Avant de débuter ce soir face à l'Ecosse (20h30), le sélectionneur Gilles Eyquem évoque la préparation et les objectifs du tournoi.
Retour sur le stage de préparation élargi
On a essayé d'être cohérent par rapport à l'équilibre du groupe, des vingt joueuses pour l'Euro. On s'était fixé sur un nombre de filles par ligne. Cela a été un des critères, l'autre, celles qui paraissaient le mieux et qui pouvaient apporter le plus à l'équipe que soient jeunes ou pas. C'est toujours un moment délicat pour les filles qui nous ont quitté en pleine préparation. Cela fait partie des choix que doit assumer l'entraîneur. Je leur ai demandé de rester prêtes car jusqu'au premier match, il y avait moyen de les rappeler.
Les présences des joueuses Thelma Eninger et Vicki Becho
C'est lié à la finale du Challenge U19 où elles ont montré qu'elles avaient des qualités. Je les ai fait venir au stage. Elles ont vite montré lors du stage qu'elles méritaient de partir avec nous. Cela a rééquilibré entre Lyon et Paris (rire) !
Le match de préparation face à la Chine (1-0)
On avait mis l'accent sur un gros travail de préparation. C'est normal que les filles aient les jambes lourdes. On n'avait pas fait de ce match, l'obligation de gagner. On a été depuis le départ sur l'Ecosse (ndlr : vendredi dernier) dans l'affûtage pour être prêt le premier match.
L'Ecosse
Sur le papier, c'est l'équipe la moins huppée avec la Belgique de l'autre côté mais il faut toujours se méfier. Elles sont chez elles. Ce sont des équipes qui vont être prêtes. On va avoir l'avantage de jouer sur un très beau terrain, large. Cela va nous plaire. Maintenant il va falloir être présent dans l'impact.
Les deux autres adversaires
Cela va monter en puissance. Les Pays-Bas ont une très belle équipe. C'est collectivement très propre. La Norvège que l'on a vu en mars et qui nous a battue, qui met beaucoup d'impact. Les autres nations travaillent aussi. Si l'on veut rester dans le top 4, il va falloir cravacher.
Objectif Coupe du Monde U20 ?
C'est l'objectif premier. Être en demi-finale, c'est signe de Coupe du Monde. On est là pour donner de l'expérience et du vécu aux joueuses. Il n'y a rien de mieux. La cerise sur le gâteau, ce sera le titre : 2013, 2016 et ... 2019.
On a essayé d'être cohérent par rapport à l'équilibre du groupe, des vingt joueuses pour l'Euro. On s'était fixé sur un nombre de filles par ligne. Cela a été un des critères, l'autre, celles qui paraissaient le mieux et qui pouvaient apporter le plus à l'équipe que soient jeunes ou pas. C'est toujours un moment délicat pour les filles qui nous ont quitté en pleine préparation. Cela fait partie des choix que doit assumer l'entraîneur. Je leur ai demandé de rester prêtes car jusqu'au premier match, il y avait moyen de les rappeler.
Les présences des joueuses Thelma Eninger et Vicki Becho
C'est lié à la finale du Challenge U19 où elles ont montré qu'elles avaient des qualités. Je les ai fait venir au stage. Elles ont vite montré lors du stage qu'elles méritaient de partir avec nous. Cela a rééquilibré entre Lyon et Paris (rire) !
Le match de préparation face à la Chine (1-0)
On avait mis l'accent sur un gros travail de préparation. C'est normal que les filles aient les jambes lourdes. On n'avait pas fait de ce match, l'obligation de gagner. On a été depuis le départ sur l'Ecosse (ndlr : vendredi dernier) dans l'affûtage pour être prêt le premier match.
L'Ecosse
Sur le papier, c'est l'équipe la moins huppée avec la Belgique de l'autre côté mais il faut toujours se méfier. Elles sont chez elles. Ce sont des équipes qui vont être prêtes. On va avoir l'avantage de jouer sur un très beau terrain, large. Cela va nous plaire. Maintenant il va falloir être présent dans l'impact.
Les deux autres adversaires
Cela va monter en puissance. Les Pays-Bas ont une très belle équipe. C'est collectivement très propre. La Norvège que l'on a vu en mars et qui nous a battue, qui met beaucoup d'impact. Les autres nations travaillent aussi. Si l'on veut rester dans le top 4, il va falloir cravacher.
Objectif Coupe du Monde U20 ?
C'est l'objectif premier. Être en demi-finale, c'est signe de Coupe du Monde. On est là pour donner de l'expérience et du vécu aux joueuses. Il n'y a rien de mieux. La cerise sur le gâteau, ce sera le titre : 2013, 2016 et ... 2019.