Après sa qualification pour la finale de l'Euro, Gilles Eyquem est revenue sur la prestation de son équipe et notamment ses qualités
Sur le match gagné contre l'Espagne
Comme on s’y attendait c’était un très gros match avec une très belle équipe d’Espagne. On avait bien étudié leur jeu. On savait quoi mettre en place, et on savait qu’on pouvait leur faire très très mal avec un potentiel offensif que très peu d’équipes ont.
Sur le fait de faire tourner et tirer les bénéfices en prolongation
On avait encore change le onze de départ, comme je le dis depuis le début, on a différents profils que l’on peut faire soit parce qu’en face c’est beaucoup plus athlétique ou comme l’Espagne ce sont des joueuses un peu plus techniques. On a quand même 20 joueuses qui sont interchangeables sans que cela mette en péril le jeu de l’équipe.
Son avis sur Vicki Becho
Je l’ai sélectionné parce que c’est une très bonne joueuse et qu’elle pouvait apporter quelque chose qu’on n’avait pas dans l’équipe : cette fraicheur, sa jeunesse, sa capacité à percuter et à marquer.
Sur la blessure de Selma Bacha
Ça s’est réveillé un petit-peu pendant le match, on n’a pas voulu prendre de risque et on a préféré la faire sortir. Elle a ressenti de nouveau une petite gêne à sa cuisse.
Le système de jet et le positionnement de Julie Dufour
On avait étudié les sorties de balle de l’Espagne, et défensivement on voulait bloquer avec Julie et Naomie au début et surtout empêcher leurs latérales de monter et c’était nos excentrées qui les ont prises.
Les entrées gagnantes de Becho et de Malard
On avait privilégié au départ la fraicheur avec Kessya et Naomie, afin de peut-être user cette équipe espagnole, et puis derrière on savait qu’en remettant Vicki et Melvine on allait leur faire très mal et ça a payé.
Comme on s’y attendait c’était un très gros match avec une très belle équipe d’Espagne. On avait bien étudié leur jeu. On savait quoi mettre en place, et on savait qu’on pouvait leur faire très très mal avec un potentiel offensif que très peu d’équipes ont.
Sur le fait de faire tourner et tirer les bénéfices en prolongation
On avait encore change le onze de départ, comme je le dis depuis le début, on a différents profils que l’on peut faire soit parce qu’en face c’est beaucoup plus athlétique ou comme l’Espagne ce sont des joueuses un peu plus techniques. On a quand même 20 joueuses qui sont interchangeables sans que cela mette en péril le jeu de l’équipe.
Son avis sur Vicki Becho
Je l’ai sélectionné parce que c’est une très bonne joueuse et qu’elle pouvait apporter quelque chose qu’on n’avait pas dans l’équipe : cette fraicheur, sa jeunesse, sa capacité à percuter et à marquer.
Sur la blessure de Selma Bacha
Ça s’est réveillé un petit-peu pendant le match, on n’a pas voulu prendre de risque et on a préféré la faire sortir. Elle a ressenti de nouveau une petite gêne à sa cuisse.
Le système de jet et le positionnement de Julie Dufour
On avait étudié les sorties de balle de l’Espagne, et défensivement on voulait bloquer avec Julie et Naomie au début et surtout empêcher leurs latérales de monter et c’était nos excentrées qui les ont prises.
Les entrées gagnantes de Becho et de Malard
On avait privilégié au départ la fraicheur avec Kessya et Naomie, afin de peut-être user cette équipe espagnole, et puis derrière on savait qu’en remettant Vicki et Melvine on allait leur faire très mal et ça a payé.