Très performante dimanche à nouveau lors du match contre la Corée, la milieu de terrain Amandine Henry, élue joueuse du match, revient sur la rencontre et le quart contre l'Allemagne.
C'est la deuxième fois que vous êtes élue joueuse du match, comment expliquez-vous votre réussite dans cette coupe du monde ?
Je ne pense pas à ça quand je joue mais ça fait plaisir. Tout le mérite revient au groupe. Pendant les entraînements on progresse, on a l'habitude de jouer ensemble, ça nous facilite le travail sur le terrain et ça se voit. On est plus libérées et ça facilite aussi ma progression. Aujourd'hui beaucoup de joueuses de l'équipe méritaient de remporter ce trophée, je les remercie parce que c'est en partie grâce à elle. Quand tu joues au quotidien à Lyon avec les mêmes joueuses, il y a plus d'automatismes, c'est plus facile. Avec les filles des autres clubs on a aussi appris à jouer ensemble.
Les Allemandes sont réputées pour leur jeu physique, que redoutez-vous ?
L'Allemagne est une grande nation mondiale, le classement le montre. Nous, on n'a pas peur d'elles. Si on n'a peur ça ne sert à rien de jouer. On va aller jouer le match comme il se doit. Sur un match tout est possible.
Vous connaissez les Allemandes, en ligue 1 et en ligue des champions, qu'est-ce que ça va changer dans la préparation ?
Le fait de les rencontrer en ligue des champions, on les connait à peu près. On sait leurs caractéristiques donc on peut déjà travailler dessus, on sait à quoi s'attendre. On verra avec le staff comment on va aborder ce match.
À Montréal, Laetitia Béraud
Je ne pense pas à ça quand je joue mais ça fait plaisir. Tout le mérite revient au groupe. Pendant les entraînements on progresse, on a l'habitude de jouer ensemble, ça nous facilite le travail sur le terrain et ça se voit. On est plus libérées et ça facilite aussi ma progression. Aujourd'hui beaucoup de joueuses de l'équipe méritaient de remporter ce trophée, je les remercie parce que c'est en partie grâce à elle. Quand tu joues au quotidien à Lyon avec les mêmes joueuses, il y a plus d'automatismes, c'est plus facile. Avec les filles des autres clubs on a aussi appris à jouer ensemble.
Les Allemandes sont réputées pour leur jeu physique, que redoutez-vous ?
L'Allemagne est une grande nation mondiale, le classement le montre. Nous, on n'a pas peur d'elles. Si on n'a peur ça ne sert à rien de jouer. On va aller jouer le match comme il se doit. Sur un match tout est possible.
Vous connaissez les Allemandes, en ligue 1 et en ligue des champions, qu'est-ce que ça va changer dans la préparation ?
Le fait de les rencontrer en ligue des champions, on les connait à peu près. On sait leurs caractéristiques donc on peut déjà travailler dessus, on sait à quoi s'attendre. On verra avec le staff comment on va aborder ce match.
À Montréal, Laetitia Béraud