Eriksson (5/1), Oskarsson (1), Glas (4), Sembrant (7), Fischer (7/1), Carlsson (2), J.Andersson (7)
M : Seger (5/2), Rubensson (6/2), Folkesson (3/1), Asllani (7/4), Anvegård (2), Karlenäs (1)
A : Schough (3), Jakobsson (5/2), Hurtig (4/2), M.Larsson (4/1), Blackstenius (7/3)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Les joueuses appelées évoluent majoritairement en Suède (14) dans différents clubs, et dans les grands championnats : Allemagne, Angleterre et France (3, avant les transferts estivaux). On peut observer un certain rajeunissement de l'équipe avec des jeunes de talent appelées aux côtés de joueuses de grande expérience.
Les absentes
: Les expérimentées Jessica Samuelsson et Hannah Folkesson manqueront le rendez-vous français. Il ne s'agit pas pour autant d'absences cruciales car de nouvelles joueuses ont donné satisfacation à leur poste.
Equipe-type
Avec des dispositions tactiques variées et des jeunes qui commencent à s'imposer, difficile de proposer une équipe-type. Il est certain que Hedvig Kindahl gardera les buts de la sélection, avec Nilla Fischer en défense centrale, aux côtés de Linda Sembrant ou Amanda Ilestedt. Magda Eriksson sera titulaire également, dans une défense à trois ou à quatre. Hannah Glas et Jonna Andersson peuvent également débuter sur les côtés selon la tactique utilisée. Au milieu, Caroline Seger évoluera a priori avec Elin Rubensson au centre, ainsi que Kosovare Asllani un cran au-dessus. La richesse du secteur offensif et les tactiques variées devraient voir différentes joueuses débuter selon les rencontres, mais Mimmi Larsson semble avoir gagné un poste de titulaire devant.
Les joueuses appelées évoluent majoritairement en Suède (14) dans différents clubs, et dans les grands championnats : Allemagne, Angleterre et France (3, avant les transferts estivaux). On peut observer un certain rajeunissement de l'équipe avec des jeunes de talent appelées aux côtés de joueuses de grande expérience.
Les absentes
: Les expérimentées Jessica Samuelsson et Hannah Folkesson manqueront le rendez-vous français. Il ne s'agit pas pour autant d'absences cruciales car de nouvelles joueuses ont donné satisfacation à leur poste.
Equipe-type
Avec des dispositions tactiques variées et des jeunes qui commencent à s'imposer, difficile de proposer une équipe-type. Il est certain que Hedvig Kindahl gardera les buts de la sélection, avec Nilla Fischer en défense centrale, aux côtés de Linda Sembrant ou Amanda Ilestedt. Magda Eriksson sera titulaire également, dans une défense à trois ou à quatre. Hannah Glas et Jonna Andersson peuvent également débuter sur les côtés selon la tactique utilisée. Au milieu, Caroline Seger évoluera a priori avec Elin Rubensson au centre, ainsi que Kosovare Asllani un cran au-dessus. La richesse du secteur offensif et les tactiques variées devraient voir différentes joueuses débuter selon les rencontres, mais Mimmi Larsson semble avoir gagné un poste de titulaire devant.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : un secteur offensif riche, de la solidité à tous les étages, une défense qui tient la route
§ Points faibles : une équipe qui se cherche encore tactiquement par moments et peut obtenir des résultats quelque peu décevants
§ Joueuses clés : la colonne vertébrale Hedvig Lindahl, Nilla Fischer, Caroline Seger, Kosovare Asllani
§ Infos à savoir sur le système de jeu : Peter Gerhardsson semble encore chercher quelle disposition tactique lui permet d'obtenir le maximum d'un groupe qui dispose d'un beau potentiel, aussi bien défensivement qu'offensivement.
La joueuse à suivre
Kosovare Asllani est probablement la joueuse-clé de l'animation offensive, souvent impliquée dans les bons coups. Parmi les (nombreuses) attaquantes, Mimmi Larsson semble être la plus en forme.
Le sélectionneur
Peter Gerhardsson est un ancien joueur suédois (plus de 200 matches de championnat) qui disposait d'une solide réputation en tant qu'entraineur du côté du football masculin. Comme prévu depuis plusieurs mois, il a pris les rênes de la sélection après l'Euro 2017, succédant à Pia Sundhage qui avait gagné la médaille d'argent aux Jeux olympiques de 2016.
§ Points forts : un secteur offensif riche, de la solidité à tous les étages, une défense qui tient la route
§ Points faibles : une équipe qui se cherche encore tactiquement par moments et peut obtenir des résultats quelque peu décevants
§ Joueuses clés : la colonne vertébrale Hedvig Lindahl, Nilla Fischer, Caroline Seger, Kosovare Asllani
§ Infos à savoir sur le système de jeu : Peter Gerhardsson semble encore chercher quelle disposition tactique lui permet d'obtenir le maximum d'un groupe qui dispose d'un beau potentiel, aussi bien défensivement qu'offensivement.
La joueuse à suivre
Kosovare Asllani est probablement la joueuse-clé de l'animation offensive, souvent impliquée dans les bons coups. Parmi les (nombreuses) attaquantes, Mimmi Larsson semble être la plus en forme.
Le sélectionneur
Peter Gerhardsson est un ancien joueur suédois (plus de 200 matches de championnat) qui disposait d'une solide réputation en tant qu'entraineur du côté du football masculin. Comme prévu depuis plusieurs mois, il a pris les rênes de la sélection après l'Euro 2017, succédant à Pia Sundhage qui avait gagné la médaille d'argent aux Jeux olympiques de 2016.
La préparation
31 mai : Corée du Sud 1-0 (G)
28 mai : Corée du Sud 4-0 (G) *non FIFA (3x30 min)
9 avril : Autriche 2-0 (G)
6 avril : Allemagne 1-2 (P)
6 mars : Canada 0-0 tab 5-6 (N)
1er mars : Portugal 1-2 (P)
27 février : Suisse 4-1 (G)
22 janvier : Afrique du Sud 0-0 (N)
17 janvier : Afrique du Sud 4-0 (G) *non FIFA (3x30 min)
28 mai : Corée du Sud 4-0 (G) *non FIFA (3x30 min)
9 avril : Autriche 2-0 (G)
6 avril : Allemagne 1-2 (P)
6 mars : Canada 0-0 tab 5-6 (N)
1er mars : Portugal 1-2 (P)
27 février : Suisse 4-1 (G)
22 janvier : Afrique du Sud 0-0 (N)
17 janvier : Afrique du Sud 4-0 (G) *non FIFA (3x30 min)
Faits et chiffres
Présente lors de chaque édition, la Suède a décroché son meilleur résultat en 2003, s’inclinant 2-1 en finale devant l’Allemagne, sur un but en or de Nia Künzer après prolongation.
C’est à la Suédoise Lena Videkull que l’on doit le but le plus rapide de l’histoire de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, inscrit après seulement 30 secondes de jeu contre le Japon, en 1991.
C’est à la Suédoise Lena Videkull que l’on doit le but le plus rapide de l’histoire de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, inscrit après seulement 30 secondes de jeu contre le Japon, en 1991.
L'avis de FOOTOFEMININ
Face au Chili, à la Thaïlande et aux États-Unis dans le groupe F, la Suède devrait sauf (grosse) surprise se qualifier pour les huitièmes de finale. La suite de la compétition dépendra de l'opposition, mais dans un bon jour, la Suède peut être dangereuse et si tous les éléments se mettent en place, elle peut réaliser un beau parcours.
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Livre - "La GRANDE HISTOIRE DES BLEUES", les coulisses de l'histoire de la sélection
A travers des témoignages d'actrices et acteurs de toutes les époques, Claire Gaillard, journaliste à L'Equipe entre 2009 et 2017 et désormais au Comité d'organisation de la Coupe du Monde, vous fait replonger dans ce qui a construit le football féminin français.
De la première buteuse des Bleues, Jocelyne Ratignier, en 1971 à la recordwoman actuelle Marinette Pichon en passant par les sélectionneurs Aimé Mignot, Elisabeth Loisel et Bruno Bini, ce sont autant de témoignages qui permettent de comprendre la lente et difficile évolution des Bleues et de la pratique féminine en France.
Ce sont aussi 16 internationales ou anciennes internationales parmi les plus capées, des dirigeants majeurs qui racontent au travers de portraits et d'entretiens leurs histoires, leurs espoirs, leurs doutes. Un livre également illustrée par de nombreuses photos.
A ne pas manquer. En vente dès ce lundi 3 juin 2019 aux éditions Hachette au prix de 25€
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#D1F - Mercato : le point
Le point sur les mouvements en D1
LYON
Entr.: Reynald Pedros
Arrivées : Nikita Parris (Manchester City, ANG)
Départs : Jessica Fishlock (fin de prêt, Seattle Reign, USA), Florencia Soledad Jaimes, Charles Devineau (entraîneur-adjoint)
PSG
Entr.: Olivier Echouafni
Arrivées : Jordyn Huitema (Whitecaps de Vancouver, CAN), Sara Däbritz (FC Bayern Munich, ALL)
Départ :
MONTPELLIER
Entr.: Frédéric Mendy
Arrivées : Frédéric Mendy (entr., déjà au club)
Départs : Jean-Louis Saez (entr., reste au club), Virginia Torrecilla (Atlético Madrid, ESP), Casey Murphy
Entr.: Reynald Pedros
Arrivées : Nikita Parris (Manchester City, ANG)
Départs : Jessica Fishlock (fin de prêt, Seattle Reign, USA), Florencia Soledad Jaimes, Charles Devineau (entraîneur-adjoint)
PSG
Entr.: Olivier Echouafni
Arrivées : Jordyn Huitema (Whitecaps de Vancouver, CAN), Sara Däbritz (FC Bayern Munich, ALL)
Départ :
MONTPELLIER
Entr.: Frédéric Mendy
Arrivées : Frédéric Mendy (entr., déjà au club)
Départs : Jean-Louis Saez (entr., reste au club), Virginia Torrecilla (Atlético Madrid, ESP), Casey Murphy
BORDEAUX
Entr.: Jérôme Dauba (fin de contrat)
Arrivées : Charlotte Bilbault (Paris FC), Inès Jaurena (Paris FC)
Départs : Solène Barbance, Rose Lavaud, Carol Rodrigues, Chloé Bornes, Juliane Gathrat, Melike Pekel
PARIS FC
Entr.: Sandrine Soubeyrand
Arrivées :
Départs : Charlotte Bilbault (Bordeaux), Inès Jaurena (Bordeaux)
SOYAUX
Entr.: Sébastien Joseph
Arrivées : Kimberley Cazeau (Rodez AF)
Départs :
Entr.: Jérôme Dauba (fin de contrat)
Arrivées : Charlotte Bilbault (Paris FC), Inès Jaurena (Paris FC)
Départs : Solène Barbance, Rose Lavaud, Carol Rodrigues, Chloé Bornes, Juliane Gathrat, Melike Pekel
PARIS FC
Entr.: Sandrine Soubeyrand
Arrivées :
Départs : Charlotte Bilbault (Bordeaux), Inès Jaurena (Bordeaux)
SOYAUX
Entr.: Sébastien Joseph
Arrivées : Kimberley Cazeau (Rodez AF)
Départs :
EA GUINGAMP
Entr.: Frédéric Biancalani
Arrivées :
Départs :
DIJON FCOF
Entr.: Yannick Chandioux
Arrivées :
Départs :
FC FLEURY
Entr.:
Arrivées : Stine Larsen (Brøndby IF, DAN)
Départs :
Entr.: Frédéric Biancalani
Arrivées :
Départs :
DIJON FCOF
Entr.: Yannick Chandioux
Arrivées :
Départs :
FC FLEURY
Entr.:
Arrivées : Stine Larsen (Brøndby IF, DAN)
Départs :
FC METZ
Entr.: Manuel Peixoto
Arrivées :
Départs : Marie-Laure Delie
STADE DE REIMS
Entr.: Amandine Miquel
Arrivées :
Départs :
O. MARSEILLE
Entr.: Christophe Parra
Arrivées :
Départs : Amandine Soulard
Entr.: Manuel Peixoto
Arrivées :
Départs : Marie-Laure Delie
STADE DE REIMS
Entr.: Amandine Miquel
Arrivées :
Départs :
O. MARSEILLE
Entr.: Christophe Parra
Arrivées :
Départs : Amandine Soulard
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Coupe du Monde - Groupe B : Présentation de l'AFRIQUE DU SUD (10/24)
Les Banyana Banyana s'apprêtent à disputer leur première Coupe du Monde en France après avoir atteint la finale de la dernière Coupe d'Afrique des Nations
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 19e
Meilleur classement FIFA : 10e (08/2007)
Premier match de la sélection : 30 mai 1993 contre le Swaziland (14-0)
Plus large victoire : 14-0 contre le Swaziland (30 mai 1993) et 4-0 contre le Botswana (19 avril 2002)
Plus large défaite : 0-13 contre la Chine (7 septembre 2003)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Espagne (Le Havre)
13 juin 2019 : Chine (Paris)
17 juin 2019 : Allemagne (Montpellier)
Meilleur classement FIFA : 10e (08/2007)
Premier match de la sélection : 30 mai 1993 contre le Swaziland (14-0)
Plus large victoire : 14-0 contre le Swaziland (30 mai 1993) et 4-0 contre le Botswana (19 avril 2002)
Plus large défaite : 0-13 contre la Chine (7 septembre 2003)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Espagne (Le Havre)
13 juin 2019 : Chine (Paris)
17 juin 2019 : Allemagne (Montpellier)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 0
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : -
Bilan général en Coupe du Monde : -
Plus large victoire : -
Plus large défaite : -
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :-
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : -
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : -
Bilan général en Coupe du Monde : -
Plus large victoire : -
Plus large défaite : -
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :-
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : -
Qualifications
L'Afrique du Sud a atteint la finale de la Coupe d'Afrique des Nations après avoir terminé en tête de son groupe, battant le Nigeria lors de son premier match. En finale, face aux tenantes du titre, les Banyana Banyana ont échoué lors de la séance de tirs au but pour remporter un premier titre dans la compétition.
Date de qualification : 27 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 5 victoires, 2 nuls, 18 buts pour, 2 buts contre
Lesotho (1-0, 6-0), Nigeria (1-0, 0-0 a.p. tab 3-4), Guinée Equatoriale (7-1), Zambie (1-1), Mali (2-0)
Sélectionneurs : Ellis (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Swart (5), Barker (2)
D : Ramalepe (7/1), Vilakazi (7), van Wyk (5), Mbane (7), Smeda (7/2), Mogolola (2), Nhalpo (1)
M : Makhabane (6), Mohlakoana (3), Motlhalo (5/1), Jane (6/1), Nyandeni (4/1), Magaia (1/1), Xesi (1), Salgado (1)
A : Matlou (2), Mthandi (2/1), Kgatlana (5/5), Seoposenwe (7/3), Kgadiete (1), Ndimeni (4), Esau (2/2)
Date de qualification : 27 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 5 victoires, 2 nuls, 18 buts pour, 2 buts contre
Lesotho (1-0, 6-0), Nigeria (1-0, 0-0 a.p. tab 3-4), Guinée Equatoriale (7-1), Zambie (1-1), Mali (2-0)
Sélectionneurs : Ellis (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Swart (5), Barker (2)
D : Ramalepe (7/1), Vilakazi (7), van Wyk (5), Mbane (7), Smeda (7/2), Mogolola (2), Nhalpo (1)
M : Makhabane (6), Mohlakoana (3), Motlhalo (5/1), Jane (6/1), Nyandeni (4/1), Magaia (1/1), Xesi (1), Salgado (1)
A : Matlou (2), Mthandi (2/1), Kgatlana (5/5), Seoposenwe (7/3), Kgadiete (1), Ndimeni (4), Esau (2/2)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
La majorité des Sud-Africaines évolue dans le championnat national, mais plusieurs des sélectionnées évoluent à l'étranger, notamment dans le secteur offensif : en Chine et en Lituanie (2), en Suède et en Espagne (1).
Les absentes
La non-sélection de Mpumi Nyandeni, une des rares joueuses sud-africaines à avoir passé le cap des 100 sélections, a fait grincer quelques dents, et son expérience aurait pu apporter. Desiree Ellis a préféré donner sa chance à des jeunes talents.
Equipe-type
Ellis n'a pas hésité à changer ses dispositions tactiques, même en cours de match. Dans les buts, Ellis n'a pas choisi, et on devrait donc voir Andile Dlamani et Kaylin Swart se partager les postes, les deux gardiennes ayant poussé Roxanne Barker à la retraite l'année dernière. En défense, Janine Van Wyk devrait faire équipe avec Noko Matlou (ou Bambanani Mbane), Lebohang Ramalepe et Nothando Vilkazi. Au milieu, on pourrait voir Mamello Makhabane et Kholosa Biyana, accompagnées dans le secteur offensif de Refiloe Jane, Jane Seopensewe, Linda Motlhalo et Thembi Kgatlana.
La majorité des Sud-Africaines évolue dans le championnat national, mais plusieurs des sélectionnées évoluent à l'étranger, notamment dans le secteur offensif : en Chine et en Lituanie (2), en Suède et en Espagne (1).
Les absentes
La non-sélection de Mpumi Nyandeni, une des rares joueuses sud-africaines à avoir passé le cap des 100 sélections, a fait grincer quelques dents, et son expérience aurait pu apporter. Desiree Ellis a préféré donner sa chance à des jeunes talents.
Equipe-type
Ellis n'a pas hésité à changer ses dispositions tactiques, même en cours de match. Dans les buts, Ellis n'a pas choisi, et on devrait donc voir Andile Dlamani et Kaylin Swart se partager les postes, les deux gardiennes ayant poussé Roxanne Barker à la retraite l'année dernière. En défense, Janine Van Wyk devrait faire équipe avec Noko Matlou (ou Bambanani Mbane), Lebohang Ramalepe et Nothando Vilkazi. Au milieu, on pourrait voir Mamello Makhabane et Kholosa Biyana, accompagnées dans le secteur offensif de Refiloe Jane, Jane Seopensewe, Linda Motlhalo et Thembi Kgatlana.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : rapidité, talent offensif
§ Points faibles : niveau général, défense, finition, inexpérience
§ Joueuses clés : Janine van Wyk, Thembi Kgatlana, Linda Motlhalo
§ Infos à savoir sur le système de jeu : l'équipe peut attaquer très vite, et se montrer dangereuse. Mais, en dehors d'une carence à la finition, l'équipe peut également être rapidement déséquilibrée et en difficulté défensivement.
La joueuse à suivre
Au sein d'un secteur offensif intéressant, Thembi Kgatlana est le fer de lance de l'attaque sud-africaine. La meilleure buteuse de la dernière Coupe d'Afrique des nations, qui a évolué en NWSL et se trouve désormais en Chine (avec Linda Motlhalo), sera à surveiller particulièrement.
La sélectionneure
Desiree Ellis, avant de prendre en main la sélection, est une femme qui a marqué l'histoire de son sport en Afrique du Sud et a contribué à le faire évoluer. Présente lors du premier match de l'histoire de la sélection en tant que joueuse (elle avait 30 ans à l'époque), le 30 mai 1993, elle a été nommée sélectionneuse intérimaire après les Jeux olympiques de Rio en 2016, en remplacement de la Néerlandaise Vera Pauw, dont elle était l'assistante. Elle avait été confirmée dans ses fonctions début 2018, atteignant la finale de la Coupe d'Afrique des Nations plus tard dans l'année, obtenant ainsi la qualification pour la Coupe du monde pour laquelle elle n'a pas hésité à appelé des jeunes joueuses, préparant également l'avenir.
§ Points forts : rapidité, talent offensif
§ Points faibles : niveau général, défense, finition, inexpérience
§ Joueuses clés : Janine van Wyk, Thembi Kgatlana, Linda Motlhalo
§ Infos à savoir sur le système de jeu : l'équipe peut attaquer très vite, et se montrer dangereuse. Mais, en dehors d'une carence à la finition, l'équipe peut également être rapidement déséquilibrée et en difficulté défensivement.
La joueuse à suivre
Au sein d'un secteur offensif intéressant, Thembi Kgatlana est le fer de lance de l'attaque sud-africaine. La meilleure buteuse de la dernière Coupe d'Afrique des nations, qui a évolué en NWSL et se trouve désormais en Chine (avec Linda Motlhalo), sera à surveiller particulièrement.
La sélectionneure
Desiree Ellis, avant de prendre en main la sélection, est une femme qui a marqué l'histoire de son sport en Afrique du Sud et a contribué à le faire évoluer. Présente lors du premier match de l'histoire de la sélection en tant que joueuse (elle avait 30 ans à l'époque), le 30 mai 1993, elle a été nommée sélectionneuse intérimaire après les Jeux olympiques de Rio en 2016, en remplacement de la Néerlandaise Vera Pauw, dont elle était l'assistante. Elle avait été confirmée dans ses fonctions début 2018, atteignant la finale de la Coupe d'Afrique des Nations plus tard dans l'année, obtenant ainsi la qualification pour la Coupe du monde pour laquelle elle n'a pas hésité à appelé des jeunes joueuses, préparant également l'avenir.
La préparation
2 juin : Norvège 2-7 (P)
12 mai : Etats-Unis 0-3 (P)
7 avril : Jamaïque 1-1 (N)
6 mars : Finlande 0-3 (P)
4 mars : République tchèque 1-2 (P)
1er mars : Corée du Nord 1-4 (P)
27 février : Finlande 2-2 (N)
22 janvier : Suède 0-0 (N)
19 janvier : Suède 1-2 (P)
12 mai : Etats-Unis 0-3 (P)
7 avril : Jamaïque 1-1 (N)
6 mars : Finlande 0-3 (P)
4 mars : République tchèque 1-2 (P)
1er mars : Corée du Nord 1-4 (P)
27 février : Finlande 2-2 (N)
22 janvier : Suède 0-0 (N)
19 janvier : Suède 1-2 (P)
Faits et chiffres
L’Afrique du Sud, qualifiée pour sa première phase finale planétaire de l’histoire, est la sixième sélection africaine à participer à la Coupe du Monde Féminine de la FIFA. La dernière, le Cameroun, avait fait ses débuts en 2015 au Canada.
Depuis 2010, les sélections féminines d’Afrique du Sud ont disputé quatre compétitions de la FIFA : les Coupes du Monde Féminines U-17 de la FIFA, Trinité-et-Tobago 2010 et Uruguay 2018, ainsi que les Tournois Olympiques de Football Féminin, Londres 2012 et Rio 2016, avec à chaque fois une élimination en poules.
Depuis 2010, les sélections féminines d’Afrique du Sud ont disputé quatre compétitions de la FIFA : les Coupes du Monde Féminines U-17 de la FIFA, Trinité-et-Tobago 2010 et Uruguay 2018, ainsi que les Tournois Olympiques de Football Féminin, Londres 2012 et Rio 2016, avec à chaque fois une élimination en poules.
L'avis de FOOTOFEMININ
Avec l'Allemagne, la Chine et l'Espagne comme adversaires au premier tour, il est difficile d'imaginer l'Afrique du Sud atteindre les huitièmes de finale. Mais l'équipe n'a rien à perdre et va espérer ne pas rentrer bredouille de sa première Coupe du monde.
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Coupe du Monde - Groupe E : Présentation du CAMEROUN (11/24)
Le Cameroun disputera sa deuxième Coupe du Monde, quatre ans après avoir atteint les huitièmes. Une sélection qui comporte un fort contingent évoluant dans les championnats français de D1 et D2.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 46e
Meilleur classement FIFA : 43e (07/2015)
Premier match de la sélection : 15 juin 1991 contre le Nigeria (0-2)
Plus large victoire : 6-0 contre l'Equateur (8 juin 2015)
Plus large défaite : 0-6 contre le Nigeria (27 octobre 1998)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
10 juin 2019 : Canada (Montpellier)
15 juin 2019 : Pays-Bas (Valenciennes)
20 juin 2019 : Nouvelle-Zélande (Montpellier)
Meilleur classement FIFA : 43e (07/2015)
Premier match de la sélection : 15 juin 1991 contre le Nigeria (0-2)
Plus large victoire : 6-0 contre l'Equateur (8 juin 2015)
Plus large défaite : 0-6 contre le Nigeria (27 octobre 1998)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
10 juin 2019 : Canada (Montpellier)
15 juin 2019 : Pays-Bas (Valenciennes)
20 juin 2019 : Nouvelle-Zélande (Montpellier)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 1
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : huitième (2015)
Bilan général en Coupe du Monde : quatre matches, deux victoires, deux défaites, 9 buts pour, 4 buts contre
Plus large victoire : 6-0 face à l'Equateur (2015)
Plus large défaite : 1-2 contre le Japon, 0-1 contre la Chine (2015)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :10 joueuses à 4 matchs
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Gaëlle Enganamouit, 3 buts (2015)
Participation aux éliminatoires : 7
Meilleur parcours en Coupe du Monde : huitième (2015)
Bilan général en Coupe du Monde : quatre matches, deux victoires, deux défaites, 9 buts pour, 4 buts contre
Plus large victoire : 6-0 face à l'Equateur (2015)
Plus large défaite : 1-2 contre le Japon, 0-1 contre la Chine (2015)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :10 joueuses à 4 matchs
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Gaëlle Enganamouit, 3 buts (2015)
Qualifications
Le Cameroun a terminé à la troisième place de la Coupe d'Afrique des Nations, battant lors de son dernier match le Mali, déjà battu en phase de poule. Le Cameroun avait terminé en tête de son groupe, devant le Mali et le Ghana, pays-hôte qui a déjà participé à des Coupes du monde.
Date de qualification : 30 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 5 victoires, 2 nuls, 20 buts pour, 4 buts contre
RD Congo (5-0, 5-0) ; Mali (2-1, 4-2), Algérie (3-0), Ghana (1-1), Nigeria (0-0 a.p., tab 2-4)
Sélectionneurs : Ndoko (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Ngo Ndom (7)
D : Manie (7/2), Leuko (2), Ejangue (3), Awona (7), Meffometou (7/1), Tsadjia (1), Sonkeng (1)
M : Feudjio (7), Abena (6/4), Zouga (3), Yango Ngock (3/1), Menene (6), Mpeh Bissong (1)
A : Ngo Ndoumbouk (6), Ngo Mbeleck (6), Nchout (7/4), Onguene (7/4), Ngono Mani (2/1), Enganamouit (4/1), Akaba (5/1)
+ 1 but csc
Date de qualification : 30 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 5 victoires, 2 nuls, 20 buts pour, 4 buts contre
RD Congo (5-0, 5-0) ; Mali (2-1, 4-2), Algérie (3-0), Ghana (1-1), Nigeria (0-0 a.p., tab 2-4)
Sélectionneurs : Ndoko (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Ngo Ndom (7)
D : Manie (7/2), Leuko (2), Ejangue (3), Awona (7), Meffometou (7/1), Tsadjia (1), Sonkeng (1)
M : Feudjio (7), Abena (6/4), Zouga (3), Yango Ngock (3/1), Menene (6), Mpeh Bissong (1)
A : Ngo Ndoumbouk (6), Ngo Mbeleck (6), Nchout (7/4), Onguene (7/4), Ngono Mani (2/1), Enganamouit (4/1), Akaba (5/1)
+ 1 but csc
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Il y a plus de joueuses qui évoluent en France (8) que dans le championnat national (7), elles ne devraient donc pas être dépaysées lors de la compétition. On retrouve également des joueuses en Norvège, en Turquie, en Espagne, en Russie, aux États-Unis pour la nouvelle venue Estelle Johnson, ou encore au Nigeria. A noter la présence de deux nouvelles « recrues », Estelle Johnson et Michaela Abam, élevées au soccer et les deux binationales de l'équipe.
Les absentes
Alain Djeumfa a décidé d'écarter de sa liste finale notamment la Montpelliéraine Easther Mayi Kith, qui avait pourtant entrepris les démarches pour obtenir la nationalité camerounaise et participer à la compétition, et la jeune et talentueuse Mpeh Bissong en attaque.
Equipe-type
Dans les buts, Annette Ngo Ndom sera une nouvelle fois au rendez-vous, devant un quatuor Yvonne Leuko, Aurelle Awona, Christine Manié, Claudine Meffometou. Estelle Johnson sera-t-elle titulaire, malgré son manque de vécu avec le groupe qu'elle vient de rejoindre ? Au milieu, cela dépend si Djeumfa met en place une tactique défensive ou offensive. Un trio Jeannette Yango, Raissa Feudijo, Charlène Meyong est possible, à moins que la Nancéienne Marlyse Ngo Ndoumbouk ne soit insérée au milieu du terrain. En attaque, Gabrielle Onguéné, Ajara Nchout, Geneviève Ngo Mbelek, Henriette Akaba peuvent être titulaires. Michaela Abam est dans la même situation que Johnson, et l'état de forme de Gaëlle Enganamouit est un point d'interrogation. Un trio Onguéné/Abam/Enganamouit est intéressant sur le papier.
Il y a plus de joueuses qui évoluent en France (8) que dans le championnat national (7), elles ne devraient donc pas être dépaysées lors de la compétition. On retrouve également des joueuses en Norvège, en Turquie, en Espagne, en Russie, aux États-Unis pour la nouvelle venue Estelle Johnson, ou encore au Nigeria. A noter la présence de deux nouvelles « recrues », Estelle Johnson et Michaela Abam, élevées au soccer et les deux binationales de l'équipe.
Les absentes
Alain Djeumfa a décidé d'écarter de sa liste finale notamment la Montpelliéraine Easther Mayi Kith, qui avait pourtant entrepris les démarches pour obtenir la nationalité camerounaise et participer à la compétition, et la jeune et talentueuse Mpeh Bissong en attaque.
Equipe-type
Dans les buts, Annette Ngo Ndom sera une nouvelle fois au rendez-vous, devant un quatuor Yvonne Leuko, Aurelle Awona, Christine Manié, Claudine Meffometou. Estelle Johnson sera-t-elle titulaire, malgré son manque de vécu avec le groupe qu'elle vient de rejoindre ? Au milieu, cela dépend si Djeumfa met en place une tactique défensive ou offensive. Un trio Jeannette Yango, Raissa Feudijo, Charlène Meyong est possible, à moins que la Nancéienne Marlyse Ngo Ndoumbouk ne soit insérée au milieu du terrain. En attaque, Gabrielle Onguéné, Ajara Nchout, Geneviève Ngo Mbelek, Henriette Akaba peuvent être titulaires. Michaela Abam est dans la même situation que Johnson, et l'état de forme de Gaëlle Enganamouit est un point d'interrogation. Un trio Onguéné/Abam/Enganamouit est intéressant sur le papier.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : secteur offensif, expérience
§ Points faibles : niveau général, gardienne, préparation ?
§ Joueuses clés : Marie-Aurelle Awona, peut-être Estelle Johnson, Raissa Feudjio, Gabrielle Onguéné
§ Infos à savoir sur le système de jeu : avec un groupe qui a assez peu évolué et des cadres bien en place, le Cameroun joue bien en équipe, et se montre dangereux en passant sur les ailes notamment.
La joueuse à suivre
Estelle Johnson débute avec la sélection, mais c'est une défenseure trentenaire d'expérience, rodée à la NWSL, qui est assurément une « recrue » de taille pour le Cameroun. Reste à savoir quel sera son rôle, et si elle sera d'emblée titulaire au sein d'une défense habituée à jouer ensemble.
Le sélectionneur
Alain Djeumfa a été nommé fin janvier à la tête de la sélection. Ancien adjoint d'Enow Ngachu, figure du football féminin camerounais, il a entraîné différents clubs au pays avant de prendre la tête de la sélection. Il a l'ambition de faire mieux en 2015, où le Cameroun avait atteint les huitièmes de finale pour sa première participation.
§ Points forts : secteur offensif, expérience
§ Points faibles : niveau général, gardienne, préparation ?
§ Joueuses clés : Marie-Aurelle Awona, peut-être Estelle Johnson, Raissa Feudjio, Gabrielle Onguéné
§ Infos à savoir sur le système de jeu : avec un groupe qui a assez peu évolué et des cadres bien en place, le Cameroun joue bien en équipe, et se montre dangereux en passant sur les ailes notamment.
La joueuse à suivre
Estelle Johnson débute avec la sélection, mais c'est une défenseure trentenaire d'expérience, rodée à la NWSL, qui est assurément une « recrue » de taille pour le Cameroun. Reste à savoir quel sera son rôle, et si elle sera d'emblée titulaire au sein d'une défense habituée à jouer ensemble.
Le sélectionneur
Alain Djeumfa a été nommé fin janvier à la tête de la sélection. Ancien adjoint d'Enow Ngachu, figure du football féminin camerounais, il a entraîné différents clubs au pays avant de prendre la tête de la sélection. Il a l'ambition de faire mieux en 2015, où le Cameroun avait atteint les huitièmes de finale pour sa première participation.
La préparation
31 mai : Alhama CF GranBiBio (ESP) 4-0 (G)
28 mai : Murcia (ESP) 8-0 (G)
23 mai : Levante UD (ESP) 4-0 (G)
17 mai : Espagne 0-4 (P)
14 mai : Centre Regionale Féminine (CMR) 1-0 (G)
11 mai : APEJES Academy (CMR) 4-2 (G)
27 avril : Assia'a Robert's Football Academy (CMR) 5-1 (G)
20 avril : Anafoot (CMR) 3-3 (N)
7 avril : Chine 0-1 (P)
4 avril : Croatie 2-1 (G)
28 mai : Murcia (ESP) 8-0 (G)
23 mai : Levante UD (ESP) 4-0 (G)
17 mai : Espagne 0-4 (P)
14 mai : Centre Regionale Féminine (CMR) 1-0 (G)
11 mai : APEJES Academy (CMR) 4-2 (G)
27 avril : Assia'a Robert's Football Academy (CMR) 5-1 (G)
20 avril : Anafoot (CMR) 3-3 (N)
7 avril : Chine 0-1 (P)
4 avril : Croatie 2-1 (G)
Faits et chiffres
Le Cameroun va participer à sa deuxième Coupe du Monde Féminine de la FIFA. En 2015, les Africaines s’étaient extirpées des poules avant d’être éliminées en huitièmes de finale par la Chine.
Le Cameroun détient deux records continentaux en Coupe du Monde Féminine de la FIFA. Lors de son baptême planétaire de 2015, la sélection a signé la plus large victoire jamais enregistrée par une sélection de la CAF (6-0 face à l’Équateur), avec notamment un triplé de Gaëlle Enganamouit, une performance inédite – et inégalée à ce jour – pour une joueuse africaine.
Le Cameroun détient deux records continentaux en Coupe du Monde Féminine de la FIFA. Lors de son baptême planétaire de 2015, la sélection a signé la plus large victoire jamais enregistrée par une sélection de la CAF (6-0 face à l’Équateur), avec notamment un triplé de Gaëlle Enganamouit, une performance inédite – et inégalée à ce jour – pour une joueuse africaine.
L'avis de FOOTOFEMININ
Il y a quatre ans, le Cameroun avait su se montrer opportuniste pour rejoindre les huitièmes de finale, et donner du fil à retordre à la Chine, finalement vainqueur sur le plus petit des scores. Cette année, les Lionnes Indomptables retrouveront dans leur groupe le Canada, les Pays-Bas et la Nouvelle-Zélande dans leur groupe, donc en sortir serait une belle réussite. Mais le défi est de taille...
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Coupe du Monde - Groupe A : Présentation du NIGERIA (12/24)
Si le Nigeria poursuit son hégémonie en Afrique, malgré une dernière CAN moins dominée, l'équipe des Super Falcons devra hausser son niveau de jeu pour tenter de sortir du premier tour dans le groupe des Bleues.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 38e
Meilleur classement FIFA : 23e (07/2003)
Premier match de la sélection : 16 février 1991 contre le Ghana (5-1)
Plus large victoire : 15-0 contre le Niger (11 mai 2019)
Plus large défaite : 0-8 contre le Norvège (6 juin 1995)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Norvège (Reims)
12 juin 2019 : Corée du Sud (Grenoble)
17 juin 2019 : France (Rennes)
Meilleur classement FIFA : 23e (07/2003)
Premier match de la sélection : 16 février 1991 contre le Ghana (5-1)
Plus large victoire : 15-0 contre le Niger (11 mai 2019)
Plus large défaite : 0-8 contre le Norvège (6 juin 1995)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
8 juin 2019 : Norvège (Reims)
12 juin 2019 : Corée du Sud (Grenoble)
17 juin 2019 : France (Rennes)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 8e
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : quart (1999)
Bilan général en Coupe du Monde : 22 matches, 16 défaites, 3 matches nuls, 3 victoires, 18 buts pour, 56 buts contre
Plus large victoire : 2-0 face au Danemark (1999)
Plus large défaite : 0-8 face à la Norvège (1995)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Florence Omagbemi, 13 sélections (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Rita Nwadike, 3 buts (1995, 1999), Nkiru Okosieme, 3 buts (1999)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : quart (1999)
Bilan général en Coupe du Monde : 22 matches, 16 défaites, 3 matches nuls, 3 victoires, 18 buts pour, 56 buts contre
Plus large victoire : 2-0 face au Danemark (1999)
Plus large défaite : 0-8 face à la Norvège (1995)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :Florence Omagbemi, 13 sélections (1991, 1995, 1999, 2003)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Rita Nwadike, 3 buts (1995, 1999), Nkiru Okosieme, 3 buts (1999)
Qualifications
Le Nigeria a remporté la Coupe d'Afrique des Nations dont il était tenant du titre, se qualifiant ainsi pour sa huitième Coupe du monde. Le Nigeria avait terminé à la deuxième place de son groupe, battu lors de son premier match par l'Afrique du Sud, son adversaire en finale.
Date de qualification : 27 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 4 victoires, 2 nuls, 1 défaite, 17 buts pour, 1 but contre
Gambie (1-0, 6-0), Afrique du Sud (0-1, 0-0 tab 4-3), Zambie (4-0), Guinée Equatoriale (6-0), Cameroun (0-0 tab 4-2)
Sélectionneur : Dennerby (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Oluehi (7)
D : Ogbonna (2), Ohale (6), Ebere (7), Ebi (7), Chukwunonye (4), Michael (4)
M : Chikwelu (6/1), Uchendu (2), Okobi (7), Ayinde (7), Igbinovia (1)
A : Imo (5), Oshoala (7/5), Oparanozie (6/7), Okoronkwo (6/2), Ajibade (4), Ordega (7/2), Ihezuo (1)
Date de qualification : 27 novembre 2018
Bilan des qualifications
7 matchs, 4 victoires, 2 nuls, 1 défaite, 17 buts pour, 1 but contre
Gambie (1-0, 6-0), Afrique du Sud (0-1, 0-0 tab 4-3), Zambie (4-0), Guinée Equatoriale (6-0), Cameroun (0-0 tab 4-2)
Sélectionneur : Dennerby (7)
Bilan joueuses/buteuses
G : Oluehi (7)
D : Ogbonna (2), Ohale (6), Ebere (7), Ebi (7), Chukwunonye (4), Michael (4)
M : Chikwelu (6/1), Uchendu (2), Okobi (7), Ayinde (7), Igbinovia (1)
A : Imo (5), Oshoala (7/5), Oparanozie (6/7), Okoronkwo (6/2), Ajibade (4), Ordega (7/2), Ihezuo (1)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Seules sept joueuses sur les 23 évoluent dans le championnat national (dont quatre aux River Angels), soit autant que dans le championnat suédois. On retrouve des joueuses également en Chine (3), en Norvège (2), en France, au Portugal, en Espagne et aux États-Unis (1).
Les absentes
Josephine Chukwunonye et Ini-Abasi Umotong sont probablement les absentes surprises de la liste, mais il s'agit d'un choix du sélectionneur, qui n'a pas de joueuse absente sur blessure.
Equipe-type
Dans un système en 4-3-3, on pourrait retrouver Tochukwu Oluhei dans les buts, Osinachi Ohale, Onome Ebi, Faith Michael, Ngozi Ebere en défense, Ngozi Okobi, Halimatu Ayinde et Rita Chikwelu au milieu (Chinwendu Ihezuo dans un système plus offensif), un trio Desire Oparanozie, Francisca Ordega et Asisat Oshoala en attaque.
Seules sept joueuses sur les 23 évoluent dans le championnat national (dont quatre aux River Angels), soit autant que dans le championnat suédois. On retrouve des joueuses également en Chine (3), en Norvège (2), en France, au Portugal, en Espagne et aux États-Unis (1).
Les absentes
Josephine Chukwunonye et Ini-Abasi Umotong sont probablement les absentes surprises de la liste, mais il s'agit d'un choix du sélectionneur, qui n'a pas de joueuse absente sur blessure.
Equipe-type
Dans un système en 4-3-3, on pourrait retrouver Tochukwu Oluhei dans les buts, Osinachi Ohale, Onome Ebi, Faith Michael, Ngozi Ebere en défense, Ngozi Okobi, Halimatu Ayinde et Rita Chikwelu au milieu (Chinwendu Ihezuo dans un système plus offensif), un trio Desire Oparanozie, Francisca Ordega et Asisat Oshoala en attaque.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : vitesse, attaque talentueuse, organisation qui s'améliore
§ Points faibles : défense malgré les progrès, attaque freinée sans profondeur
§ Joueuses clés : Onome Ebi, Ayinde/Chikwelu, Asisat Oshoala, Desire Oparanozie
§ Infos à savoir sur le système de jeu : quels que soient le système utilisé et les progrès défensifs, le Nigeria compte avant tout sur son attaque, qui va devoir trouver des solutions.
La joueuse à suivre
Asisat Oshoala est la star de l'équipe, et d'un secteur offensif plutôt intéressant. Ses buts et son niveau de jeu seront probablement déterminants pour décider du parcours du Nigeria dans la compétition.
Le sélectionneur
Thomas Dennerby possède une belle expérience en tant qu'entraineur, et il a notamment remporté le championnat de Suède masculin et féminin. Adjoint de Marika Domanski Lyfors lors de l'Euro 2005, il lui a succédé à la tête de la sélection nationale et au cours des huit années qu'il passera à ce poste, il emmènera la sélection sur le podium de la Coupe du monde 2011, avant de quitter son poste à quelques mois de l'Euro en 2013. Il a été nommé sélectionneur du Nigeria en vue de la Coupe d'Afrique des nations 2018, remportée une nouvelle fois.
§ Points forts : vitesse, attaque talentueuse, organisation qui s'améliore
§ Points faibles : défense malgré les progrès, attaque freinée sans profondeur
§ Joueuses clés : Onome Ebi, Ayinde/Chikwelu, Asisat Oshoala, Desire Oparanozie
§ Infos à savoir sur le système de jeu : quels que soient le système utilisé et les progrès défensifs, le Nigeria compte avant tout sur son attaque, qui va devoir trouver des solutions.
La joueuse à suivre
Asisat Oshoala est la star de l'équipe, et d'un secteur offensif plutôt intéressant. Ses buts et son niveau de jeu seront probablement déterminants pour décider du parcours du Nigeria dans la compétition.
Le sélectionneur
Thomas Dennerby possède une belle expérience en tant qu'entraineur, et il a notamment remporté le championnat de Suède masculin et féminin. Adjoint de Marika Domanski Lyfors lors de l'Euro 2005, il lui a succédé à la tête de la sélection nationale et au cours des huit années qu'il passera à ce poste, il emmènera la sélection sur le podium de la Coupe du monde 2011, avant de quitter son poste à quelques mois de l'Euro en 2013. Il a été nommé sélectionneur du Nigeria en vue de la Coupe d'Afrique des nations 2018, remportée une nouvelle fois.
La préparation
2 juin : Pomurje (SLN) 3-0 (G)
28 mai : Haladás Viktória FC (HON) 5-1 (G)
18 mai : Côte d'Ivoire 1-1 tab 5-4 (N)
16 mai : Ghana 0-0 tab 5-4 (N)
14 mai : Mali 2-0 (G)
11 mai : Niger 15-0 (G)
9 mai : Burkina Faso 5-1 (G)
8 avril : Canada 1-2 (P)
4 avril : UMF Selfoss (ISL) 6-1 (G)
6 mars : Thaïlande 3-0 (G)
4 mars : Belgique 0-1 (P)
1er mars : Slovaquie 4-3 (G)
27 février : Autriche 1-4 (P)
20 janvier : Roumanie 4-1 (G)
17 janvier : Chine 0-3 (P)
28 mai : Haladás Viktória FC (HON) 5-1 (G)
18 mai : Côte d'Ivoire 1-1 tab 5-4 (N)
16 mai : Ghana 0-0 tab 5-4 (N)
14 mai : Mali 2-0 (G)
11 mai : Niger 15-0 (G)
9 mai : Burkina Faso 5-1 (G)
8 avril : Canada 1-2 (P)
4 avril : UMF Selfoss (ISL) 6-1 (G)
6 mars : Thaïlande 3-0 (G)
4 mars : Belgique 0-1 (P)
1er mars : Slovaquie 4-3 (G)
27 février : Autriche 1-4 (P)
20 janvier : Roumanie 4-1 (G)
17 janvier : Chine 0-3 (P)
Faits et chiffres
Le Nigéria est l’une des sept seules sélections du monde – la seule d’Afrique – à avoir validé son billet pour les huit éditions planétaires. Son meilleur résultat date de 1999, avec une élimination en quarts de finale face au Brésil en prolongation. Lors des autres phases finales, le Nigéria a toujours été éliminé en phase de groupes.
La plus jeune joueuse à avoir jamais disputé une Coupe du Monde Féminine de la FIFA est nigériane. En 1999, Ifeanyi Chiejine a foulé la pelouse contre la RDP Corée à seulement 16 ans et 34 jours. Pour sa part, Perpetua Nkwocha est la plus âgée de l’histoire de la compétition (39 ans et 160 jours), juste derrière l’Américaine Christie Rampone (40 ans et 11 jours).
La plus jeune joueuse à avoir jamais disputé une Coupe du Monde Féminine de la FIFA est nigériane. En 1999, Ifeanyi Chiejine a foulé la pelouse contre la RDP Corée à seulement 16 ans et 34 jours. Pour sa part, Perpetua Nkwocha est la plus âgée de l’histoire de la compétition (39 ans et 160 jours), juste derrière l’Américaine Christie Rampone (40 ans et 11 jours).
L'avis de FOOTOFEMININ
Dans un groupe plutôt ouvert, qui verra le Nigeria affronter la Norvège, puis la France et la Corée du Sud, le Nigeria peut espérer obtenir la qualification pour les huitièmes de finale. Ce serait déjà un bon résultat pour la sélection, sortie une fois seulement de son groupe lors de ses sept précédentes participations. Et une belle promesse pour l'avenir, alors que la fédération semble enfin décidée à développer le football féminin et prendre au sérieux sa sélection féminine.
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L’histoire des « Coupes du monde » avant la Coupe du monde de la FIFA
Si vous demandez à un adepte de football féminin en quelle année s’est déroulée la première Coupe du monde féminine, il y a fort à parier pour qu’il vous réponde « 1991 ». Il n’aura pas totalement tort, mais il vous aura certainement donné cette réponse en pensant au Mondial féminin organisé en Chine par la FIFA. Oui mais voilà, de nombreuses Coupes du monde officieuses ont eu lieu bien des années avant cette date. Des tournois méconnus qui ont poussé la FIFA à organiser le Mondial chinois de 1991, la fausse bonne réponse de notre question initiale.
Saviez-vous que des dizaines de Coupes du monde féminines officieuses avaient été organisées aux quatre coins du monde entre les années soixante-dix et quatre-vingt ? Par « officieuses », nous entendons « non reconnues » par la Fédération internationale de football (FIFA). Cette dernière n’ayant eu d’yeux que pour le football masculin pendant des décennies. En témoigne le nombre d’années qui sépare les premiers Mondiaux masculins et féminins organisés par la FIFA : 1930 pour les hommes ; 1991 pour les femmes... Un gap de soixante-et-un ans qui n’a pas empêché certaines organisations indépendantes de mettre sur pied des tournois féminins aussi méconnus qu’extraordinaires.
L’impensable Mondial mexicain
Si la France peut accueillir la Coupe du monde en 2019, elle le doit sans conteste à des acteurs de l’ombre ayant œuvré pendant des années pour faire rayonner la discipline à travers le monde. Dans son ouvrage « Football féminin : les Coupes du monde officieuses », le journaliste Thibault Rabeux revient sur les tournois féminins fondateurs des années soixante-dix et quatre-vingt. L’une des compétitions les plus marquantes est sans nul doute celle disputée au Mexique en 1971. Un tournoi appelé Mundial qui réunissait six nations dont l’équipe de France. Trucage du tirage au sort, « sabotage » avant la demi-finale Mexique-Italie, joueuses anglaises plâtrées à l’issue d’un match, l’équipe d’Argentine privée d’entraineur... Les anecdotes de nos jours inimaginables liées au Mundial se comptent par dizaines. Et que dire de la finale Mexique - Danemark jouée au mythique stade Azteca de Mexico devant 110 000 spectateurs ? Une affluence qui, à l’aube du Mondial en France, reste un record pour un match de football féminin.
L’Italie, pionnière du football féminin
Le Mexique ne fut pas le seul pays à accueillir des compétitions internationales féminines non organisées par la FIFA. En Europe, l’Italie a considérablement œuvré au développement du football féminin. La Fédération italienne organisa de nombreux tournois baptisés Mundialito dans les années quatre-vingt. Des « petites Coupes du monde » qui réunissaient à intervalle régulier les meilleures nations du monde de l’époque comme l’Italie, l’Angleterre, la France, l’Allemagne ou encore les États-Unis. L’équipe américaine fut d’ailleurs créée dans la précipitation en 1985 après avoir reçu une invitation à participer à la troisième édition du Mundialito en Italie. Une première équipe US des plus contestables comme l’explique Thibault Rabeux dans son livre...
L’Asie, terre d’expérimentation du foot féminin
L’Asie de son côté n’est pas en reste non plus. Des organisations indépendantes comme l’Asian Ladies Football Confederation (ALFC) voient le jour à la fin des années soixante. Soucieuses de faire disputer aux footballeuses les mêmes compétitions que leurs homologues masculins, les femmes à la tête de l’ALFC mettent tout en œuvre pour organiser des tournois de football féminin. C’est ainsi que la première Coupes d’Asie féminine est créée en 1975, suivie trois ans plus tard par des tournois internationaux appelés Women's World Invitational Tournament. Ceux-ci sont organisés tous les trois ans à Taïwan de 1978 à 1987. Le Stade de Reims remporte la première édition dans des conditions dantesques avant d’être remplacée trois ans plus tard lors de la seconde édition par le FC Vendenheim, alors porte-drapeau français.
A l’ouest de l’île de Taïwan, en Chine continentale, d’autres tournois féminins commencent à voir le jour. Le plus mémorable étant probablement le Xi’an Women’s Tournament organisé en 1984. Ce dernier réunit huit équipes dont l’Italie, le Japon, l’Australie et la curieuse formation texane du Sting Soccer Club. Comme évoqué précédemment, les États-Unis n’ont pas eu d’équipe féminine nationale avant l’année 1985. Alors lorsqu’il fallait représenter les Stars and Stripes à l’étranger à l’occasion d’évènements internationaux avant cette date, la Fédération américaine envoyait sa meilleure équipe sur la scène nationale, le Sting SC. Une formation composée de joueuses toutes âgées de moins de dix-neuf ans et encore scolarisées. Un jeune âge qui n’empêcha pas l’équipe texane de triompher à l’issue du tournoi de Xi’an dans des conditions rocambolesques ! Un incroyable succès qui convainquit définitivement la Fédération américaine de créer une équipe nationale féminine. Pour d’obscures raisons, aucune joueuse du Sting Soccer Club ne fit partie de la première sélection retenue pour disputer le Mundialito italien en 1985...
A l’ouest de l’île de Taïwan, en Chine continentale, d’autres tournois féminins commencent à voir le jour. Le plus mémorable étant probablement le Xi’an Women’s Tournament organisé en 1984. Ce dernier réunit huit équipes dont l’Italie, le Japon, l’Australie et la curieuse formation texane du Sting Soccer Club. Comme évoqué précédemment, les États-Unis n’ont pas eu d’équipe féminine nationale avant l’année 1985. Alors lorsqu’il fallait représenter les Stars and Stripes à l’étranger à l’occasion d’évènements internationaux avant cette date, la Fédération américaine envoyait sa meilleure équipe sur la scène nationale, le Sting SC. Une formation composée de joueuses toutes âgées de moins de dix-neuf ans et encore scolarisées. Un jeune âge qui n’empêcha pas l’équipe texane de triompher à l’issue du tournoi de Xi’an dans des conditions rocambolesques ! Un incroyable succès qui convainquit définitivement la Fédération américaine de créer une équipe nationale féminine. Pour d’obscures raisons, aucune joueuse du Sting Soccer Club ne fit partie de la première sélection retenue pour disputer le Mundialito italien en 1985...
Le tournoi test de la FIFA
Par peur de perdre le contrôle du football féminin au profit d’organisations indépendantes comme l’ALFC par exemple, la FIFA se décide enfin à organiser une Coupe du monde « test » pour « évaluer la viabilité d’une future Coupe du monde féminine ». Celle-ci se déroule du 1er au 12 juin 1988 en Chine. Pour la première fois, une nation de chaque association continentale est représentée. C’est dans ce contexte que la Côte d’Ivoire dispute le premier match officiel de son histoire face au Pays-Bas le 1er juin 1988.
A noter qu’aucune phase éliminatoire n’a eu lieu avant le tournoi. Afin de promouvoir au mieux la discipline, les différentes associations ont fait le choix d’envoyer leurs meilleurs représentants. C’est la raison pour laquelle l’UEFA a sélectionné la Suède et la Norvège, respectivement championnes d’Europe en 1984 et 1987. Des choix arbitraires que l’on mettra volontiers sur le compte de la bonne cause ! D’autant que Suédoises et Norvégiennes se sont retrouvées en finale du tournoi, avec à la clé une victoire un à zéro de la Norvège.
« A l’heure du bilan, joueuses, organisateurs et spectateurs sont conquis. En 26 rencontres disputées, 81 buts sont inscrits, soit une moyenne d’un peu plus de trois réalisations par match. 360 000 spectateurs se sont rendus dans les différents stades et 200 millions de téléspectateurs ont visionné les huit matches retransmis en direct », peut-on lire dans le livre « Football féminin : les Coupes du monde officieuses ». Un bilan positif qui donna le feu vert à la FIFA pour organiser trois ans plus tard, en Chine toujours, la première Coupe du monde officielle de football féminin.
A noter qu’aucune phase éliminatoire n’a eu lieu avant le tournoi. Afin de promouvoir au mieux la discipline, les différentes associations ont fait le choix d’envoyer leurs meilleurs représentants. C’est la raison pour laquelle l’UEFA a sélectionné la Suède et la Norvège, respectivement championnes d’Europe en 1984 et 1987. Des choix arbitraires que l’on mettra volontiers sur le compte de la bonne cause ! D’autant que Suédoises et Norvégiennes se sont retrouvées en finale du tournoi, avec à la clé une victoire un à zéro de la Norvège.
« A l’heure du bilan, joueuses, organisateurs et spectateurs sont conquis. En 26 rencontres disputées, 81 buts sont inscrits, soit une moyenne d’un peu plus de trois réalisations par match. 360 000 spectateurs se sont rendus dans les différents stades et 200 millions de téléspectateurs ont visionné les huit matches retransmis en direct », peut-on lire dans le livre « Football féminin : les Coupes du monde officieuses ». Un bilan positif qui donna le feu vert à la FIFA pour organiser trois ans plus tard, en Chine toujours, la première Coupe du monde officielle de football féminin.
« Football féminin : les Coupes du monde officieuses »
L’aventure continue : revivez en détails les tournois féminins les plus marquants des années soixante-dix et quatre-vingt en découvrant l’ouvrage de Thibault Rabeux « Football féminin : les Coupes du monde officieuses ». Des récits inédits racontés par les joueuses de l’époque elles-mêmes que l’on aurait peine à imaginer de nos jours. Vous découvrirez également le long processus ayant conduit à l’organisation de la première Coupe du monde féminine de la FIFA en 1991.
« Football féminin : les Coupes du monde officieuses » par Thibault Rabeux. Disponible en version numérique et brochée sur Amazon.
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« Football féminin : les Coupes du monde officieuses » par Thibault Rabeux. Disponible en version numérique et brochée sur Amazon.
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Livre - "La GRANDE HISTOIRE DES BLEUES", les coulisses de l'histoire de la sélection
A travers des témoignages d'actrices et acteurs de toutes les époques, Claire Gaillard, journaliste à L'Equipe entre 2009 et 2017 et désormais au Comité d'organisation de la Coupe du Monde, vous fait replonger dans ce qui a construit le football féminin français.
De la première buteuse des Bleues, Jocelyne Ratignier, en 1971 à la recordwoman actuelle Marinette Pichon en passant par les sélectionneurs Aimé Mignot, Elisabeth Loisel et Bruno Bini, ce sont autant de témoignages qui permettent de comprendre la lente et difficile évolution des Bleues et de la pratique féminine en France.
Ce sont aussi 16 internationales ou anciennes internationales parmi les plus capées, des dirigeants majeurs qui racontent au travers de portraits et d'entretiens leurs histoires, leurs espoirs, leurs doutes. Un livre également illustré par de nombreuses photos issues des archives de la FFF.
A ne pas manquer. En vente dès ce lundi 3 juin 2019 aux éditions Hachette au prix de 25€
Ce sont aussi 16 internationales ou anciennes internationales parmi les plus capées, des dirigeants majeurs qui racontent au travers de portraits et d'entretiens leurs histoires, leurs espoirs, leurs doutes. Un livre également illustré par de nombreuses photos issues des archives de la FFF.
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Coupe du Monde - FRANCE FOOTBALL sort un guide spécial
A l'occasion de la Coupe du Monde, l'hebdomadaire France Football qui parait ce mardi 4 juin est consacré à la Coupe du Monde féminine avec un guide de 50 pages sur la compétition.
Retrouvez également au sommaire de ce numéro spécial des témoignages, Ada Hegerberg, les interviews d'Eugénie Le Sommer, Marta... En kiosque au prix de 4,50 €
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