La latérale des Bleues auteur de deux passes décisives face à l'Albanie faisait son retour en sélection. Elle revient sur son retour et ces deux rencontres éliminatoires avant de jouer la Grèce ce mardi soir.
Comment s'est passé ce retour en sélection après une longue blessure ?
Il a fallu que je travaille fort revenir. Ce n'est pas la première fois que je le fais mais à chaque fois, c'est un petit challenge. Retrouvez les Bleues, il y a aussi un peu d'émotions après cette fin qui a été un peu moins drôle.
Ces répétitions de blessure ne vous inquiètent pas ?
Il y a eu forcément des idées parasites pendant ma blessure surtout quand on a un peu mal. On espère que les douleurs vont partir et parfois c'est plus compliqué. Mais il faut se dire qu'il faut prendre le temps. Mais comme toute sportive, je ne suis pas patiente mais après tout est rentré dans l'ordre.
Vous avez pu profiter de bonnes conditions pour récupérer de ces blessures ?
J'ai passé les trois quarts du temps à Clairefontaine, le reste avec le PSG. Quoi qu'il arrive, il y a une bonne prise en charge. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Il y a beaucoup de joueurs et joueuses qui malheureusement n'ont pas la chance d'avoir ces qualités de prise en charge.
Le match face à l'Albanie
On a retrouvé plus de jeu qui nous avait manqué dans les matchs précédents. Les conditions n'étaient pas faciles. Le terrain était vraiment difficile. Finalement, on a quand même réussi à faire du beau football. Et quand il y a un mur en face, cela n'est pas facile que ça. Je suis contente de la manière dans ce match même s'il y a eu des petits trucs à améliorer.
L'apport offensif des latérales a été important avec notamment vos deux passes décisives
C'est un bon point déjà rien que pour la confiance. La joie après un but qui vient après un centre de soi, c'est toujours agréable. Je ne suis pas du genre à m'arrêter à ça. Maintenant je ne sais pas ce que c'est lorsque l'on marque un but, il faut que je demande à Jess'. En tout cas, je sais que c'est très bien pour la confiance, pour le retour.
A quand le premier but de Laure Boulleau en sélection ?
(rires) J'espère bientôt. J'ai failli quand même, j'y ai cru sur un espèce de tacle glissé. C'est un signe. Je suis la seule en défense à ne pas avoir marqué encore un but. C'est mon nouveau challenge.
La Grèce, quelles conditions pour la préparation ?
Ce sont tout d'abord des paysages magnifiques. C'est plaisant de se préparer dans ces conditions qui sont bonnes. On a fait une bonne séance dimanche. On va découvrir le terrain du match ce soir (ndlr : lundi soir). On espère qu'il sera bon ce qui nous permettra de bien jouer au foot.
On s'attend à un adversaire un peu fort que la semaine dernière en Albanie que la Grèce avait battu.
Il a fallu que je travaille fort revenir. Ce n'est pas la première fois que je le fais mais à chaque fois, c'est un petit challenge. Retrouvez les Bleues, il y a aussi un peu d'émotions après cette fin qui a été un peu moins drôle.
Ces répétitions de blessure ne vous inquiètent pas ?
Il y a eu forcément des idées parasites pendant ma blessure surtout quand on a un peu mal. On espère que les douleurs vont partir et parfois c'est plus compliqué. Mais il faut se dire qu'il faut prendre le temps. Mais comme toute sportive, je ne suis pas patiente mais après tout est rentré dans l'ordre.
Vous avez pu profiter de bonnes conditions pour récupérer de ces blessures ?
J'ai passé les trois quarts du temps à Clairefontaine, le reste avec le PSG. Quoi qu'il arrive, il y a une bonne prise en charge. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Il y a beaucoup de joueurs et joueuses qui malheureusement n'ont pas la chance d'avoir ces qualités de prise en charge.
Le match face à l'Albanie
On a retrouvé plus de jeu qui nous avait manqué dans les matchs précédents. Les conditions n'étaient pas faciles. Le terrain était vraiment difficile. Finalement, on a quand même réussi à faire du beau football. Et quand il y a un mur en face, cela n'est pas facile que ça. Je suis contente de la manière dans ce match même s'il y a eu des petits trucs à améliorer.
L'apport offensif des latérales a été important avec notamment vos deux passes décisives
C'est un bon point déjà rien que pour la confiance. La joie après un but qui vient après un centre de soi, c'est toujours agréable. Je ne suis pas du genre à m'arrêter à ça. Maintenant je ne sais pas ce que c'est lorsque l'on marque un but, il faut que je demande à Jess'. En tout cas, je sais que c'est très bien pour la confiance, pour le retour.
A quand le premier but de Laure Boulleau en sélection ?
(rires) J'espère bientôt. J'ai failli quand même, j'y ai cru sur un espèce de tacle glissé. C'est un signe. Je suis la seule en défense à ne pas avoir marqué encore un but. C'est mon nouveau challenge.
La Grèce, quelles conditions pour la préparation ?
Ce sont tout d'abord des paysages magnifiques. C'est plaisant de se préparer dans ces conditions qui sont bonnes. On a fait une bonne séance dimanche. On va découvrir le terrain du match ce soir (ndlr : lundi soir). On espère qu'il sera bon ce qui nous permettra de bien jouer au foot.
On s'attend à un adversaire un peu fort que la semaine dernière en Albanie que la Grèce avait battu.