Retrouvez les réactions de Carli Lloyd, Becky Sauerbrunn, Ali Krieger et Allie Long.
Carli Lloyd (attaquante des Etats-Unis, auteure d’un doublé) : "Malheureusement, on ne peut être que onze à commencer"
Son match : Je prends du plaisir sur le terrain, je montre ce dont je suis capable, c’est ça le plus important au final. Je ne joue pas un jeu, c’est la meilleure version de moi, la meilleure de ma carrière, qu’on me mette au milieu de terrain ou devant, que je sois remplaçante ou titulaire, j’essaie d’avoir de l’impact sur le match. Malheureusement, on ne peut être que onze à commencer sur le terrain, la coach doit prendre des décisions, et moi de mon côté je dois me tenir prête, et rester concentrée.
Quand elle semble contrariée de ne pas débuter, cela lui met plus de pression une fois qu’elle est titulaire ?
Non, la préparation a été ici, c’est 3 ou 4 dernières années j’ai réinventé mon jeu, j’ai progressé dans ma préparation physique, j’ai essayé d’améliorer ma précision devant le but, donc la pression n’est pas sur moi, peut-être sur quelqu’un d’autre, je ne sais pas, je vais sur le terrain et je fais ce que je sais faire, pour aider mon équipe d’une façon ou d’une autre.
Impliquer tout le groupe dans le succès : Nous savions que pour aller au bout et soulever le trophée, il nous faudrait 23 joueuses, c’est bien de célébrer avec les joueuses sur le banc. »
Quand elle semble contrariée de ne pas débuter, cela lui met plus de pression une fois qu’elle est titulaire ?
Non, la préparation a été ici, c’est 3 ou 4 dernières années j’ai réinventé mon jeu, j’ai progressé dans ma préparation physique, j’ai essayé d’améliorer ma précision devant le but, donc la pression n’est pas sur moi, peut-être sur quelqu’un d’autre, je ne sais pas, je vais sur le terrain et je fais ce que je sais faire, pour aider mon équipe d’une façon ou d’une autre.
Impliquer tout le groupe dans le succès : Nous savions que pour aller au bout et soulever le trophée, il nous faudrait 23 joueuses, c’est bien de célébrer avec les joueuses sur le banc. »
Becky Sauerbrunn (défenseure des Etats-Unis) : "On est une équipe qui veut marquer beaucoup"
Son sentiment après cette nouvelle victoire : Je me sens bien, c’est bien de se qualifier pour les matches à élimination, nous avons un gros match à venir face à la Suède, donc on va oublier cette partie et se concentrer sur la prochaine. Si on va marquer autant à chaque fois ? Ce serait bien (sourire). Mais non je ne pense pas qu’on s’attende à autant dominer au tableau d’affichage, mais on est une équipe qui veut marquer beaucoup de buts et on va les célébrer quand ils arriveront.
Jouer au Parc devant autant de spectateurs : C’est le record de spectateurs de la compétition ? Je ne le savais pas ! C’est merveilleux, on a déjà un contingent de fans assez extraordinaire rien qu’avec nos amis et nos familles, mais il y a aussi beaucoup d’autres américains qui sont venus des États-Unis pour ce match à Paris, c’est un honneur de jouer devant eux, c’est l’environnement idéal.
Quel est son objectif lors de cette compétition : (interloquée) De la gagner. Est-ce que c’est une question piège (rires) ? On veut la gagner, et on veut affronter les meilleures pour ça.
Un journaliste en tribune a dit que le jeu de l’équipe ressemblait à celui des hommes : Moi je pense que nous sommes une équipe féminine qui joue un très bon football, on n’essaie en aucune manière de nous comparer à eux, mais on veut dominer quand on est sur le terrain, et pour l’instant lors de ces deux premiers matches, on est capable d’avoir la balle, de bien l’utiliser et de marquer de beaux buts.
Le futur adversaire, la Suède : C’est une équipe très forte. Historiquement on les a rencontré à presque tous les tournois qu’on a disputé, ils sont difficiles à manœuvrer, mais on veut terminer à la première place du groupe donc on va aborder la partie comme si on était obligé de gagner.»
Jouer au Parc devant autant de spectateurs : C’est le record de spectateurs de la compétition ? Je ne le savais pas ! C’est merveilleux, on a déjà un contingent de fans assez extraordinaire rien qu’avec nos amis et nos familles, mais il y a aussi beaucoup d’autres américains qui sont venus des États-Unis pour ce match à Paris, c’est un honneur de jouer devant eux, c’est l’environnement idéal.
Quel est son objectif lors de cette compétition : (interloquée) De la gagner. Est-ce que c’est une question piège (rires) ? On veut la gagner, et on veut affronter les meilleures pour ça.
Un journaliste en tribune a dit que le jeu de l’équipe ressemblait à celui des hommes : Moi je pense que nous sommes une équipe féminine qui joue un très bon football, on n’essaie en aucune manière de nous comparer à eux, mais on veut dominer quand on est sur le terrain, et pour l’instant lors de ces deux premiers matches, on est capable d’avoir la balle, de bien l’utiliser et de marquer de beaux buts.
Le futur adversaire, la Suède : C’est une équipe très forte. Historiquement on les a rencontré à presque tous les tournois qu’on a disputé, ils sont difficiles à manœuvrer, mais on veut terminer à la première place du groupe donc on va aborder la partie comme si on était obligé de gagner.»
Ali Krieger (défenseure des Etats-Unis) : "Je fais attention à mon corps depuis ma blessure"
« Je fais attention à mon corps depuis ma blessure. Je reviens bien en faisant attention à mon physique, mes capacités techniques. J’ai travaillé tous les jours pour en arriver là. Il faut que je récupère et corrige encore certains détails. Au fil des années, j’ai beaucoup appris de différents coachs. J’ai changé certaines choses pour vraiment plus me concentrer sur mon physique. C’est mon moteur pour jouer à ce niveau. Mon coach à Orlando a été fantastique et m’a fait penser différemment sur ma position et ma manière de jouer.
Sur sa titularisation : Il y a deux jours on a vu lors des entrainements quelle serait la composition probable et la coach nous a confirmé le 11 de départ hier. Je me prépare toujours dans l’éventualité d’être titulaire, c’est ma manière de fonctionner. Je sentais que comme je m’entrainais très bien, j’ai été récompensée par cette place dans le 11 de départ. J’en suis très heureuse, la coach m’a parle plusieurs lors des entrainement et l’entraineur adjoint Tony m’a dit que je jouais vraiment bien et j’étais dans la meilleure forme qu’il avait vu depuis très longtemps. Ça m’a fait du bien d’entendre cela.
Sur la suite du tournoi : On ne regarde que match par match, on va se concentrer sur la Suède, on prend tous les matchs comme si c’était les plus importants.
Sur sa relation avec Marta : Je la soutiens. Ce qu’elle fait en ce moment, c’est incroyable. C’est une joueuse inspirante au quotidien. Chaque jour, elle me rend meilleure car je dois défendre face à elle à l’entraînement. C’est un honneur de jouer à ses côtés. J’espère qu’elle fera un beau tournoi mais si on doit s’affronter, elle en aura pour son argent ».
Sur sa titularisation : Il y a deux jours on a vu lors des entrainements quelle serait la composition probable et la coach nous a confirmé le 11 de départ hier. Je me prépare toujours dans l’éventualité d’être titulaire, c’est ma manière de fonctionner. Je sentais que comme je m’entrainais très bien, j’ai été récompensée par cette place dans le 11 de départ. J’en suis très heureuse, la coach m’a parle plusieurs lors des entrainement et l’entraineur adjoint Tony m’a dit que je jouais vraiment bien et j’étais dans la meilleure forme qu’il avait vu depuis très longtemps. Ça m’a fait du bien d’entendre cela.
Sur la suite du tournoi : On ne regarde que match par match, on va se concentrer sur la Suède, on prend tous les matchs comme si c’était les plus importants.
Sur sa relation avec Marta : Je la soutiens. Ce qu’elle fait en ce moment, c’est incroyable. C’est une joueuse inspirante au quotidien. Chaque jour, elle me rend meilleure car je dois défendre face à elle à l’entraînement. C’est un honneur de jouer à ses côtés. J’espère qu’elle fera un beau tournoi mais si on doit s’affronter, elle en aura pour son argent ».
Allie Long (milieu des Etats-Unis) : "Nous avons une équipe qui a probablement la meilleure profondeur de banc"
C’est vraiment super d’être de retour a Paris. La dernière fois que je suis venue c’était pour le match des garçons l’an dernier. C’est une sensation presque irréelle d’être de retour ici et de jouer sur ce terrain. Quand j’étais au PSG, nous n’avions jamais joué au Parc des Princes car nous jouions a Charléty. C’est vraiment un stade magnifique qui en plus était rempli à ras bord avec des fans des USA mais aussi des fans du Chili.
Par rapport au penalty : Oui, je pense qu’il y a une faute sur moi. Aujourd’hui j’aime la VAR (rire). Elle m’accrochait, je l’ai bien senti.
Par rapport au PSG : Oui je suis les résultats, quand ils jouent, j’espère toujours qu’ils et elles vont gagner, j’ai toujours été une fan des équipes masculine et féminine.
Par rapport au fait de jouer une Coupe du Monde : Ça a toujours été un rêve pour moi de jouer dans une Coupe du monde, j’avais vraiment envie de jouer, le terrain était en parfait état, j’étais très enthousiaste de rentrer sur le terrain et j’avais envie de profiter de chaque seconde sur le terrain.
Sur les 20 joueuses de champ qui ont eu du temps de jeu sur les deux matchs : Je crois que nous avons une équipe qui a probablement la meilleure profondeur de banc de tout le tournoi. C’était vraiment important de donner du temps de jeu à toutes les joueuses.
Sur la Suède : Nous avons le plus grand respect pour toutes les équipes et en particulier la Suède. Elles ont beaucoup de qualités et nous aurons toutes nos joueuses de la numéro 1 a la 23 pour les battre ainsi que toutes les autres équipes que nous pourrions rencontrer dans le futur. On va regarder match après match et nous serons prêtes pour le prochain contre elles.
Sur son carton jaune : Je suis un peu énervée, car les cartons jaunes comptent énormément (ndlr : il y a suspension pour un match après deux cartons jaunes). Je ne savais pas que la joueuse chilienne était là. Je sautais pour faire une tête et me protéger. Je ne mettrai jamais mon coude dans la tête d’une adversaire de manière volontaire bien sûr.
Par rapport au penalty : Oui, je pense qu’il y a une faute sur moi. Aujourd’hui j’aime la VAR (rire). Elle m’accrochait, je l’ai bien senti.
Par rapport au PSG : Oui je suis les résultats, quand ils jouent, j’espère toujours qu’ils et elles vont gagner, j’ai toujours été une fan des équipes masculine et féminine.
Par rapport au fait de jouer une Coupe du Monde : Ça a toujours été un rêve pour moi de jouer dans une Coupe du monde, j’avais vraiment envie de jouer, le terrain était en parfait état, j’étais très enthousiaste de rentrer sur le terrain et j’avais envie de profiter de chaque seconde sur le terrain.
Sur les 20 joueuses de champ qui ont eu du temps de jeu sur les deux matchs : Je crois que nous avons une équipe qui a probablement la meilleure profondeur de banc de tout le tournoi. C’était vraiment important de donner du temps de jeu à toutes les joueuses.
Sur la Suède : Nous avons le plus grand respect pour toutes les équipes et en particulier la Suède. Elles ont beaucoup de qualités et nous aurons toutes nos joueuses de la numéro 1 a la 23 pour les battre ainsi que toutes les autres équipes que nous pourrions rencontrer dans le futur. On va regarder match après match et nous serons prêtes pour le prochain contre elles.
Sur son carton jaune : Je suis un peu énervée, car les cartons jaunes comptent énormément (ndlr : il y a suspension pour un match après deux cartons jaunes). Je ne savais pas que la joueuse chilienne était là. Je sautais pour faire une tête et me protéger. Je ne mettrai jamais mon coude dans la tête d’une adversaire de manière volontaire bien sûr.