Qualifiée pour la première fois de son histoire en demi-finale d’une coupe du monde de moins de 20 ans, l’Angleterre de Mo Marley a encore étalé toutes ses qualités offensives face à des Pays-Bas trop timides. Les vertus de l’expérience des précédentes compétitions pour les joueuses d’outre-manche.
La troisième fois était la bonne ! Après deux échecs successifs en quart de finale de la coupe du monde des jeunes, les moins de 20 ans anglaises ont atteint pour la première fois de leur histoire le dernier carré, en renversant les Pays-Bas ce jeudi (2-1). « C’est super, c’était un match important, nous sommes une équipe, qui s’est comportée comme tel et c’est le plus important, nous verrons jusqu’où nous pourrons aller ! », a expliqué la double buteuse Georgia Stanway à 200 à l’heure en conférence de presse d’après-match. La milieu anglaise a brandi avec fierté un trophée de meilleure joueuse amplement mérité, après une partie pleine ou elle se sera régalé en martyrisant la défense hollandaise.
« Il y a tant de joueuse dont nous pourrions évoquer la qualité », recentrait directement sa coach, Mo Marley, qui louait quand même la grande maturité dont la joueuse de 19 ans a fait preuve lors de cette rencontre. « On veut qu’elles s’expriment, et elles pourront continuer à le faire lundi (pour les demi-finales) ! », se réjouissait la femme qui est désormais entrée dans l’histoire de sa sélection.
« Il y a tant de joueuse dont nous pourrions évoquer la qualité », recentrait directement sa coach, Mo Marley, qui louait quand même la grande maturité dont la joueuse de 19 ans a fait preuve lors de cette rencontre. « On veut qu’elles s’expriment, et elles pourront continuer à le faire lundi (pour les demi-finales) ! », se réjouissait la femme qui est désormais entrée dans l’histoire de sa sélection.
« Allez en finale, c’est le rêve de tout le groupe »
Le match du jour a pourtant mal démarré pour ses joueuses, surprises par un but de Victoria Pelova dès la 12e minute. « On avait bien commencé pourtant, dixit Mo Marley. Après le but on a du se remettre dedans, on était un peu énervées de se retrouver menées comme ça, mais les filles s’en sont tenu au plan de jeu », a-t-elle apprécié. A savoir attendre les Néerlandaises assez bas avant de les prendre à revers grâce à un jeu de transition vers l’avant parfaitement huilé, où Russo, Hemp et cie on encore démontré toute leur habileté.
« On s’est bien comportés, comme lors de nos précédentes rencontres, et ça s’est vu ! Ces filles ont du caractère et de la détermination », a expliqué l’ancienne joueuse d’Everton qui n’oublie pas tout le chemin parcouru par son équipe jusqu’ici : « Nous avions l’impression de nous êtres ratées lors de l’Euro (U19 en 2017, où l’Angleterre était sortie en poule, NDLR), sans manquer de respect à personne. Donc notre approche cette fois ci a été de nous dire qu’il ne fallait rien lâcher, nous exprimer et être positives ! Dans le passé on s’est trop concentré sur ce qui ne pouvait pas aller, mais maintenant vous pouvez voir les filles qui jouent avec le sourire, et je pense pour un fait qu’il fallait qu’elles soient relaxées ». Une philosophie zen qui transparait dans le discours de la rayonnante Stranway, à qui l’on demandait s’il fallait changer quelque chose au jeu anglais, le plus prolifique de ce tournoi jusqu’ici (12 buts inscrits): « Non, il faut qu’on continue comme ça ! Aller en finale c’est le rêve de tout le groupe. Nous allons nous préparer pour la demi-finale comme nous avons abordé le reste des rencontres de cette coupe du monde ». Le flegme britannique remis au goût du jour.
>> Le résumé
A Vannes
« On s’est bien comportés, comme lors de nos précédentes rencontres, et ça s’est vu ! Ces filles ont du caractère et de la détermination », a expliqué l’ancienne joueuse d’Everton qui n’oublie pas tout le chemin parcouru par son équipe jusqu’ici : « Nous avions l’impression de nous êtres ratées lors de l’Euro (U19 en 2017, où l’Angleterre était sortie en poule, NDLR), sans manquer de respect à personne. Donc notre approche cette fois ci a été de nous dire qu’il ne fallait rien lâcher, nous exprimer et être positives ! Dans le passé on s’est trop concentré sur ce qui ne pouvait pas aller, mais maintenant vous pouvez voir les filles qui jouent avec le sourire, et je pense pour un fait qu’il fallait qu’elles soient relaxées ». Une philosophie zen qui transparait dans le discours de la rayonnante Stranway, à qui l’on demandait s’il fallait changer quelque chose au jeu anglais, le plus prolifique de ce tournoi jusqu’ici (12 buts inscrits): « Non, il faut qu’on continue comme ça ! Aller en finale c’est le rêve de tout le groupe. Nous allons nous préparer pour la demi-finale comme nous avons abordé le reste des rencontres de cette coupe du monde ». Le flegme britannique remis au goût du jour.
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A Vannes