Après avoir hérité de la Thailande, du Chili et de la Suède dans le groupe F, la sélectionneuse de l’équipe des Etats-Unis, Jill Ellis, se montrait confiante sur la prochaine échéance à venir pour son équipe. Elle loue aussi l’état d’esprit des championnes du monde en titre
Comment vous sentez-vous après ce tirage au sort ?
Premièrement, c’était vraiment une belle cérémonie. Ensuite, au niveau du tirage, je dirais qu’il est plutôt bon pour nous. Il y a des équipes qu’on ne connait pas beaucoup et ça me plaît. Et puis il y a la Suède, que nous jouerons lors du 3e match, ce qui va nous permettre de vraiment nous ancrer dans cette Coupe du monde. Ce sont surtout 3 équipes au profil différent, ce sera mieux pour se préparer aux échéances qui suivront.
Que va-t-il se passer maintenant pour vous, dans votre préparation ?
J’ai la chance d’avoir un staff extraordinaire, alors nous allons nous pencher sur nos adversaires dès aujourd’hui (samedi). Nous avons établi un programme dense pendant les 6 prochains mois, en essayant beaucoup de choses différentes, et c’est ce qui je pense peut faire la différence, car nous aurons déjà surmonté beaucoup d’obstacles avant d’arriver à cette coupe du monde.
Le coach suédois avait l’air plutôt confiant quant à ses capacités à battre votre équipe, et peut-être même de remporter le tournoi, qu’en pensez-vous ?
C’est une bonne équipe, avec beaucoup de cœur. Je les ai vues jouer contre l’Angleterre, ils ont un bon équilibre entre les jeunes joueuses et d’autres plus expérimentées. Ils sont toujours difficiles à jouer dans des tournois comme celui-ci, ils mettent beaucoup de pression et peuvent jouer en contre-attaque, ils ont aussi une grande histoire dans cette coupe du monde qui les porte.
Premièrement, c’était vraiment une belle cérémonie. Ensuite, au niveau du tirage, je dirais qu’il est plutôt bon pour nous. Il y a des équipes qu’on ne connait pas beaucoup et ça me plaît. Et puis il y a la Suède, que nous jouerons lors du 3e match, ce qui va nous permettre de vraiment nous ancrer dans cette Coupe du monde. Ce sont surtout 3 équipes au profil différent, ce sera mieux pour se préparer aux échéances qui suivront.
Que va-t-il se passer maintenant pour vous, dans votre préparation ?
J’ai la chance d’avoir un staff extraordinaire, alors nous allons nous pencher sur nos adversaires dès aujourd’hui (samedi). Nous avons établi un programme dense pendant les 6 prochains mois, en essayant beaucoup de choses différentes, et c’est ce qui je pense peut faire la différence, car nous aurons déjà surmonté beaucoup d’obstacles avant d’arriver à cette coupe du monde.
Le coach suédois avait l’air plutôt confiant quant à ses capacités à battre votre équipe, et peut-être même de remporter le tournoi, qu’en pensez-vous ?
C’est une bonne équipe, avec beaucoup de cœur. Je les ai vues jouer contre l’Angleterre, ils ont un bon équilibre entre les jeunes joueuses et d’autres plus expérimentées. Ils sont toujours difficiles à jouer dans des tournois comme celui-ci, ils mettent beaucoup de pression et peuvent jouer en contre-attaque, ils ont aussi une grande histoire dans cette coupe du monde qui les porte.
"La France a aussi une équipe talentueuse et une bonne sélectionneuse"
Cela va-t-il être difficile de constituer votre groupe pour juin ?
Oui. Sur les 12 derniers mois on a observé beaucoup de joueuses différentes, mais on a pu le réduire à un groupe plus réduit, même si on a beaucoup plus de profondeur à chaque secteur que nous en avions en 2015.
Comment le calendrier que vous avez préparé va vous permettre d’aborder cette phase de groupe ? Et comme vous préparez vous à affronter une équipe imprévisible dans les résultats comme le Chili ?
Notre programme va nous tester, c’est ce dont nous avons besoin. Nous allons jouer le Japon, ce qui va nous permettre de nous préparer à affronter un adversaire de la zone Asie, nous allons également jouer le Brésil, pour nous préparer à jouer contre une équipe sud-américaine. Pour nous, l’idée c’est de toujours progresser. Si vous demandez aux joueuses, elles vous diront toujours qu’elles ont bien joué mais qu’elles doivent encore faire mieux. C’est ce qui est grisant avec ce groupe, qui a beaucoup de talent.
Vos joueuses auront-elles une pression particulière en tant que championnes en titre ?
Ce que je pense, c’est que lorsque vous parvenez à remporter quelque chose, le plus important est de savoir comment vous allez aborder le prochain match. Notre objectif n’est pas de défendre notre titre de championne du monde, mais de savoir comment on va attaquer et dominer dans cette coupe du monde. La moitié des joueuses qui y seront n’auront pas joué au Canada, donc notre question c’est plutôt de savoir comment on va aller chercher le titre.
Quelle sera la différence entre le fait de jouer au Canada en 2015, en maintenant en France ?
Cette fois nous allons jouer sur des pelouses naturelles (rires) ! C’est une bonne chose. Le Canada a organisé une superbe compétition, avec des records en termes de spectateurs, mais en tant que coach on espère toujours que notre sport va grandir, et que chaque coupe du monde va être meilleure que la précédente. Quand vous voyez la cérémonie du tirage au sort aujourd’hui et celle d’il y a 4 ans- et ce n’est pas négatif –c’était impressionnant !
Que pensez-vous du groupe de la France ?
C’est un groupe relevé. Quand il y a un champion d’une des confédérations dans votre groupe, cela veut dire qu’il y a de la qualité en face selon moi. Ils connaissent bien la Norvège. Puis la France a aussi une équipe talentueuse et une bonne sélectionneuse, et bien sûr ils jouent à domicile ce qui est un gros avantage.
Oui. Sur les 12 derniers mois on a observé beaucoup de joueuses différentes, mais on a pu le réduire à un groupe plus réduit, même si on a beaucoup plus de profondeur à chaque secteur que nous en avions en 2015.
Comment le calendrier que vous avez préparé va vous permettre d’aborder cette phase de groupe ? Et comme vous préparez vous à affronter une équipe imprévisible dans les résultats comme le Chili ?
Notre programme va nous tester, c’est ce dont nous avons besoin. Nous allons jouer le Japon, ce qui va nous permettre de nous préparer à affronter un adversaire de la zone Asie, nous allons également jouer le Brésil, pour nous préparer à jouer contre une équipe sud-américaine. Pour nous, l’idée c’est de toujours progresser. Si vous demandez aux joueuses, elles vous diront toujours qu’elles ont bien joué mais qu’elles doivent encore faire mieux. C’est ce qui est grisant avec ce groupe, qui a beaucoup de talent.
Vos joueuses auront-elles une pression particulière en tant que championnes en titre ?
Ce que je pense, c’est que lorsque vous parvenez à remporter quelque chose, le plus important est de savoir comment vous allez aborder le prochain match. Notre objectif n’est pas de défendre notre titre de championne du monde, mais de savoir comment on va attaquer et dominer dans cette coupe du monde. La moitié des joueuses qui y seront n’auront pas joué au Canada, donc notre question c’est plutôt de savoir comment on va aller chercher le titre.
Quelle sera la différence entre le fait de jouer au Canada en 2015, en maintenant en France ?
Cette fois nous allons jouer sur des pelouses naturelles (rires) ! C’est une bonne chose. Le Canada a organisé une superbe compétition, avec des records en termes de spectateurs, mais en tant que coach on espère toujours que notre sport va grandir, et que chaque coupe du monde va être meilleure que la précédente. Quand vous voyez la cérémonie du tirage au sort aujourd’hui et celle d’il y a 4 ans- et ce n’est pas négatif –c’était impressionnant !
Que pensez-vous du groupe de la France ?
C’est un groupe relevé. Quand il y a un champion d’une des confédérations dans votre groupe, cela veut dire qu’il y a de la qualité en face selon moi. Ils connaissent bien la Norvège. Puis la France a aussi une équipe talentueuse et une bonne sélectionneuse, et bien sûr ils jouent à domicile ce qui est un gros avantage.