Devenue titulaire dans les cages du PSG après son arrivée l’été dernier, la Chilienne Christiane Endler, qui se plaît beaucoup à Paris, disputera ce jeudi la finale de la Coupe de France féminin face à Lyon. Une façon de conclure superbement une année déjà incroyable.
Nous sommes quelques jours après la fin de ta première saison de D1 au Paris Saint Germain. Comment c’était ?
Très bien ! C’était dur au début, car je découvrais un nouvel environnement, une nouvelle langue, de nouvelles coéquipières… mais je pense que je m’y suis habituée très rapidement ! J’aime être ici, j’adore la ville, mon équipe. Ça a été une très bonne saison pour moi car j’ai commencé en ne jouant jamais et maintenant je joue tout le temps donc ça me fait plaisir. Surtout que j’évolue à un bon niveau, donc c’est une saison qui me remplit de joie !
Après l’Angleterre et l’Espagne, c’est le troisième championnat européen que tu découvres. Quelles sont les particularités de la D1 ?
C’est plus professionnel ici. Il y a une meilleure organisation, des joueuses de plus grande qualité dans le championnat. Au niveau du jeu aussi, c’est plus rapide, plus physique, avec des joueuses du monde entier… J’adorais l’Espagne, pour y vivre, et caetera, mais ici c’est plus compétitif.
Beaucoup de tes coéquipières étrangères, comme Andrine Hegerberg et Ashley Lawrence, revendique leur amour pour la capitale, et Saint-Germain-en-Laye. As-tu des endroits que tu préfères particulièrement toi aussi ?
J’adore la forêt de Saint-Germain, c’est très agréable pour se promener, enfin sous le beau temps (sourire) ! Et puis la ville de Saint-Germain est un endroit merveilleux pour vivre, c’est petit, mais il y a tout. A l’inverse, Paris, c’est tellement grand ! Je suis allé visiter la Tour Eiffel, évidemment. Mais il y a tant de choses à apprendre, à visiter… A chaque fois que j’y vais je découvre quelque chose de nouveau. C’est si beau. Où qu’on aille c’est joli.
Avec Paris vous avez décroché la qualification en Ligue des champions, ce sera la première fois de ta carrière que tu la joueras. Tu t’y vois déjà ?
Ca a toujours été mon rêve de disputer cette compétition. J’ai évolué dans de bonnes équipes mais je n’en ai jamais eu l’occasion jusqu’ici, donc j’espère que l’an prochain je pourrai la jouer, et vivre un tournoi qui est connu à travers le monde, et que tout le monde veut jouer. C’est un rêve qui devient réalité. J’ai vu la finale entre Lyon et Wolfsburg la semaine passée, c’était un bon match. Pas le meilleur, mais Lyon méritait de gagner.
Très bien ! C’était dur au début, car je découvrais un nouvel environnement, une nouvelle langue, de nouvelles coéquipières… mais je pense que je m’y suis habituée très rapidement ! J’aime être ici, j’adore la ville, mon équipe. Ça a été une très bonne saison pour moi car j’ai commencé en ne jouant jamais et maintenant je joue tout le temps donc ça me fait plaisir. Surtout que j’évolue à un bon niveau, donc c’est une saison qui me remplit de joie !
Après l’Angleterre et l’Espagne, c’est le troisième championnat européen que tu découvres. Quelles sont les particularités de la D1 ?
C’est plus professionnel ici. Il y a une meilleure organisation, des joueuses de plus grande qualité dans le championnat. Au niveau du jeu aussi, c’est plus rapide, plus physique, avec des joueuses du monde entier… J’adorais l’Espagne, pour y vivre, et caetera, mais ici c’est plus compétitif.
Beaucoup de tes coéquipières étrangères, comme Andrine Hegerberg et Ashley Lawrence, revendique leur amour pour la capitale, et Saint-Germain-en-Laye. As-tu des endroits que tu préfères particulièrement toi aussi ?
J’adore la forêt de Saint-Germain, c’est très agréable pour se promener, enfin sous le beau temps (sourire) ! Et puis la ville de Saint-Germain est un endroit merveilleux pour vivre, c’est petit, mais il y a tout. A l’inverse, Paris, c’est tellement grand ! Je suis allé visiter la Tour Eiffel, évidemment. Mais il y a tant de choses à apprendre, à visiter… A chaque fois que j’y vais je découvre quelque chose de nouveau. C’est si beau. Où qu’on aille c’est joli.
Avec Paris vous avez décroché la qualification en Ligue des champions, ce sera la première fois de ta carrière que tu la joueras. Tu t’y vois déjà ?
Ca a toujours été mon rêve de disputer cette compétition. J’ai évolué dans de bonnes équipes mais je n’en ai jamais eu l’occasion jusqu’ici, donc j’espère que l’an prochain je pourrai la jouer, et vivre un tournoi qui est connu à travers le monde, et que tout le monde veut jouer. C’est un rêve qui devient réalité. J’ai vu la finale entre Lyon et Wolfsburg la semaine passée, c’était un bon match. Pas le meilleur, mais Lyon méritait de gagner.
Avec l’équipe que vous avez à l’heure actuelle, en dépit des arrivées et des départs dus au mercato, penses-tu que vous avez le potentiel pour atteindre le dernier carré ?
Je pense oui, on est une bonne équipe ! Dans notre championnat, où qu’on joue, c’est difficile. Il y a Lyon qui est la meilleure équipe d’Europe et qui est loin devant mais si nous jouons contre des équipes de notre calibre je pense qu’on a des joueuses avec un talent suffisant pour atteindre les demies. Il va falloir travailler et être prêtes pour l’évènement.
C’est une année extraordinaire pour toi qui t’es aussi qualifiée pour la Coupe du Monde en sélection, avec le Chili ! Comment était la Copa América ?
Génial ! Jouer à la maison, devant des stades remplis à chaque fois… Les gens ont beaucoup apprécié le tournoi, ce n’était pas commun ce genre d’évènement chez moi parce que le foot féminin est un peu nouveau, donc pour nous c’était vraiment une belle expérience que cette qualification, la première de notre histoire. C’est un autre rêve qui devient réalité (sourire) !
Tu considères que le niveau du foot féminin sud-américain devient meilleur ?
Oui, cela grandit, les pays travaillent de plus en plus pour la discipline, ils font de leur mieux pour organiser des championnats professionnels là-bas… Je pense qu’il faudra juste du temps pour avoir plus de structures, et de soutien de la part du gouvernement et des sponsors. Ce sera de mieux en mieux dans le futur, et j’espère qu’un jour, les femmes pourront également vivre du football au Chili. Parmi mes coéquipières en sélection, beaucoup viennent du chili, mais maintenant on a aussi pas mal de joueuses qui jouent en Europe, au Japon, aux Etats Unis, au Brésil et en Colombie... Aujourd’hui si les joueuses chiliennes veulent progresser, elles doivent partir du Chili.
Patrice Lair quitte le club, qu’as-tu appris de lui ?
Il me disait d’avoir toujours confiance en moi, que j’avais les capacités physiques de jouer et que j’en étais capable, mais qu’il fallait que je continue de travailler dur. Il m’a aussi donné l’opportunité de jouer en France donc je lui en suis très reconnaissante, j’espère qu’il fera du bon boulot avec sa nouvelle équipe (Niort, où il s’est engagé pour 2 ans, NDLR).
Et donc jeudi, pour toi, ce sera le premier titre avec le PSG ?
J’espère bien, on travaille pour ça ! Ce serait génial de finir la saison avec ce trophée, ce sera bon pour Paris et ce sera bien pour nous ! »
Je pense oui, on est une bonne équipe ! Dans notre championnat, où qu’on joue, c’est difficile. Il y a Lyon qui est la meilleure équipe d’Europe et qui est loin devant mais si nous jouons contre des équipes de notre calibre je pense qu’on a des joueuses avec un talent suffisant pour atteindre les demies. Il va falloir travailler et être prêtes pour l’évènement.
C’est une année extraordinaire pour toi qui t’es aussi qualifiée pour la Coupe du Monde en sélection, avec le Chili ! Comment était la Copa América ?
Génial ! Jouer à la maison, devant des stades remplis à chaque fois… Les gens ont beaucoup apprécié le tournoi, ce n’était pas commun ce genre d’évènement chez moi parce que le foot féminin est un peu nouveau, donc pour nous c’était vraiment une belle expérience que cette qualification, la première de notre histoire. C’est un autre rêve qui devient réalité (sourire) !
Tu considères que le niveau du foot féminin sud-américain devient meilleur ?
Oui, cela grandit, les pays travaillent de plus en plus pour la discipline, ils font de leur mieux pour organiser des championnats professionnels là-bas… Je pense qu’il faudra juste du temps pour avoir plus de structures, et de soutien de la part du gouvernement et des sponsors. Ce sera de mieux en mieux dans le futur, et j’espère qu’un jour, les femmes pourront également vivre du football au Chili. Parmi mes coéquipières en sélection, beaucoup viennent du chili, mais maintenant on a aussi pas mal de joueuses qui jouent en Europe, au Japon, aux Etats Unis, au Brésil et en Colombie... Aujourd’hui si les joueuses chiliennes veulent progresser, elles doivent partir du Chili.
Patrice Lair quitte le club, qu’as-tu appris de lui ?
Il me disait d’avoir toujours confiance en moi, que j’avais les capacités physiques de jouer et que j’en étais capable, mais qu’il fallait que je continue de travailler dur. Il m’a aussi donné l’opportunité de jouer en France donc je lui en suis très reconnaissante, j’espère qu’il fera du bon boulot avec sa nouvelle équipe (Niort, où il s’est engagé pour 2 ans, NDLR).
Et donc jeudi, pour toi, ce sera le premier titre avec le PSG ?
J’espère bien, on travaille pour ça ! Ce serait génial de finir la saison avec ce trophée, ce sera bon pour Paris et ce sera bien pour nous ! »