Corinne Diacre a dévoilé jeudi soir sa liste de 23 joueuses qui défendront les couleurs de la France lors de la Coupe du monde disputée en France entre le 7 juin et le 7 juillet. Une liste sans surprise, et un groupe qui s'est formé au fil des douze rassemblements effectués depuis la prise de fonction de la sélectionneuse française. Voici une rapide présentation du groupe et des joueuses.
Parmi les vingt-trois joueuses appelées par Corinne Diacre, on peut noter une expérience très différente au niveau international. Cinq joueuses ont passé la barre des cent sélections (Elise Bussaglia, Eugénie Le Sommer, Gaëtane Thiney, Sarah Bouhaddi, Wendie Renard), et autant en comptent trois ou moins (Solène Durand, Pauline Peyraud-Magnin, Maëva Clémaron, Julie Debever, Emelyne Laurent).
Elles sont neuf à avoir pris part à la Coupe du monde en 2015 (*), neuf également à avoir participé aux Jeux olympiques en 2016 (**), et douze étaient aux Pays-Bas en 2017 pour disputer l'Euro (***). Dix joueuses parmi les vingt-trois disputeront leur première grande compétition internationale en A (°).
Elles sont neuf à avoir pris part à la Coupe du monde en 2015 (*), neuf également à avoir participé aux Jeux olympiques en 2016 (**), et douze étaient aux Pays-Bas en 2017 pour disputer l'Euro (***). Dix joueuses parmi les vingt-trois disputeront leur première grande compétition internationale en A (°).
Gardiennes (3) : Sarah Bouhaddi (*)(**)(***), Pauline Peyraud-Magnin (°), Solène Durand (°)
SARAH BOUHADDI (139 sélections, née en 1986).
Depuis la nomination de Corinne Diacre :15 sélections, 1327 minutes (sur 1890 possible), 6 buts encaissés.
À sa nomination, Corinne Diacre avait décidé d'ouvrir le poste à la concurrence. Et son choix s'est finalement porté sur Sarah Bouhaddi, la numéro 1 dans les buts tricolores depuis de nombreuses années déjà. Si elle peut éviter les sautes de concentration, pourquoi ne pas viser le titre de meilleure gardienne de la compétition ?
PAULINE PEYRAUD-MAGNIN (1 sélection, née en 1992).
Une sélection, 23 minutes, 0 but encaissé
Appelée dans le groupe pour la première fois en octobre 2018, celle qui a réalisé une saison solide du côté du champion d'Angleterre Arsenal a connu sa première sélection début avril contre le Japon. Malheureusement pour elle, elle devait quitter le terrain, blessée, après une vingtaine de minutes de jeu. Nul doute qu'elle sera prête à suppléer Sarah Bouhaddi si besoin est.
SOLÈNE DURAND (0 sélection, née en 1994).
Présente dès le premier rassemblement, elle a été rappelée à plusieurs reprises par la suite sans jamais entrer sur le terrain, qu'elle ne devrait pas voir non plus pendant la Coupe du monde. Elle n'a cependant pas eu besoin de temps de jeu pour convaincre Corinne Diacre de l'appeler dans le groupe.
Depuis la nomination de Corinne Diacre :15 sélections, 1327 minutes (sur 1890 possible), 6 buts encaissés.
À sa nomination, Corinne Diacre avait décidé d'ouvrir le poste à la concurrence. Et son choix s'est finalement porté sur Sarah Bouhaddi, la numéro 1 dans les buts tricolores depuis de nombreuses années déjà. Si elle peut éviter les sautes de concentration, pourquoi ne pas viser le titre de meilleure gardienne de la compétition ?
PAULINE PEYRAUD-MAGNIN (1 sélection, née en 1992).
Une sélection, 23 minutes, 0 but encaissé
Appelée dans le groupe pour la première fois en octobre 2018, celle qui a réalisé une saison solide du côté du champion d'Angleterre Arsenal a connu sa première sélection début avril contre le Japon. Malheureusement pour elle, elle devait quitter le terrain, blessée, après une vingtaine de minutes de jeu. Nul doute qu'elle sera prête à suppléer Sarah Bouhaddi si besoin est.
SOLÈNE DURAND (0 sélection, née en 1994).
Présente dès le premier rassemblement, elle a été rappelée à plusieurs reprises par la suite sans jamais entrer sur le terrain, qu'elle ne devrait pas voir non plus pendant la Coupe du monde. Elle n'a cependant pas eu besoin de temps de jeu pour convaincre Corinne Diacre de l'appeler dans le groupe.
Défenseures latérales (4) : Amel Majri (*)(**), Sakina Karchaoui (**)(***), Marion Torrent (°), Eve Périsset (***)
AMEL MAJRI (46 sélections, née en 1993)
Quatorze sélections, 1232 minutes, 3 passes décisives
Défense ou attaque... Corinne Diacre a tranché en faisant d'Amel Majri sa titulaire sur le flanc gauche de la défense. Toujours très offensive, elle permet à Eugénie Le Sommer, titulaire sur l'aile gauche, de rentrer dans le cœur du jeu par ses montées.
SAKINA KARCHAOUI (23 sélections, née en 1996).
Huit sélections, 490 minutes, 1 passe décisive
Doublure attitrée d'Amel Majri, joueuse au profil similaire et portée sur l'offensive, elle possède l'expérience des grandes compétitions internationales puisqu'elle a déjà disputé les Jeux olympiques en 2016 et l'Euro en 2017, ainsi que la Coupe du monde des moins de 20 ans en 2016.
MARION TORRENT (20 sélections, née en 1992).
Vingt sélections, 1558 minutes, 3 passes décisives
Elle a su prendre le bon wagon. Appelée pour le premier rassemblement, elle n'est jamais sortie du groupe et est la seule à avoir atteint la barre des vingt matches disputés (en 21 rencontres), avec le plus gros temps de jeu à la clé. Une mise à niveau internationale express pour la Montpelliéraine qui n'avait pas connu de sélection auparavant, et qui est montée en puissance notamment offensivement, avec trois passes décisives à la clé lors des trois derniers rassemblements.
EVE PERISSET (13 sélections, née en 1994).
Quatre sélections, 154 minutes
Souvent dans le groupe, mais rarement sur le terrain, elle sera la doublure de Marion Torrent pendant la compétition et pourra également faire parler sa polyvalence en cas de besoin. Si elle n'a pas une grande expérience internationale avec l'équipe de France, elle joue régulièrement la Ligue des champions depuis plusieurs années.
Quatorze sélections, 1232 minutes, 3 passes décisives
Défense ou attaque... Corinne Diacre a tranché en faisant d'Amel Majri sa titulaire sur le flanc gauche de la défense. Toujours très offensive, elle permet à Eugénie Le Sommer, titulaire sur l'aile gauche, de rentrer dans le cœur du jeu par ses montées.
SAKINA KARCHAOUI (23 sélections, née en 1996).
Huit sélections, 490 minutes, 1 passe décisive
Doublure attitrée d'Amel Majri, joueuse au profil similaire et portée sur l'offensive, elle possède l'expérience des grandes compétitions internationales puisqu'elle a déjà disputé les Jeux olympiques en 2016 et l'Euro en 2017, ainsi que la Coupe du monde des moins de 20 ans en 2016.
MARION TORRENT (20 sélections, née en 1992).
Vingt sélections, 1558 minutes, 3 passes décisives
Elle a su prendre le bon wagon. Appelée pour le premier rassemblement, elle n'est jamais sortie du groupe et est la seule à avoir atteint la barre des vingt matches disputés (en 21 rencontres), avec le plus gros temps de jeu à la clé. Une mise à niveau internationale express pour la Montpelliéraine qui n'avait pas connu de sélection auparavant, et qui est montée en puissance notamment offensivement, avec trois passes décisives à la clé lors des trois derniers rassemblements.
EVE PERISSET (13 sélections, née en 1994).
Quatre sélections, 154 minutes
Souvent dans le groupe, mais rarement sur le terrain, elle sera la doublure de Marion Torrent pendant la compétition et pourra également faire parler sa polyvalence en cas de besoin. Si elle n'a pas une grande expérience internationale avec l'équipe de France, elle joue régulièrement la Ligue des champions depuis plusieurs années.
Défenseures centrales (4) : Wendie Renard (*)(**)(***), Griedge Mbock (*)(**)(***), Aissatou Tounkara (***), Julie Debever (°)
WENDIE RENARD (108 sélections, née en 1990).
Quatorze sélections, 1260 minutes, 1 but, 1 passe décisive.
Si elle ne porte plus le brassard de capitaine depuis la nomination de Corinne Diacre, elle reste une des patronnes de l'équipe, tour de contrôle en défense, dangereuse sur coups de pieds arrêtés offensifs. Elle sera titulaire au sein de la défense centrale tricolore au cours de la compétition.
GRIEDGE MBOCK (49 sélections, née en 1995).
Seize sélections, 1440 minutes, 3 buts, 2 passes décisives.
Elle prend chaque année un peu plus d'épaisseur, et est devenue une vraie patronne de la défense. Depuis l'arrivée de Corinne Diacre, elle a même été plus efficace offensivement que sa consoeur en défense centrale Wendie Renard. Elle sera un atout aussi bien défensif qu'offensif au cours de la compétition.
AISSATOU TOUNKARA (11 sélections, née en 1995).
Sept sélections, 585 minutes.
Après avoir passé la majeure partie de 2018 hors des terrains, blessée, elle a fait son retour en équipe de France et rapidement gagné sa place, en jouant avec Wendie Renard ou Griedge Mbock. Elle est troisième dans la hiérarchie en défense centrale mais a montré qu'elle était une alternative solide, même si elle n'a pas la même expérience ou le même poids offensif que le duo titulaire.
JULIE DEBEVER (2 sélections, née en 1988).
Deux sélections, 76 minutes.
Quatrième dans la hiérarchie, elle ne devrait pas beaucoup voir le terrain. Mais c'est certainement plus pour son apport au groupe que Corinne Diacre a décidé de lui faire confiance.
Quatorze sélections, 1260 minutes, 1 but, 1 passe décisive.
Si elle ne porte plus le brassard de capitaine depuis la nomination de Corinne Diacre, elle reste une des patronnes de l'équipe, tour de contrôle en défense, dangereuse sur coups de pieds arrêtés offensifs. Elle sera titulaire au sein de la défense centrale tricolore au cours de la compétition.
GRIEDGE MBOCK (49 sélections, née en 1995).
Seize sélections, 1440 minutes, 3 buts, 2 passes décisives.
Elle prend chaque année un peu plus d'épaisseur, et est devenue une vraie patronne de la défense. Depuis l'arrivée de Corinne Diacre, elle a même été plus efficace offensivement que sa consoeur en défense centrale Wendie Renard. Elle sera un atout aussi bien défensif qu'offensif au cours de la compétition.
AISSATOU TOUNKARA (11 sélections, née en 1995).
Sept sélections, 585 minutes.
Après avoir passé la majeure partie de 2018 hors des terrains, blessée, elle a fait son retour en équipe de France et rapidement gagné sa place, en jouant avec Wendie Renard ou Griedge Mbock. Elle est troisième dans la hiérarchie en défense centrale mais a montré qu'elle était une alternative solide, même si elle n'a pas la même expérience ou le même poids offensif que le duo titulaire.
JULIE DEBEVER (2 sélections, née en 1988).
Deux sélections, 76 minutes.
Quatrième dans la hiérarchie, elle ne devrait pas beaucoup voir le terrain. Mais c'est certainement plus pour son apport au groupe que Corinne Diacre a décidé de lui faire confiance.
Milieux axiales (6) : Amandine Henry (*)(**)(***), Elise Bussaglia (*)(**)(***), Charlotte Bilbault (°), Maëva Clémaron (°), Gaëtane Thiney (*)(***), Grace Geyoro (***)
AMANDINE HENRY (83 sélections, née en 1989).
Dix-huit sélections, 1416 minutes, 4 buts, 2 passes décisives.
La capitaine de l'équipe de France joue un rôle prépondérant au milieu du terrain. Capable de se projeter et d'être dangereuse sur les coups de pieds arrêtés offensifs, il faudra savoir gérer son temps de jeu pour qu'elle puisse donner la pleine mesure de son influence tout au long de la compétition.
ELISE BUSSAGLIA (186 sélections, née en 1985).
Douze sélections, 834 minutes, 1 but, 2 passes décisives.
Joueuse la plus expérimentée du groupe du haut de ses 186 sélections, elle apporte également du calme et se montre précieuse dans les phases de conservation du ballon. Comme Amandine Henry, Charlotte Bilbault ou Gaëtane Thiney, elle sait également faire la différence sur des frappes de loin, ce qui est toujours un atout face à des défenses regroupées.
CHARLOTTE BILBAULT (14 sélections, née en 1990).
Huit sélections, 347 minutes, 1 but.
Doublure d'Amandine Henry ou Elise Bussaglia, elle est une alternative solide, qui amène également son physique et sa frappe de loin. Appelée il y a moins d'un an dans le groupe, elle a su profiter de l'occasion pour s'y imposer et gagner son billet pour la Coupe du monde.
MAËVA CLÉMARON (3 sélections, née en 1992).
Trois sélections, 32 minutes, 1 but.
Elle fait partie de ces joueuses qui n'avaient pas connu l'équipe de France avant l'arrivée de Corinne Diacre et ont su profiter de l'occasion pour se faire une place dans le groupe. Selon le déroulement des matches, elle pourrait fouler le terrain de façon occasionnelle pour soulager les titulaires.
GAËTANE THINEY (154 sélections, née en 1985).
Treize sélections, 899 minutes, 3 buts, 6 passes décisives.
Appelée plutôt tardivement par Corinne Diacre, elle n'a plus quitté le groupe. Parmi les joueuses les plus expérimentées de la sélection, elle sera une des principales armes offensives à son poste de numéro 10 qui n'a pas de réelle doublure. Buteuse aussi bien que passeuse, son association avec Eugénie Le Sommer vaut souvent le détour, comme celle avec Kadidiatou Diani, avec qui elle a joué plusieurs années du côté de Juvisy.
GRACE GEYORO (20 sélections, née en 1997).
Douze sélections, 837 minutes, 1 but.
Après avoir pris part à sept des dix premières rencontres disputées sous l'ère Corinne Diacre, elle a ensuite eu moins de temps de jeu et a reculé dans la hiérarchie. Sa polyvalence pourrait être précieuse : si elle semble être préposée à être la doublure de Gaëtane Thiney au poste de meneuse de jeu, elle peut également jouer plus bas sur le terrain et offrir une alternative et un profil différents à Corinne Diacre.
Dix-huit sélections, 1416 minutes, 4 buts, 2 passes décisives.
La capitaine de l'équipe de France joue un rôle prépondérant au milieu du terrain. Capable de se projeter et d'être dangereuse sur les coups de pieds arrêtés offensifs, il faudra savoir gérer son temps de jeu pour qu'elle puisse donner la pleine mesure de son influence tout au long de la compétition.
ELISE BUSSAGLIA (186 sélections, née en 1985).
Douze sélections, 834 minutes, 1 but, 2 passes décisives.
Joueuse la plus expérimentée du groupe du haut de ses 186 sélections, elle apporte également du calme et se montre précieuse dans les phases de conservation du ballon. Comme Amandine Henry, Charlotte Bilbault ou Gaëtane Thiney, elle sait également faire la différence sur des frappes de loin, ce qui est toujours un atout face à des défenses regroupées.
CHARLOTTE BILBAULT (14 sélections, née en 1990).
Huit sélections, 347 minutes, 1 but.
Doublure d'Amandine Henry ou Elise Bussaglia, elle est une alternative solide, qui amène également son physique et sa frappe de loin. Appelée il y a moins d'un an dans le groupe, elle a su profiter de l'occasion pour s'y imposer et gagner son billet pour la Coupe du monde.
MAËVA CLÉMARON (3 sélections, née en 1992).
Trois sélections, 32 minutes, 1 but.
Elle fait partie de ces joueuses qui n'avaient pas connu l'équipe de France avant l'arrivée de Corinne Diacre et ont su profiter de l'occasion pour se faire une place dans le groupe. Selon le déroulement des matches, elle pourrait fouler le terrain de façon occasionnelle pour soulager les titulaires.
GAËTANE THINEY (154 sélections, née en 1985).
Treize sélections, 899 minutes, 3 buts, 6 passes décisives.
Appelée plutôt tardivement par Corinne Diacre, elle n'a plus quitté le groupe. Parmi les joueuses les plus expérimentées de la sélection, elle sera une des principales armes offensives à son poste de numéro 10 qui n'a pas de réelle doublure. Buteuse aussi bien que passeuse, son association avec Eugénie Le Sommer vaut souvent le détour, comme celle avec Kadidiatou Diani, avec qui elle a joué plusieurs années du côté de Juvisy.
GRACE GEYORO (20 sélections, née en 1997).
Douze sélections, 837 minutes, 1 but.
Après avoir pris part à sept des dix premières rencontres disputées sous l'ère Corinne Diacre, elle a ensuite eu moins de temps de jeu et a reculé dans la hiérarchie. Sa polyvalence pourrait être précieuse : si elle semble être préposée à être la doublure de Gaëtane Thiney au poste de meneuse de jeu, elle peut également jouer plus bas sur le terrain et offrir une alternative et un profil différents à Corinne Diacre.
Attaquantes (6) : Eugénie Le Sommer (*)(**)(***), Kadidiatou Diani (*)(**)(***), Delphine Cascarino (°), Viviane Asseyi (°), Emelyne Laurent (°), Valérie Gauvin (°)
EUGÉNIE LE SOMMER (159 sélections, née en 1989).
Dix-huit sélections, 1443 minutes, 13 buts, 6 passes décisives.
Meilleure buteuse et passeuse de l'équipe de l'arrivée de Corinne Diacre, elle est un rouage essentiel de l'équipe, où son entente avec Amel Majri et Gaëtane Thiney font souvent des dégâts dans les défenses adverses. Titulaire sur le flanc gauche de l'attaque tricolore, la vice-capitaine de l'équipe peut dynamiser un match à n'importe quel moment.
KADIDIATOU DIANI (45 sélections, née en 1995).
Seize sélections, 1045 minutes, 5 buts, 1 passe décisive.
Elle a passé un cap, aussi bien en club qu'en sélection, où elle est une des joueuses les plus régulières, précieuse aussi bien qu'en attaque qu'avec sa couverture défensive. Sa polyvalence est un atout, et si elle joue d'abord sur l'aile droite, elle s'impose comme l'alternative numéro 1 à Valérie Gauvin en pointe, un poste où elle s'est montrée efficace, devant les buts, mais également à Eugénie Le Sommer sur le flanc gauche de l'attaque.
DELPHINE CASCARINO (11 sélections, née en 1997).
Dix sélections, 531 minutes, 3 buts, 3 passes décisives.
Elle n'a pas été appelée tout de suite par Corinne Diacre, puis elle est montée en puissance, jusqu'à ce que sa participation à la Coupe du monde ne fasse plus de doute. Elle ne part pas encore avec le statut de titulaire, mais elle a montré récemment qu'elle était une réelle alternative sur le flanc droit de l'attaque tricolore. Un rôle de joker de luxe, entrant en jeu face à des défenses fatiguées, pourrait lui convenir et lui permettre de faire de grosses différences.
VIVIANE ASSEYI (30 sélections, née en 1993).
Dix-sept sélections, 632 minutes, 5 buts, 1 passe décisive.
Très présente lors des premiers matches après la nomination de Corinne Diacre, elle a su gagner sa place en marquant notamment plusieurs buts. Elle a eu moins de temps de jeu dernièrement avec une concurrence accrue sur l'aile droite de l'attaque tricolore, mais elle a montré qu'elle avait les qualités pour faire des différences. Elle peut également suppléer dans l'axe de l'attaque si besoin.
EMELYNE LAURENT (3 sélections, née en 1998).
Trois sélections, 51 minutes.
La benjamine du groupe évolue dans le secteur le plus dense de l'équipe, puisque comme elle, Diani, Cascarino et Asseyi évoluent principalement sur le flanc droit de l'attaque tricolore. Elle n'est pas en haut de la hiérarchie, mais pourra faire la différence quand elle foulera les terrains, notamment grâce à sa vitesse.
VALÉRIE GAUVIN (17 sélections, née en 1996).
Seize sélections, 1080 minutes, 9 buts, 2 passes décisives.
Elle aussi a passé un cap depuis l'arrivée de Corinne Diacre, montant en puissance au fil des sélections. Elle reste sur plusieurs prestations abouties, et si elle remplit bien son rôle de buteuse avec neuf buts inscrits, ce qui en fait la deuxième buteuse de l'équipe derrière Eugénie Le Sommer depuis la prise de fonctions de Corinne Diacre, elle prend également à cœur son rôle de pivot et de première défenseure de l'équipe.
Dix-huit sélections, 1443 minutes, 13 buts, 6 passes décisives.
Meilleure buteuse et passeuse de l'équipe de l'arrivée de Corinne Diacre, elle est un rouage essentiel de l'équipe, où son entente avec Amel Majri et Gaëtane Thiney font souvent des dégâts dans les défenses adverses. Titulaire sur le flanc gauche de l'attaque tricolore, la vice-capitaine de l'équipe peut dynamiser un match à n'importe quel moment.
KADIDIATOU DIANI (45 sélections, née en 1995).
Seize sélections, 1045 minutes, 5 buts, 1 passe décisive.
Elle a passé un cap, aussi bien en club qu'en sélection, où elle est une des joueuses les plus régulières, précieuse aussi bien qu'en attaque qu'avec sa couverture défensive. Sa polyvalence est un atout, et si elle joue d'abord sur l'aile droite, elle s'impose comme l'alternative numéro 1 à Valérie Gauvin en pointe, un poste où elle s'est montrée efficace, devant les buts, mais également à Eugénie Le Sommer sur le flanc gauche de l'attaque.
DELPHINE CASCARINO (11 sélections, née en 1997).
Dix sélections, 531 minutes, 3 buts, 3 passes décisives.
Elle n'a pas été appelée tout de suite par Corinne Diacre, puis elle est montée en puissance, jusqu'à ce que sa participation à la Coupe du monde ne fasse plus de doute. Elle ne part pas encore avec le statut de titulaire, mais elle a montré récemment qu'elle était une réelle alternative sur le flanc droit de l'attaque tricolore. Un rôle de joker de luxe, entrant en jeu face à des défenses fatiguées, pourrait lui convenir et lui permettre de faire de grosses différences.
VIVIANE ASSEYI (30 sélections, née en 1993).
Dix-sept sélections, 632 minutes, 5 buts, 1 passe décisive.
Très présente lors des premiers matches après la nomination de Corinne Diacre, elle a su gagner sa place en marquant notamment plusieurs buts. Elle a eu moins de temps de jeu dernièrement avec une concurrence accrue sur l'aile droite de l'attaque tricolore, mais elle a montré qu'elle avait les qualités pour faire des différences. Elle peut également suppléer dans l'axe de l'attaque si besoin.
EMELYNE LAURENT (3 sélections, née en 1998).
Trois sélections, 51 minutes.
La benjamine du groupe évolue dans le secteur le plus dense de l'équipe, puisque comme elle, Diani, Cascarino et Asseyi évoluent principalement sur le flanc droit de l'attaque tricolore. Elle n'est pas en haut de la hiérarchie, mais pourra faire la différence quand elle foulera les terrains, notamment grâce à sa vitesse.
VALÉRIE GAUVIN (17 sélections, née en 1996).
Seize sélections, 1080 minutes, 9 buts, 2 passes décisives.
Elle aussi a passé un cap depuis l'arrivée de Corinne Diacre, montant en puissance au fil des sélections. Elle reste sur plusieurs prestations abouties, et si elle remplit bien son rôle de buteuse avec neuf buts inscrits, ce qui en fait la deuxième buteuse de l'équipe derrière Eugénie Le Sommer depuis la prise de fonctions de Corinne Diacre, elle prend également à cœur son rôle de pivot et de première défenseure de l'équipe.