Avec Laura Georges, Camille Abily fait partie des "doyennes" de l'équipe à bientôt 31 ans. Buteuse contre les Pays-Bas, la milieu de terrain évoque cette saison où les JO se profilent et son avenir en sélection.
Une "ancienne"
Avec Laura, on fait toujours partie des plus anciennes. J'ai encore 30 ans, je pense que je ne suis pas encore trop trop vieille (rire). Ça évolue avec de nouvelles générations qui arrivent, c'est comme ça. Quand je suis arrivée en sélection, il y avait aussi des filles plus âgées. Ça passe vite, c'est toujours ça que l'on se dit.
Les prochaines échéances
On voit année par année. J'essaye de bien profiter. Cela fait un moment que je suis en équipe de France, j'avais vécue plein de bons moments, d'autres un peu moins bon avec des défaites. Mon objectif, c'est Rio et les Jeux Olympiques. Maintenant je ne projette pas plus loin pour l'instant. Maintenant ce sera une envie de ma part, une envie du sélectionneur ou pas de continuer l'aventure ensemble. C'est une discussion que l'on aura ensemble.
Avec Laura, on fait toujours partie des plus anciennes. J'ai encore 30 ans, je pense que je ne suis pas encore trop trop vieille (rire). Ça évolue avec de nouvelles générations qui arrivent, c'est comme ça. Quand je suis arrivée en sélection, il y avait aussi des filles plus âgées. Ça passe vite, c'est toujours ça que l'on se dit.
Les prochaines échéances
On voit année par année. J'essaye de bien profiter. Cela fait un moment que je suis en équipe de France, j'avais vécue plein de bons moments, d'autres un peu moins bon avec des défaites. Mon objectif, c'est Rio et les Jeux Olympiques. Maintenant je ne projette pas plus loin pour l'instant. Maintenant ce sera une envie de ma part, une envie du sélectionneur ou pas de continuer l'aventure ensemble. C'est une discussion que l'on aura ensemble.
"Ces matchs nous permettent de préparer les JO"
L'envie de titre
Ne pas avoir gagner de titre en sélection, cela reste une frustration. Ça fait partie des objectifs pour toutes les joueuses quand on est en sélection ou en club. On a toujours envie de gagner des titres. On est des grandes compétitrices, moi la première. C'est quelque chose que j'aimerai pouvoir faire. Plusieurs fois, on est passé à côté, il y a des fois où il n'a pas manqué grand chose. J'espère que ce sera pour cette saison.
La transmission avec les jeunes
Elles ont déjà gagné des titres pour certaines, elles sont toutes dans des clubs avec des infrastructures où elles s'entrainent bien. On ne sent pas la différence mais c'est sûr qu'au niveau de l'expérience ou parfois des sujets de discussion qu'il y a une différence (rire).
Les qualifications de l'Euro 2017
Ce n'est jamais évident. On a pu voir en Ligue des Champions qu'il y a eu de belles surprises car le niveau du football féminin en général évolue. Les filles sont de plus en plus prêtes physiquement. Ce n'est jamais évident de gagner. On a pu le voir face à la Roumanie avec une équipe beaucoup plus solide qu'il y a quelques années.
On sait que si l'on joue à notre niveau, on devrait pouvoir se qualifier sans problème mais il faut toujours être sérieuses. Après ces matchs nous permettent de jouer ensemble pour justement préparer l'échéance des Jeux Olympiques.
Ne pas avoir gagner de titre en sélection, cela reste une frustration. Ça fait partie des objectifs pour toutes les joueuses quand on est en sélection ou en club. On a toujours envie de gagner des titres. On est des grandes compétitrices, moi la première. C'est quelque chose que j'aimerai pouvoir faire. Plusieurs fois, on est passé à côté, il y a des fois où il n'a pas manqué grand chose. J'espère que ce sera pour cette saison.
La transmission avec les jeunes
Elles ont déjà gagné des titres pour certaines, elles sont toutes dans des clubs avec des infrastructures où elles s'entrainent bien. On ne sent pas la différence mais c'est sûr qu'au niveau de l'expérience ou parfois des sujets de discussion qu'il y a une différence (rire).
Les qualifications de l'Euro 2017
Ce n'est jamais évident. On a pu voir en Ligue des Champions qu'il y a eu de belles surprises car le niveau du football féminin en général évolue. Les filles sont de plus en plus prêtes physiquement. Ce n'est jamais évident de gagner. On a pu le voir face à la Roumanie avec une équipe beaucoup plus solide qu'il y a quelques années.
On sait que si l'on joue à notre niveau, on devrait pouvoir se qualifier sans problème mais il faut toujours être sérieuses. Après ces matchs nous permettent de jouer ensemble pour justement préparer l'échéance des Jeux Olympiques.