Philip Neville a longuement échangé en conférence de presse revenant sur la prestation de son équipe, le penalty manqué et les prochains objectifs.
Pensez-vous que vous pouviez faire mieux ce soir ?
Quand on a eu le penalty, c'était à elle de tirer. Cela fait six mois qu'on travaille, qu'on analyse tout. C'est un travail que tout le monde a fait. On a raté un penalty. On avait des taux très élevés de succès. Nikita Parris tire normalement les penalties. Elle en a raté deux, on en a parlé avec l'équipe. On a pensé que la prochaine meilleure joueuse tirerait le penalty. Ce n'était pas juste le hasard, on n'a pas juste décidé hier, c'est un travail qui a duré six mois avec des centaines et des centaines de penalties. On en marque et on en rate, c'est le football.
Est-ce que cela va être difficile de motiver l'équipe pour le match à Nice ?
Je pense qu'on aura besoin de 24 à 48h pour se remettre de cette déception. Je n'ai pas de mots qui pourrait tout efffacé ce soir. On est à notre meilleur niveau mondial, si on parle de notre classement. Dans trois jours, on aura un autre match à jouer. Avant le match, c'était quelque chose que l'on ne voulait pas imaginer. Maintenant c'est notre prochain objectif. Samedi, je veux voir l'attitude, la concentration de mes joeuuses et je suis sûr qu'elles ne me décevront pas comme toujours.
Gagner était la chose la plus importante. On ne peut pas trouver de consolation. Je pense que les personnes attendent de nous voir gagner les matchs. Elles voulaient gagner et j'imagine que les joueuses n'ont pas écouté quand je leur ai dit que j'étais fier d'elles. Elles veulent plus que ca, on est venu pour gagner mais on n'y est pas parvenu. Les USA ont vraiment très bien joué durant les 15 premières minutes. On était trop en retrait puisquon a commencé à faire les bonnes passes. Je pense que ce sont les meilleures 90 minutes que nous ayons fait.
Quel a été votre message aux joueuses ?
Je ne voulais pas voir de larmes. Je leur ai dit "Vous avez perdu mais en ayant joué de la façon dont vous vouliez jouer". Elles ont tout donné sans regret. On a pardu mais il n'y a pas de regrets. On est arrivé avec des attentes et il faudrait vraiment que l'on puisse sourire. Ce n'est pas encore fini. On devra battre la Suède ou les Pays-Bas et je pense que l'on affrontera les Pays-Bas.
Ma première pensée est comment on va jouer samedi et ma deuxième idée, c'est comme on va remporter la médaille d'Or aux JO et l'Euro 2021. Ce sont cela les prochains objectifs. Le but est de devenir les meilleurs au monde et on va continuer à travailler tant que l'on n'attendra pas cet objectif.
Vous aviez été critiqué à votre nomination. Comment vous projetez-vous ?
J'ai déjà commencé, je me projette déjà sur les deux années suivantes, c'est comme ça que je travaille. Les 18 derniers mois m'ont donné les choses que je n'avais connues dans ma carrière. Cela m'a donné beaucoup de joie. Avant le match, les filles étaient souriantes, elles ont joué comme elles devaient jouer. Elles sont sur la bonne route. On a eu des matchs difficiles contre le Pays de Galles mais je pense que tout cela nous rend meilleur. Les plus jeunes joueuses sont ici et ont encore dix à quinze ans devant elles. On a encore treize joueuses à la maison qui sont prêtes à relever le défi pour l'équipe. Il faut toujours aller de l'avant avec un rythme très élevé.
Quand on a eu le penalty, c'était à elle de tirer. Cela fait six mois qu'on travaille, qu'on analyse tout. C'est un travail que tout le monde a fait. On a raté un penalty. On avait des taux très élevés de succès. Nikita Parris tire normalement les penalties. Elle en a raté deux, on en a parlé avec l'équipe. On a pensé que la prochaine meilleure joueuse tirerait le penalty. Ce n'était pas juste le hasard, on n'a pas juste décidé hier, c'est un travail qui a duré six mois avec des centaines et des centaines de penalties. On en marque et on en rate, c'est le football.
Est-ce que cela va être difficile de motiver l'équipe pour le match à Nice ?
Je pense qu'on aura besoin de 24 à 48h pour se remettre de cette déception. Je n'ai pas de mots qui pourrait tout efffacé ce soir. On est à notre meilleur niveau mondial, si on parle de notre classement. Dans trois jours, on aura un autre match à jouer. Avant le match, c'était quelque chose que l'on ne voulait pas imaginer. Maintenant c'est notre prochain objectif. Samedi, je veux voir l'attitude, la concentration de mes joeuuses et je suis sûr qu'elles ne me décevront pas comme toujours.
Gagner était la chose la plus importante. On ne peut pas trouver de consolation. Je pense que les personnes attendent de nous voir gagner les matchs. Elles voulaient gagner et j'imagine que les joueuses n'ont pas écouté quand je leur ai dit que j'étais fier d'elles. Elles veulent plus que ca, on est venu pour gagner mais on n'y est pas parvenu. Les USA ont vraiment très bien joué durant les 15 premières minutes. On était trop en retrait puisquon a commencé à faire les bonnes passes. Je pense que ce sont les meilleures 90 minutes que nous ayons fait.
Quel a été votre message aux joueuses ?
Je ne voulais pas voir de larmes. Je leur ai dit "Vous avez perdu mais en ayant joué de la façon dont vous vouliez jouer". Elles ont tout donné sans regret. On a pardu mais il n'y a pas de regrets. On est arrivé avec des attentes et il faudrait vraiment que l'on puisse sourire. Ce n'est pas encore fini. On devra battre la Suède ou les Pays-Bas et je pense que l'on affrontera les Pays-Bas.
Ma première pensée est comment on va jouer samedi et ma deuxième idée, c'est comme on va remporter la médaille d'Or aux JO et l'Euro 2021. Ce sont cela les prochains objectifs. Le but est de devenir les meilleurs au monde et on va continuer à travailler tant que l'on n'attendra pas cet objectif.
Vous aviez été critiqué à votre nomination. Comment vous projetez-vous ?
J'ai déjà commencé, je me projette déjà sur les deux années suivantes, c'est comme ça que je travaille. Les 18 derniers mois m'ont donné les choses que je n'avais connues dans ma carrière. Cela m'a donné beaucoup de joie. Avant le match, les filles étaient souriantes, elles ont joué comme elles devaient jouer. Elles sont sur la bonne route. On a eu des matchs difficiles contre le Pays de Galles mais je pense que tout cela nous rend meilleur. Les plus jeunes joueuses sont ici et ont encore dix à quinze ans devant elles. On a encore treize joueuses à la maison qui sont prêtes à relever le défi pour l'équipe. Il faut toujours aller de l'avant avec un rythme très élevé.