La FIFA a retenu 45 arbitres pour la Coupe du Monde U20. Parmi elles, deux Françaises : Stéphanie Frappart et Manuela Nicolosi.
Le choix de ces arbitres s’est principalement basé sur leur expérience dans le cadre de compétitions nationales et internationales, ainsi que sur leur condition physique et leur capacité à lire le jeu. Les arbitres qui dirigeront les matches de la compétition en Bretagne cet été figurent également dans la liste des potentielles arbitres pour la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019.
Stéphanie Frappart, interrogée sur FIFA.com
En tant que Française, que représente la perspective d’arbitrer des matches de Coupe du Monde dans votre pays ?
Je suis très fière, évidemment. J’ai vraiment hâte d’y être. C’est un grand honneur de représenter la France dans ces circonstances. Je prends ça comme un privilège. Je vois dans cette sélection la reconnaissance du travail accompli et le signe que l’expérience accumulée au fil du temps est appréciée. Je suis très heureuse et je tiens à remercier tous ceux qui ont contribué à ce moment.
L’an prochain, la Coupe du Monde Féminine aura lieu en France. Cet été la Coupe du Monde Féminine U-20 nous donnera un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler l’épreuve mondiale en 2019. Où en sont les préparatifs ?
La Fédération française de football travaille sérieusement. À un an de la Coupe du Monde Féminine, cette compétition s’annonce comme un test important. Tout le monde est concentré sur sa tâche. Toute la Bretagne est impatiente d’accueillir les équipes et les supporters. La Coupe du Monde Féminine U-20 sera un bon indicateur, à un an du grand événement planétaire.
Compte tenu de l’excellent niveau des sélections U-20, cette compétition peut-elle permettre aux arbitres de progresser plus vite dans leur préparation pour la Coupe du Monde ?
Absolument. C’est une super opportunité pour nous et pour les joueuses. Nous préparons toutes une compétition de premier plan. Si nous livrons des performances intéressantes, nous aurons fait un grand pas vers la Coupe du Monde. Je crois donc que l’enjeu est important pour tout le monde.
Vous ne laissez généralement rien au hasard et vous préparez chaque match dans les moindres détails. Qu’allez-vous faire au cours des jours, des semaines et des mois à venir ?
Tout ça ne se fait pas du jour au lendemain. Notre préparation pour la Coupe du Monde ne vient pas de commencer. Nous avons débuté nos préparatifs pour France 2019 dès la fin de la Coupe du Monde Féminine 2015 au Canada. Il faut donc avancer pas à pas vers l’objectif que nous nous sommes fixé. Nous vivons une période intense, mais très intéressante. Nous devons nous dépasser mais, heureusement, nous avons du soutien. C’est une étape importante dans notre préparation pour la Coupe du Monde. Néanmoins, il reste encore beaucoup de travail à accomplir. À nous de tenir le rythme. Les échanges avec nos instructeurs sont très enrichissants. Bien entendu, le fait d’arbitrer des matches à haut niveau constitue aussi une expérience précieuse.
Stéphanie Frappart, interrogée sur FIFA.com
En tant que Française, que représente la perspective d’arbitrer des matches de Coupe du Monde dans votre pays ?
Je suis très fière, évidemment. J’ai vraiment hâte d’y être. C’est un grand honneur de représenter la France dans ces circonstances. Je prends ça comme un privilège. Je vois dans cette sélection la reconnaissance du travail accompli et le signe que l’expérience accumulée au fil du temps est appréciée. Je suis très heureuse et je tiens à remercier tous ceux qui ont contribué à ce moment.
L’an prochain, la Coupe du Monde Féminine aura lieu en France. Cet été la Coupe du Monde Féminine U-20 nous donnera un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler l’épreuve mondiale en 2019. Où en sont les préparatifs ?
La Fédération française de football travaille sérieusement. À un an de la Coupe du Monde Féminine, cette compétition s’annonce comme un test important. Tout le monde est concentré sur sa tâche. Toute la Bretagne est impatiente d’accueillir les équipes et les supporters. La Coupe du Monde Féminine U-20 sera un bon indicateur, à un an du grand événement planétaire.
Compte tenu de l’excellent niveau des sélections U-20, cette compétition peut-elle permettre aux arbitres de progresser plus vite dans leur préparation pour la Coupe du Monde ?
Absolument. C’est une super opportunité pour nous et pour les joueuses. Nous préparons toutes une compétition de premier plan. Si nous livrons des performances intéressantes, nous aurons fait un grand pas vers la Coupe du Monde. Je crois donc que l’enjeu est important pour tout le monde.
Vous ne laissez généralement rien au hasard et vous préparez chaque match dans les moindres détails. Qu’allez-vous faire au cours des jours, des semaines et des mois à venir ?
Tout ça ne se fait pas du jour au lendemain. Notre préparation pour la Coupe du Monde ne vient pas de commencer. Nous avons débuté nos préparatifs pour France 2019 dès la fin de la Coupe du Monde Féminine 2015 au Canada. Il faut donc avancer pas à pas vers l’objectif que nous nous sommes fixé. Nous vivons une période intense, mais très intéressante. Nous devons nous dépasser mais, heureusement, nous avons du soutien. C’est une étape importante dans notre préparation pour la Coupe du Monde. Néanmoins, il reste encore beaucoup de travail à accomplir. À nous de tenir le rythme. Les échanges avec nos instructeurs sont très enrichissants. Bien entendu, le fait d’arbitrer des matches à haut niveau constitue aussi une expérience précieuse.
Arbitres centrales
Arbitres assistantes