L'ex-doublure de Sarah Bouhaddi a rejoint Arsenal cet été. La gardienne espère y trouver du temps de jeu et prétendre ainsi à la Coupe du Monde 2019 avec l'équipe de France.
Après trois saisons consécutives où elle s'était imposée comme titulaire en D1 à Issy, Saint-Etienne puis Marseille, la gardienne Pauline Peyraud-Magnin retournée dans son club formateur n'a pas eu l'opportunité de s'exprimer pleinement.
C'est outre-Manche qu'elle a décidé de poursuivre sa carrière en signant à Arsenal. En pleine préparation avec son club, elle est entrée en jeu face au PSG ce dimanche et continue son intégration et sa découverte du style anglais.
Interrogée à l'issue de la large victoire face à la Juventus (5-0), il y a une semaine, elle n'a pas encore eu l'occasion de jouer mais se montrait optimiste : "Ça se passe très bien, les filles sont super, le coach, le staff, tout le monde a été très accueillant avec moi, ça fait plaisir". Arrivée à Londres, elle est installée en colocation avec deux autres partenaires et continue son adaptation avec la langue de Shakespeare : "Au début c’est vrai que c’était compliqué, mais maintenant j’ai un peu plus de vocabulaire, et du coup cela va un peu mieux. Je m’acclimate bien à mon nouveau chez et surtout à Londres qui est une très belle ville que j’aime beaucoup".
C'est outre-Manche qu'elle a décidé de poursuivre sa carrière en signant à Arsenal. En pleine préparation avec son club, elle est entrée en jeu face au PSG ce dimanche et continue son intégration et sa découverte du style anglais.
Interrogée à l'issue de la large victoire face à la Juventus (5-0), il y a une semaine, elle n'a pas encore eu l'occasion de jouer mais se montrait optimiste : "Ça se passe très bien, les filles sont super, le coach, le staff, tout le monde a été très accueillant avec moi, ça fait plaisir". Arrivée à Londres, elle est installée en colocation avec deux autres partenaires et continue son adaptation avec la langue de Shakespeare : "Au début c’est vrai que c’était compliqué, mais maintenant j’ai un peu plus de vocabulaire, et du coup cela va un peu mieux. Je m’acclimate bien à mon nouveau chez et surtout à Londres qui est une très belle ville que j’aime beaucoup".
Troisième du dernier championnat à un point derrière Manchester City, Arsenal espère bien retrouver la Ligue des Champions à la fin de la saison. Pour la Lyonnaise de naissance, c'est aussi du temps de jeu qu'elle est venue chercher du côté de la Tamise : "Mon objectif est de faire partie de l’Equipe de France cette année et de participer à la Coupe du Monde. Il faut que j’ai du temps de jeu, et je pense que c’est le bon endroit pour en avoir". Au sein d'une équipe où figure la gardienne néerlandaise, championne d'Europe en 2017, la concurrence sera rude même si elle pourrait y trouver du temps de jeu : "Pour l’instant, il n’y a pas trop de hiérarchie. Après que pense que Sari (Van Veenendaal) va jouer, mais je vais avoir du temps de jeu aussi. On n’en pas parlé avec le coach si j’allais avoir du temps de jeu dans les Coupes (ndlr : FA Cup et FA WSL Conti Cup), on verra au cours de l’année".
Il faudra aussi s'adapter au jeu anglais, plus engagé, ce qui ne semble pas perturber la gardienne d'1,73 m : "Au niveau physique c’est un peu plus percutant, c’est vrai qu’on se prend de sacrés coups ici, mais j’aime bien ce jeu-là. L’arbitrage, au début ça surprend mais on s’acclimate vite à celui-ci". Quant au jeu de son équipe et des comparaisons avec ses dernières saisons, Arsenal se montre comme une équipe au visage offensif : "A Arsenal, on joue aussi l’attaque. Avec Lyon il fallait marquer des buts, il fallait être exigeant avec tout le monde et c’était vraiment porté vers l’attaque. Je pense que tout coach veut marquer des buts et attaquer, c’est normal". Et si le coaching de Joe Montemurro arrivé il y a quelques mois est différent de Lyon, les automatismes avec ses partenaires de la défense prennent aussi forme.
Si le championnat reprendra seulement le 9 septembre, dès ce dimanche 19 août, Arsenal jouera en WSL Cup face à West Ham.
Il faudra aussi s'adapter au jeu anglais, plus engagé, ce qui ne semble pas perturber la gardienne d'1,73 m : "Au niveau physique c’est un peu plus percutant, c’est vrai qu’on se prend de sacrés coups ici, mais j’aime bien ce jeu-là. L’arbitrage, au début ça surprend mais on s’acclimate vite à celui-ci". Quant au jeu de son équipe et des comparaisons avec ses dernières saisons, Arsenal se montre comme une équipe au visage offensif : "A Arsenal, on joue aussi l’attaque. Avec Lyon il fallait marquer des buts, il fallait être exigeant avec tout le monde et c’était vraiment porté vers l’attaque. Je pense que tout coach veut marquer des buts et attaquer, c’est normal". Et si le coaching de Joe Montemurro arrivé il y a quelques mois est différent de Lyon, les automatismes avec ses partenaires de la défense prennent aussi forme.
Si le championnat reprendra seulement le 9 septembre, dès ce dimanche 19 août, Arsenal jouera en WSL Cup face à West Ham.
L'entraîneur Montemurro lors de la signature de Pauline Peyraud-Magnin
Pauline a joué contre les plus grandes footballeuses du monde. Elle a remporté trois Ligues des champions ce qui est un incroyable accomplissement pour une jeune joueuse. Ce qui en dit long sur ses compétences.