Le sélectionneur français a analysé lors de la conférence d'après-match la victoire française, les satisfactions mais aussi des points à travailler avant d'aborder la Nouvelle-Zélande mercredi.
Quel est votre analyse de cette rencontre ?
Il y avait un peu de fébrilité. On l'a constaté avec nos joueuses. Démarrer une Coupe du Monde, ici en France, beaucoup l'attendait mais ce n'était pas facile à gérer. Par contre, le premier but est arrivé assez rapidement et nous a libéré. On a eu encore un petit passage difficile. On est retombé un peu dans notre travers, en jouant vers l'arrière sur des petits jeux. Il a fallu les aider pour les accompagner vers l'avant, concrétiser les occasions que l'on arrivait à se créer. C'était plutôt intéressant sur cette première mi-temps. Puis de nouveau, on se met en difficulté en donnant un but à notre adversaire en début de deuxième mi-temps. C'est notre péché mignon. Quand on gagne 4-1, ça va mais il faudra à l'avenir corriger ces moments-là parce que l'on n'aura pas toujours des équipes qui nous laisseront marquer quatre buts. Satisfait de cette première victoire mais il y a encore des choses à faire.
Comment vit votre groupe ?
J'ai beaucoup communiqué sur ce qui s'est passé avec les garçons. J'ai utilisé une phrase d'Adil Rami qui rappelle tous les vertus de la performance et de la réussite : "la solidarité, l'entraide". Tous ces éléments qui font que l'on peut envisager derrière quelque chose de bien. Elles ont compris le message, elles ont pris les choses en main. Je pense qu'elles vivent les choses très bien. Cette première victoire va encore accentuer ce moment-là et j'espère que ce sera ensemble qu'elles iront chercher cette Coupe.
Vous avez réussi à marquer trois fois sur des actions collectives
On avait envisagé notamment de passer par les côtés. On avait vu sur le peu d'images que l'on avait du Ghana, parce que c'était assez compliqué de récupérer des éléments, qu'il y avait de l'espace sur les côtés. C'est bien que les filles aient suivi ces conseils-là, surtout par rapport au travail mis en place et la répétition des choses. C'est aussi notre force avec des joueuses qui galopent sur le côté. Autant les utiliser.
Comment expliquez-vous le passage à vide que vous évoquiez ?
Du stress, le fait de jouer en France, les filles avaient hâte de se retrouver au match mais avaient aussi mesuré toute l'attente qu'il y avait derrière. Le Président est passé ce midi. C'était voulu de ma part, c'était important. Je leur ai expliqué qu'il fallait assumer cela. On sait que l'on est attendu. Ce premier match va nous libérer. On prend conscience de leur qualité et j'espère que l'on va continuer sur ce chemin-là.
Quel est votre sentiment sur l'ambiance ?
C'était super. Il y avait du monde derrière et c'est toujours très intéressant. C'est motivant. C'est un très beau stade pour jouer au football. La seule chose que l'on n'avait pas envisagé, c'est cette chaleur que l'on n'a pas coutume de retrouver en Bretagne. C'était un petit peu notamment sur la première mi-temps pour les filles. On va s'habituer si cela dure.
Vous pensez déjà au match suivant ?
Tout va très vite sur ces compétitions. Déjà penser à la récupération pour les joueuses et nous, on va se pencher sur la rencontre à venir. Très vite, on va regarder cet adversaire de la Nouvelle-Zélande pour rentrer dans la préparation pour aller chercher une deuxième victoire qui serait un grand pas vers la qualification.
Il y avait un peu de fébrilité. On l'a constaté avec nos joueuses. Démarrer une Coupe du Monde, ici en France, beaucoup l'attendait mais ce n'était pas facile à gérer. Par contre, le premier but est arrivé assez rapidement et nous a libéré. On a eu encore un petit passage difficile. On est retombé un peu dans notre travers, en jouant vers l'arrière sur des petits jeux. Il a fallu les aider pour les accompagner vers l'avant, concrétiser les occasions que l'on arrivait à se créer. C'était plutôt intéressant sur cette première mi-temps. Puis de nouveau, on se met en difficulté en donnant un but à notre adversaire en début de deuxième mi-temps. C'est notre péché mignon. Quand on gagne 4-1, ça va mais il faudra à l'avenir corriger ces moments-là parce que l'on n'aura pas toujours des équipes qui nous laisseront marquer quatre buts. Satisfait de cette première victoire mais il y a encore des choses à faire.
Comment vit votre groupe ?
J'ai beaucoup communiqué sur ce qui s'est passé avec les garçons. J'ai utilisé une phrase d'Adil Rami qui rappelle tous les vertus de la performance et de la réussite : "la solidarité, l'entraide". Tous ces éléments qui font que l'on peut envisager derrière quelque chose de bien. Elles ont compris le message, elles ont pris les choses en main. Je pense qu'elles vivent les choses très bien. Cette première victoire va encore accentuer ce moment-là et j'espère que ce sera ensemble qu'elles iront chercher cette Coupe.
Vous avez réussi à marquer trois fois sur des actions collectives
On avait envisagé notamment de passer par les côtés. On avait vu sur le peu d'images que l'on avait du Ghana, parce que c'était assez compliqué de récupérer des éléments, qu'il y avait de l'espace sur les côtés. C'est bien que les filles aient suivi ces conseils-là, surtout par rapport au travail mis en place et la répétition des choses. C'est aussi notre force avec des joueuses qui galopent sur le côté. Autant les utiliser.
Comment expliquez-vous le passage à vide que vous évoquiez ?
Du stress, le fait de jouer en France, les filles avaient hâte de se retrouver au match mais avaient aussi mesuré toute l'attente qu'il y avait derrière. Le Président est passé ce midi. C'était voulu de ma part, c'était important. Je leur ai expliqué qu'il fallait assumer cela. On sait que l'on est attendu. Ce premier match va nous libérer. On prend conscience de leur qualité et j'espère que l'on va continuer sur ce chemin-là.
Quel est votre sentiment sur l'ambiance ?
C'était super. Il y avait du monde derrière et c'est toujours très intéressant. C'est motivant. C'est un très beau stade pour jouer au football. La seule chose que l'on n'avait pas envisagé, c'est cette chaleur que l'on n'a pas coutume de retrouver en Bretagne. C'était un petit peu notamment sur la première mi-temps pour les filles. On va s'habituer si cela dure.
Vous pensez déjà au match suivant ?
Tout va très vite sur ces compétitions. Déjà penser à la récupération pour les joueuses et nous, on va se pencher sur la rencontre à venir. Très vite, on va regarder cet adversaire de la Nouvelle-Zélande pour rentrer dans la préparation pour aller chercher une deuxième victoire qui serait un grand pas vers la qualification.