L'ancienne internationale Laura Georges, ambassadrice de la compétition et secrétaire général de la FFF s'est exprimée à l'issue du tirage au sort.
Qu'avez-vous pensé de la cérémonie ?
C'était simple, c'est beau, j'ai bien aimé cette touche avec les enfants, les danseurs. Une belle cérémonie.
Y-a-t-il un regret de ne pas la jouer comme joueuse ?
J'ai la chance d'être ambassadrice auprès du Comité d'Organisation de cette Coupe du Monde. Je vis quelque chose d'extraordinaire en étant de l'autre côté. Je suis secrétaire générale de la Fédération
Quel est votre avis sur le groupe des Bleues
Un bon groupe. C'est qui aime le football vont voir différents styles de jeu. Cela va être génial de voir l'Equipe de France face à des équipes que l'on attend pas forcément pour aller très loin mais qui sont toujours présentes en Coupe du Monde. Cela va être intéressant.
N'y a-t-il pas un risque de sous-estimer ses adversaires ?
C'est toujours le piège de se dire que l'équipe adverse n'est pas super bien classée sur le plan international et que ce sera facile. On a l'expérience en France, on a quand même connu ces moments de compétition, et il y a des filles d'expérience dans le groupe qui vont rappeler aux jeunes qu'il faudra bien préparer chaque match.
Quel souvenir gardez-vous du huitième de finale joué face à la Corée du Sud en 2015 ?
Pas un match forcément compliqué mais une équipe qui ne lâche rien du début à la fin. C'est une équipe contre laquelle il va falloir faire la différence très rapidement.
C'était simple, c'est beau, j'ai bien aimé cette touche avec les enfants, les danseurs. Une belle cérémonie.
Y-a-t-il un regret de ne pas la jouer comme joueuse ?
J'ai la chance d'être ambassadrice auprès du Comité d'Organisation de cette Coupe du Monde. Je vis quelque chose d'extraordinaire en étant de l'autre côté. Je suis secrétaire générale de la Fédération
Quel est votre avis sur le groupe des Bleues
Un bon groupe. C'est qui aime le football vont voir différents styles de jeu. Cela va être génial de voir l'Equipe de France face à des équipes que l'on attend pas forcément pour aller très loin mais qui sont toujours présentes en Coupe du Monde. Cela va être intéressant.
N'y a-t-il pas un risque de sous-estimer ses adversaires ?
C'est toujours le piège de se dire que l'équipe adverse n'est pas super bien classée sur le plan international et que ce sera facile. On a l'expérience en France, on a quand même connu ces moments de compétition, et il y a des filles d'expérience dans le groupe qui vont rappeler aux jeunes qu'il faudra bien préparer chaque match.
Quel souvenir gardez-vous du huitième de finale joué face à la Corée du Sud en 2015 ?
Pas un match forcément compliqué mais une équipe qui ne lâche rien du début à la fin. C'est une équipe contre laquelle il va falloir faire la différence très rapidement.