Le Football Club Féminin Juvisy Essonne est une singularité parmi l’élite du football pratiqué par les femmes. Toujours présent dans le haut du classement, à la lutte avec l’OL et le PSG, Juvisy ne joue pourtant pas dans la même cour. Surface propose un dossier en immersion au sein du club historique, cent pour cent féminin, à la fois familial et amateur et qui, malgré l’excellence sportive, reflète sans doute mieux la réalité du football féminin.
Samedi 9 mai 2015, pour la troisième année consécutive, Juvisy termine la saison sur le podium de la D1 Féminine. Cela pourrait paraître étonnant lorsque l’on regarde les noms des clubs qui les accompagnent en haut du classement : Paris, Lyon, Montpellier, Guingamp, tous pensionnaires de la Ligue 1. « Juvisy est un club très performant avec son modèle et sa structuration atypique : un club qui ne dépend pas d’une structure pro, qui n’a donc pas les mêmes moyens financiers mais qui arrive malgré tout à rester dans le top 3 tout en continuant à se développer… » nous confie fièrement Gaëtane Thiney, la capitaine. Et cela n’empêche pas de répondre présent chaque année au plus haut niveau et d’être aujourd’hui l’un des acteurs les plus titrés et les plus réputés en France, notamment pour sa constance dans l’élite. Peut-être un exploit. Mais surtout une machine bien huilée qui a su faire de sa spécificité un avantage. Un organisme « différent » mais où les résultats sont bel et bien là. De la présidente Marie-Christine Terroni, aux joueuses, en passant par Marinette Pichon ou encore les supporters et bénévoles du club, rencontre avec celles et ceux qui font de Juvisy un club à part.
Extraits :
« Il faut que les joueuses aient envie de mener un double projet pour rentrer dans un club comme Juvisy. Une joueuse qui ne veut faire que du pro, et serait payée qu’à faire du foot, il vaut mieux qu’elle aille jouer dans un autre club comme Lyon ou le PSG » Marie-Christine Terroni
« Céline, t’as un problème avec ton téléphone ? La touche verte pour répondre ne marche pas ? » Marinette Pichon
« Ça fait des années qu’on dit : “elles n’ont rien, elles n’ont pas les moyens, etc.” Mais elles sont tout le temps là au final. » Elodie Thomis (OL)
Retrouvez l’intégralité du dossier consacré à Juvisy dans #Surface37
Extraits :
« Il faut que les joueuses aient envie de mener un double projet pour rentrer dans un club comme Juvisy. Une joueuse qui ne veut faire que du pro, et serait payée qu’à faire du foot, il vaut mieux qu’elle aille jouer dans un autre club comme Lyon ou le PSG » Marie-Christine Terroni
« Céline, t’as un problème avec ton téléphone ? La touche verte pour répondre ne marche pas ? » Marinette Pichon
« Ça fait des années qu’on dit : “elles n’ont rien, elles n’ont pas les moyens, etc.” Mais elles sont tout le temps là au final. » Elodie Thomis (OL)
Retrouvez l’intégralité du dossier consacré à Juvisy dans #Surface37
Who Run Juvisy ?Féminines I FCF Juvisy Essonne Immersion au sein du club historique, 100% féminin dans le nouveau n° de Surface, actuellement en kiosque.http://surfacemagazine.fr/25925-feminines-i-who-run-juvisy/#surface37 #Juvisy
Posté par Surface Football Magazine sur dimanche 25 octobre 2015