Retrouvez les réactions de Milena Bertolini et Sarina Wiegman à l'issue de la rencontre.
Miléna Bertolini (entraîneure de l’Italie) : « Je n’imaginais rien d’aussi beau, avec de tels résultats. Lorsque nous avons quitté l’Italie, je ne pensais pas qu’on atteindrait un tel niveau, surtout dans la phase éliminatoire. Bien entendu on est tristes ce soir. Mais fières du parcours que l’on a fait ».
Sur l’impact de ce Mondial en Italie : « Les joueuses ont permis de rendre les gens amoureux du football féminin en Italie. Elles ont fait beaucoup pour le développement de la discipline là-bas. Ce Mondial va en prime leur permettre de gagner en confiance ».
Sur la seconde période : « On a eu du mal après la pause physiquement. Au niveau tactique, nous avons su nous mettre au niveau des néerlandaises. Mais lorsque l’on joue un quart face aux Pays-Bas, il faut tout faire pour les empêcher de marquer car on n’aura pas beaucoup d’occasions. À la pause, j’ai vu la fatigue sur les visages. Mais je n’avais que trois changements, dont un que j’ai fait car une joueuse s’était blessée. Lorsqu’on est fatigué, on perd en lucidité et on finit par prendre de mauvaises décisions ».
Sur l’implication des clubs italiens : « Les grands clubs font déjà beaucoup pour le foot féminin. Ils ont commencé il y a deux ans mais ils font déjà beaucoup pour changer le sport. Mais il faut aussi une volonté politique, pour que le football féminin soit reconnu autant que le football masculin. Les joueuses, ce sont des amateurs et elles ont affronté des professionnelles dans cette Coupe du monde. C’est exceptionnel d’obtenir de tels résultats face à des pros. Mais les clubs doivent maintenant leur donner de meilleures conditions pour avancer ».
Sur elle, son staff et d’éventuels regrets : « Si nous sommes allés jusqu’ici, même si la lumière est sur moi, c’est aussi grâce à notre staff, sportif, médical, etc. Je ne vais pas m’évaluer moi-même. Mais je veux donner un vote de confiance à mon staff aujourd’hui. Ils vous aident à aller plus loin que vous ne le feriez vous-même. Sur les regrets, nous sommes arrivées fatiguées à la Coupe du monde. Lors du 5e match, nous étions vidées. Ça s’est ressenti sur la seconde période ce soir ».
Sur l’impact de ce Mondial en Italie : « Les joueuses ont permis de rendre les gens amoureux du football féminin en Italie. Elles ont fait beaucoup pour le développement de la discipline là-bas. Ce Mondial va en prime leur permettre de gagner en confiance ».
Sur la seconde période : « On a eu du mal après la pause physiquement. Au niveau tactique, nous avons su nous mettre au niveau des néerlandaises. Mais lorsque l’on joue un quart face aux Pays-Bas, il faut tout faire pour les empêcher de marquer car on n’aura pas beaucoup d’occasions. À la pause, j’ai vu la fatigue sur les visages. Mais je n’avais que trois changements, dont un que j’ai fait car une joueuse s’était blessée. Lorsqu’on est fatigué, on perd en lucidité et on finit par prendre de mauvaises décisions ».
Sur l’implication des clubs italiens : « Les grands clubs font déjà beaucoup pour le foot féminin. Ils ont commencé il y a deux ans mais ils font déjà beaucoup pour changer le sport. Mais il faut aussi une volonté politique, pour que le football féminin soit reconnu autant que le football masculin. Les joueuses, ce sont des amateurs et elles ont affronté des professionnelles dans cette Coupe du monde. C’est exceptionnel d’obtenir de tels résultats face à des pros. Mais les clubs doivent maintenant leur donner de meilleures conditions pour avancer ».
Sur elle, son staff et d’éventuels regrets : « Si nous sommes allés jusqu’ici, même si la lumière est sur moi, c’est aussi grâce à notre staff, sportif, médical, etc. Je ne vais pas m’évaluer moi-même. Mais je veux donner un vote de confiance à mon staff aujourd’hui. Ils vous aident à aller plus loin que vous ne le feriez vous-même. Sur les regrets, nous sommes arrivées fatiguées à la Coupe du monde. Lors du 5e match, nous étions vidées. Ça s’est ressenti sur la seconde période ce soir ».
Sarina Wiegman (entraîneure des Pays-Bas) : « Je suis ravie de mon équipe. Depuis l’Euro, nous avons gagné confiance en nous. Nous devions améliorer notre jeu pour aller loin dans cette Coupe du monde, ce que nous avons fait. Je suis plus fière que surprise d’être en demi-finale du Mondial aujourd’hui ».
Le discours à la mi-temps : « Je n’ai pas beaucoup parlé. Je leur avais déjà dit qu’il y avait beaucoup d’espaces sur les côtés, que les distances au milieu étaient trop larges. C’était ce que nous devions changer pour mieux conserver le ballon et améliorer nos passes ».
Sur la qualification pour les JO : « Ce sont des tournois très importants donc c’est essentiel pour nous d’y être. C’est une compétition importante pour notre discipline. Je n’en ai jamais rêvé mais j’y serais en tant que coach. Maintenant, on peut en prime atteindre la finale de la Coupe du monde. C’est un rêve qui devient réalité ».
Sur un éventuel départ s’il y avait eu une défaite : « Je n’y ai jamais pensé. Le but est d’avoir constamment des retours constructifs. Je suis heureuse d’être l’entraîneur de cette équipe néerlandaise ».
Sur la fatigue de l’équipe : « Je ne suis pas vraiment inquiète, nous avons trois jours pour se remettre. Les victoires aident en prime au niveau mental. Il faut maintenant définir de nouveaux objectifs et continuer de travailler pour y arriver ».
Sur les supporters : « Ils nous aident énormément. Ils ont fait l’effort de venir partout en France, même jusqu’à Rennes. C’est un sentiment unique que de voir autant de monde nous soutenir. Et l’on s’y habitue vite ».
Sur une potentielle victoire finale : « Nous devons encore jouer les demi-finales, beaucoup de choses peuvent se passer durant ce match. Il va falloir se battre jusqu’au bout. On a vu que certains matchs pouvaient être plus difficile pour nous. Et collectivement nous voulons fournir une bonne performance mercredi prochain ».
Le discours à la mi-temps : « Je n’ai pas beaucoup parlé. Je leur avais déjà dit qu’il y avait beaucoup d’espaces sur les côtés, que les distances au milieu étaient trop larges. C’était ce que nous devions changer pour mieux conserver le ballon et améliorer nos passes ».
Sur la qualification pour les JO : « Ce sont des tournois très importants donc c’est essentiel pour nous d’y être. C’est une compétition importante pour notre discipline. Je n’en ai jamais rêvé mais j’y serais en tant que coach. Maintenant, on peut en prime atteindre la finale de la Coupe du monde. C’est un rêve qui devient réalité ».
Sur un éventuel départ s’il y avait eu une défaite : « Je n’y ai jamais pensé. Le but est d’avoir constamment des retours constructifs. Je suis heureuse d’être l’entraîneur de cette équipe néerlandaise ».
Sur la fatigue de l’équipe : « Je ne suis pas vraiment inquiète, nous avons trois jours pour se remettre. Les victoires aident en prime au niveau mental. Il faut maintenant définir de nouveaux objectifs et continuer de travailler pour y arriver ».
Sur les supporters : « Ils nous aident énormément. Ils ont fait l’effort de venir partout en France, même jusqu’à Rennes. C’est un sentiment unique que de voir autant de monde nous soutenir. Et l’on s’y habitue vite ».
Sur une potentielle victoire finale : « Nous devons encore jouer les demi-finales, beaucoup de choses peuvent se passer durant ce match. Il va falloir se battre jusqu’au bout. On a vu que certains matchs pouvaient être plus difficile pour nous. Et collectivement nous voulons fournir une bonne performance mercredi prochain ».