Un mois après sa défaite face à l'Allemagne, la France a disposé du Japon (3-1). Corinne Diacre a fait le bilan de la rencontre en conférence de presse.
"Rééditer cette performance"
La victoire de ce soir, c'est la victoire du travail fourni. Même si on n'a pas beaucoup travaillé sur le terrain, en tout cas, on a beaucoup discuté. Les filles ont su mettre en place ce que l'on avait prévu. Il faut que l'on continue. Maintenant on a un deuxième match dans quatre jours (ndlr : contre le Danemark, lundi). L'idée est de rééditer cette performance.
"Les filles qui ne démarrent pas puissent apporter"
Je suis satisfaite de tout le monde. Les filles qui rentrent en étant performantes comme elles le sont. Elles ne vont pas mettre le doute mais c'est bien, cela me fait poser des questions. Les filles qui ne démarrent pas doivent être des titulaires qui ne démarrent pas le match, pas des remplaçantes. C'était un match complètement différent des deux précédents, avec une opposition différente. Il est toujours difficile de comparer mais j'ai préféré cette équipe de France à celle contre l'Allemagne (0-1), elle était plus engagée. C'est bien que les filles qui ne démarrent pas puissent apporter leur pierre à l'édifice. On est en bon ordre de marche, ça concrétise le travail fourni. On travaille, on n'a toujours rien gagné aujourd'hui.
"On n'est pas très loin de la vérité"
J'ai trouvé que mon équipe avait eu beaucoup moins de déchets techniques que contre l'Allemagne voire même l'Uruguay même si c'est toujours difficile de comparer les oppositions. Mais ce soir, je nous ai trouvé assez juste techniquement. Quand il y a cela, plus de l'envie, plus le respect du plan de jeu, on n'est pas très loin de la vérité. Le jeu, les buts ne reposent pas sur une seule joueuse, c'est un point positif. On avait battu le Brésil (3-1) sans Eugénie Le Sommer même si elle reste une joueuse incontournable. On aurait aimé mettre le troisième but un peu plus tôt, on aurait aussi pu rentrer à la pause avec deux buts d'avance. On a du travail à faire sur cette finition. On a mis trois buts, c'est quand même pas mal.
"On a su réagir"
On n'encaisse qu'un but, c'est une bonne chose. On a été déstabilisées par la sortie de Peyraud-Magnin et l'entrée de Sarah Bouhaddi sans échauffement. Sarah fait l'arrêt qu'il faut mais remet ballon dans l'axe et ça tombe sur une Japonaise. Après avoir subi l'égalisation, on a su réagir. L'idée était d'aller les chercher plus haut que d'habitude.
Le public
Le public a été derrière notre équipe dans les mêmes difficiles et ça je pense que les filles y ont été sensibles. En tout cas, je l'ai entendu et je pense que les filles aussi.
La victoire de ce soir, c'est la victoire du travail fourni. Même si on n'a pas beaucoup travaillé sur le terrain, en tout cas, on a beaucoup discuté. Les filles ont su mettre en place ce que l'on avait prévu. Il faut que l'on continue. Maintenant on a un deuxième match dans quatre jours (ndlr : contre le Danemark, lundi). L'idée est de rééditer cette performance.
"Les filles qui ne démarrent pas puissent apporter"
Je suis satisfaite de tout le monde. Les filles qui rentrent en étant performantes comme elles le sont. Elles ne vont pas mettre le doute mais c'est bien, cela me fait poser des questions. Les filles qui ne démarrent pas doivent être des titulaires qui ne démarrent pas le match, pas des remplaçantes. C'était un match complètement différent des deux précédents, avec une opposition différente. Il est toujours difficile de comparer mais j'ai préféré cette équipe de France à celle contre l'Allemagne (0-1), elle était plus engagée. C'est bien que les filles qui ne démarrent pas puissent apporter leur pierre à l'édifice. On est en bon ordre de marche, ça concrétise le travail fourni. On travaille, on n'a toujours rien gagné aujourd'hui.
"On n'est pas très loin de la vérité"
J'ai trouvé que mon équipe avait eu beaucoup moins de déchets techniques que contre l'Allemagne voire même l'Uruguay même si c'est toujours difficile de comparer les oppositions. Mais ce soir, je nous ai trouvé assez juste techniquement. Quand il y a cela, plus de l'envie, plus le respect du plan de jeu, on n'est pas très loin de la vérité. Le jeu, les buts ne reposent pas sur une seule joueuse, c'est un point positif. On avait battu le Brésil (3-1) sans Eugénie Le Sommer même si elle reste une joueuse incontournable. On aurait aimé mettre le troisième but un peu plus tôt, on aurait aussi pu rentrer à la pause avec deux buts d'avance. On a du travail à faire sur cette finition. On a mis trois buts, c'est quand même pas mal.
"On a su réagir"
On n'encaisse qu'un but, c'est une bonne chose. On a été déstabilisées par la sortie de Peyraud-Magnin et l'entrée de Sarah Bouhaddi sans échauffement. Sarah fait l'arrêt qu'il faut mais remet ballon dans l'axe et ça tombe sur une Japonaise. Après avoir subi l'égalisation, on a su réagir. L'idée était d'aller les chercher plus haut que d'habitude.
Le public
Le public a été derrière notre équipe dans les mêmes difficiles et ça je pense que les filles y ont été sensibles. En tout cas, je l'ai entendu et je pense que les filles aussi.