Un grand sourire aux lèvres, la capitaine du Japon Saki Kumagi était forcément heureuse du succès acquis par les Nadeshiko, face à l’Ecosse, à Rennes ce jeudi (2-1). La Lyonnaise est également très heureuse de retrouver sa coéquipières Lucy Bronze au prochain match, décisif pour la premier place du groupe D.
On vous imagine soulagées après cette première victoire dans ce Mondial ?
Oui, mais ce n’était pas un match facile. On a quand même réussi à gagner, à prendre trois points, c’est le plus important pour nous. On n’avait pas bien joué au premier match, ça avait donné ce nul face à l’Argentine (0-0), mais il fallait continuer d’avancer pour bien aborder ce match, on est contentes.
Il y avait un peu de pression dans le groupe ? On vous a senti de mieux en mieux après que vous avez débloqué le score ?
C’est vrai. Contre l’Argentine, on a fait un peu n’importe quoi, donc là on s’était dit avant le match qu’il fallait tirer au but, obtenir plus d’occasions que lundi. C’est ce qu’on a réussi à faire en première mi-temps où on s’est créé pas mal d’opportunités. On a mieux joué que lors du premier match et surtout, on a mieux réussi à s’exprimer sur le terrain.
A la mi-temps, vous aviez deux buts d’avance, quels ont été les mots d’Asako Takakura, votre sélectionneuse ?
La coach nous a dit qu’il restait 45 minutes à jouer, qu’il ne fallait pas se relâcher, bien au contraire, mais continuer à jouer comme on l’avait fait. On devait aborder le deuxième acte comme s’il y avait 0-0, et finalement on l’a emporté.
Même si ça a été compliqué en fin de partie. C’était à cause d’une certaine fatigue chez vous ?
Non, c’est normal, on gagnait de deux buts, c’est l’Ecosse qui avait besoin de réduire le score et de marquer. C’était plus dur, c’est vrai, mais on savait que notre objectif c’était de défendre notre but coûte que coûte ! De la panique ? Non pas du tout, c’est passé et on l’a emporté.
Maintenant, vous attend un choc face à l’Angleterre (mercredi à 21h00 face à Nice), où vous aurez l’opportunité de terminer à la première place du groupe…
On a encore les cartes en main, en gagnant on peut terminer en tête, heureusement, on va essayer de l’emporter, et bien se préparer pour cette rencontre.
Vous aurez face à vous deux coéquipières à Lyon, Nikita Parris, qui vous rejoindra cet été, et Lucy Bronze.
Oui, j’ai hâte de jouer avec mes coéquipières. Je ne jouerai peut-être pas directement face à Lucy, on ne sera pas en un contre un, mais c’est comme ça. Ce qui est sûr, c’est que je vais aider mes coéquipières japonaises en leur disant « Lucy elle fait ci, elle fait ça », je vais leur donner plein d’informations (rires).
Oui, mais ce n’était pas un match facile. On a quand même réussi à gagner, à prendre trois points, c’est le plus important pour nous. On n’avait pas bien joué au premier match, ça avait donné ce nul face à l’Argentine (0-0), mais il fallait continuer d’avancer pour bien aborder ce match, on est contentes.
Il y avait un peu de pression dans le groupe ? On vous a senti de mieux en mieux après que vous avez débloqué le score ?
C’est vrai. Contre l’Argentine, on a fait un peu n’importe quoi, donc là on s’était dit avant le match qu’il fallait tirer au but, obtenir plus d’occasions que lundi. C’est ce qu’on a réussi à faire en première mi-temps où on s’est créé pas mal d’opportunités. On a mieux joué que lors du premier match et surtout, on a mieux réussi à s’exprimer sur le terrain.
A la mi-temps, vous aviez deux buts d’avance, quels ont été les mots d’Asako Takakura, votre sélectionneuse ?
La coach nous a dit qu’il restait 45 minutes à jouer, qu’il ne fallait pas se relâcher, bien au contraire, mais continuer à jouer comme on l’avait fait. On devait aborder le deuxième acte comme s’il y avait 0-0, et finalement on l’a emporté.
Même si ça a été compliqué en fin de partie. C’était à cause d’une certaine fatigue chez vous ?
Non, c’est normal, on gagnait de deux buts, c’est l’Ecosse qui avait besoin de réduire le score et de marquer. C’était plus dur, c’est vrai, mais on savait que notre objectif c’était de défendre notre but coûte que coûte ! De la panique ? Non pas du tout, c’est passé et on l’a emporté.
Maintenant, vous attend un choc face à l’Angleterre (mercredi à 21h00 face à Nice), où vous aurez l’opportunité de terminer à la première place du groupe…
On a encore les cartes en main, en gagnant on peut terminer en tête, heureusement, on va essayer de l’emporter, et bien se préparer pour cette rencontre.
Vous aurez face à vous deux coéquipières à Lyon, Nikita Parris, qui vous rejoindra cet été, et Lucy Bronze.
Oui, j’ai hâte de jouer avec mes coéquipières. Je ne jouerai peut-être pas directement face à Lucy, on ne sera pas en un contre un, mais c’est comme ça. Ce qui est sûr, c’est que je vais aider mes coéquipières japonaises en leur disant « Lucy elle fait ci, elle fait ça », je vais leur donner plein d’informations (rires).