La Nouvelle-Zélande aura de nouveau un énorme challenge face à elle. Si elle s'est facilement qualifiée en zone Océane, la compétition mondiale reste une énorme marche pour les Football Ferns.
LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 19e
Meilleur classement FIFA : 16e (septembre 2015)
Premier match de la sélection : 25 août 1975 contre Hong Kong (2-0)
Plus large victoire : 21-0 contre Samoa (9 octobre 1998)
Plus large défaite : 0-11 contre la Corée du Nord (24 février 2004)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Pays-Bas (Le Havre)
15 juin 2019 : Canada (Montpellier)
20 juin 2019 : Cameroun (Grenoble)
Meilleur classement FIFA : 16e (septembre 2015)
Premier match de la sélection : 25 août 1975 contre Hong Kong (2-0)
Plus large victoire : 21-0 contre Samoa (9 octobre 1998)
Plus large défaite : 0-11 contre la Corée du Nord (24 février 2004)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
11 juin 2019 : Pays-Bas (Le Havre)
15 juin 2019 : Canada (Montpellier)
20 juin 2019 : Cameroun (Grenoble)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 4
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : phase de groupe (4e place)
Bilan général en Coupe du Monde : 12 matches, 3 nuls, 9 défaites, 7 buts pour, 29 buts contre
Plus large victoire : aucune
Plus large défaite : 0-5 face au Brésil (2007)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :9 matchs : Abby Erceg (2007, 2011, 2015), Ria Percival (2007, 2011, 2015), Ali Riley (2007, 2011, 2015)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Hannah Wilkinson, 2 buts (2011, 2015)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : phase de groupe (4e place)
Bilan général en Coupe du Monde : 12 matches, 3 nuls, 9 défaites, 7 buts pour, 29 buts contre
Plus large victoire : aucune
Plus large défaite : 0-5 face au Brésil (2007)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde :9 matchs : Abby Erceg (2007, 2011, 2015), Ria Percival (2007, 2011, 2015), Ali Riley (2007, 2011, 2015)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Hannah Wilkinson, 2 buts (2011, 2015)
Qualifications
Les années passent, et la Nouvelle-Zélande continue à se qualifier sans la moindre opposition dans la zone Océanie. Elle a remporté ses cinq matches pour terminer avec un nouveau sans-faute le tournoi qualificatif, sa plus petite victoire ayant été en match de poule contre les Îles Cook (6-0). En demi-finale et en finale, elle s'est imposée sur le score de 8-0 face à la Nouvelle-Calédonie et les Îles Fidji respectivement.
Date de qualification : 1er décembre 2018
Bilan des qualifications
5 matchs, 5 victoires, 43 buts pour, 0 but contre
Tonga (11-0), Iles Cook (6-0), Fidji (10-0, 8-0), Nouvelle-Calédonie (8-0)
Sélectionneur : Sermanni (5)
Bilan joueuses/buteuses
G : Nayler (3), Esson (1), Olla (1)
D : Percival (5/1), Green (4), Moore (4/2), Bott (2), Stott (3), Riley (4), Morton (4/1), Skilton (3), Anton (2)
M : Longo (4/5), Hassett (4/5), Bowen (4/1), Jale (4/2), Steinmetz (1)
A : Gregorius (3/8), White (4/6), Satchell (3/1), Rood (4/4), Rolston (3/6)
Date de qualification : 1er décembre 2018
Bilan des qualifications
5 matchs, 5 victoires, 43 buts pour, 0 but contre
Tonga (11-0), Iles Cook (6-0), Fidji (10-0, 8-0), Nouvelle-Calédonie (8-0)
Sélectionneur : Sermanni (5)
Bilan joueuses/buteuses
G : Nayler (3), Esson (1), Olla (1)
D : Percival (5/1), Green (4), Moore (4/2), Bott (2), Stott (3), Riley (4), Morton (4/1), Skilton (3), Anton (2)
M : Longo (4/5), Hassett (4/5), Bowen (4/1), Jale (4/2), Steinmetz (1)
A : Gregorius (3/8), White (4/6), Satchell (3/1), Rood (4/4), Rolston (3/6)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Parmi les appelées, celles qui sont sous contrat évoluent dans de nombreux championnats différents. De la Nouvelle-Zélande (7) aux États-Unis (3), du Japon à l'Europe, de l'Islande à la France en passant par la Norvège, la Suède, la Norvège ou encore l'Allemagne et l'Angleterre, les Football Ferns n'ont pas peur de voyager.
Les absentes
S'il devait y en avoir une, il s'agit d'Amber Hearn, qui a longtemps été le pilier de l'attaque néo-zélandaise, mais à 34 ans, celle qui évolue désormais en Espagne ne fait plus partie des plans de la sélection qui essaie de se projeter vers l'avenir. A noter aussi, la défenseure de Duisburg, Meikayla Moore, blessée.
Equipe-type
Depuis son arrivée, Tom Sermanni s'est essayé à de nombreuses dispositions tactique et une revue d'effectif. Dans un système en 532 qui pourrait être utilisé, on retrouvera la Bordelaise Erin Nayler dans les buts, devant un trio Abby Erceg/Rebekah Stott/Meikayla Moore en défense centrale avec Anna Green comme alternative, avec Ali Riley à gauche, et Ria Percival à droite. Au milieu, un trio Katie Bowen, Annalie Longo et Betsy Hassett ou Katie Duncan tient la route, derrière une attaque composée d'Hannah Wilkinson, Rosie White et Sarah Gregorius ou Paige Satchell.
Parmi les appelées, celles qui sont sous contrat évoluent dans de nombreux championnats différents. De la Nouvelle-Zélande (7) aux États-Unis (3), du Japon à l'Europe, de l'Islande à la France en passant par la Norvège, la Suède, la Norvège ou encore l'Allemagne et l'Angleterre, les Football Ferns n'ont pas peur de voyager.
Les absentes
S'il devait y en avoir une, il s'agit d'Amber Hearn, qui a longtemps été le pilier de l'attaque néo-zélandaise, mais à 34 ans, celle qui évolue désormais en Espagne ne fait plus partie des plans de la sélection qui essaie de se projeter vers l'avenir. A noter aussi, la défenseure de Duisburg, Meikayla Moore, blessée.
Equipe-type
Depuis son arrivée, Tom Sermanni s'est essayé à de nombreuses dispositions tactique et une revue d'effectif. Dans un système en 532 qui pourrait être utilisé, on retrouvera la Bordelaise Erin Nayler dans les buts, devant un trio Abby Erceg/Rebekah Stott/Meikayla Moore en défense centrale avec Anna Green comme alternative, avec Ali Riley à gauche, et Ria Percival à droite. Au milieu, un trio Katie Bowen, Annalie Longo et Betsy Hassett ou Katie Duncan tient la route, derrière une attaque composée d'Hannah Wilkinson, Rosie White et Sarah Gregorius ou Paige Satchell.
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : une défense plutôt solide, un collectif parfois compliqué à contourner
§ Points faibles : créativité, attaque décisive, manque de compétitivité
§ Joueuses clés : Abby Erceg, Sarah Gregorius, Hannah Wilkinson
§ Infos à savoir sur le système de jeu : celui-ce ne semble encore pas décidé par Tom Sermanni, mais une chose est sûre, Ali Riley et Ria Percival sur les côtés ne ménagent pas leurs efforts.
La joueuse à suivre
Abby Erceg est le pilier de la défense, et l'une des meilleures à son poste en NWSL. Ses qualités footballistiques et de leadership devront aider la Nouvelle-Zélande à proposer une défense difficile à battre.
Le sélectionneur
Tom Sermanni, ancien milieu de terrain écossais qui a évolué dans différents championnats au cours de sa carrière de joueur, est un entraineur bien connu dans le milieu du football féminin. Avant de prendre en main la sélection néo-zélandaise fin 2018, il a notamment été sélectionneur de l'Australie (pendant 10 ans) et des États-Unis, et était dans le staff du Canada pendant la dernière Coupe du monde. Il a également coaché plusieurs clubs, notamment dans les championnats états-unien et plus récemment du côté d'Orlando en NWSL. Reconnu pour son travail de développement notamment auprès de jeunes équipes et sélections, il va essayer de faire passer un cap à la Nouvelle-Zélande lors de la Coupe du monde.
§ Points forts : une défense plutôt solide, un collectif parfois compliqué à contourner
§ Points faibles : créativité, attaque décisive, manque de compétitivité
§ Joueuses clés : Abby Erceg, Sarah Gregorius, Hannah Wilkinson
§ Infos à savoir sur le système de jeu : celui-ce ne semble encore pas décidé par Tom Sermanni, mais une chose est sûre, Ali Riley et Ria Percival sur les côtés ne ménagent pas leurs efforts.
La joueuse à suivre
Abby Erceg est le pilier de la défense, et l'une des meilleures à son poste en NWSL. Ses qualités footballistiques et de leadership devront aider la Nouvelle-Zélande à proposer une défense difficile à battre.
Le sélectionneur
Tom Sermanni, ancien milieu de terrain écossais qui a évolué dans différents championnats au cours de sa carrière de joueur, est un entraineur bien connu dans le milieu du football féminin. Avant de prendre en main la sélection néo-zélandaise fin 2018, il a notamment été sélectionneur de l'Australie (pendant 10 ans) et des États-Unis, et était dans le staff du Canada pendant la dernière Coupe du monde. Il a également coaché plusieurs clubs, notamment dans les championnats états-unien et plus récemment du côté d'Orlando en NWSL. Reconnu pour son travail de développement notamment auprès de jeunes équipes et sélections, il va essayer de faire passer un cap à la Nouvelle-Zélande lors de la Coupe du monde.
La préparation
4 juin 2019 : Pays de Galles 0-1 (P)
1er juin 2019 : Angleterre 1-0 (G)
22 mai 2019 : Mexique 2-1 (G)
16 mai 2019 : Etats-Unis 0-5 (P)
9 avril 2019 : Norvège 1-0 (G)
6 mars 2019 : Corée du Sud 0-2 (P)
3 mars 2019 : Argentine 2-0 (G)
28 février 2019 : Australie 0-2 (P)
1er juin 2019 : Angleterre 1-0 (G)
22 mai 2019 : Mexique 2-1 (G)
16 mai 2019 : Etats-Unis 0-5 (P)
9 avril 2019 : Norvège 1-0 (G)
6 mars 2019 : Corée du Sud 0-2 (P)
3 mars 2019 : Argentine 2-0 (G)
28 février 2019 : Australie 0-2 (P)
Faits et chiffres
La Nouvelle-Zélande va participer pour la cinquième fois – la quatrième fois consécutive – à la Coupe du Monde Féminine de la FIFA mais a toujours terminé quatrième de son groupe. Dans les qualifications continentales, elle a archidominé avec aucun but encaissé pour 43 marqués et en est à 16 victoires consécutives en phase de qualifications mondiales et à 15 matches sans encaisser le moindre but.
L'avis de FOOTOFEMININ
Face aux Pays-Bas, au Canada et au Cameroun (dans l'ordre des matches), ce n'est a priori pas cette fois-ci que la Nouvelle-Zélande sortira de son groupe. Mais, pour sa cinquième participation à l'épreuve, elle peut espérer remporter la première victoire de son histoire en Coupe du monde.