La saison de D2 qui débute ce week-end sera celle de tous les dangers. Avec la moitié des équipes reléguées en DH suite à la formation du championnat, il faudra avant tout assuré son maintien.
Comme toujours, le championnat s'annonce beaucoup plus ouvert que la D1 dans la mesure où les épouvantails ne le restent pas d’une saison sur l’autre, devenus petits poucets à l’étage au dessus, mais surtout parce que le deuxième niveau vit une saison de transition : l’an prochain, elle sera réduite de trois à deux groupes. Avec les places prévues pour permettre aux équipes de DH de monter, cela signifie que seule la première moitié du classement assurera le maintien, ou dit plus clairement, que la moitié du plateau va être reléguée.
À cela s’ajoute la prise en compte par les clubs professionnels masculins de l’injonction qui leur est faite de disposer d’une section féminine. La manière la plus simple de procéder étant de s'appuyer sur un club déjà existant. Cet été, l’Étoile Sportive Blanquefortaise est devenue Girondins de Bordeaux et le FC Templemars Vendeville est devenu LOSC Lille Métropole, avec la possibilité de profiter de l’absence inédite de club nordiste en D1 pour tenter de prendre le flambeau régional dans un groupe A qui compte aussi Arras, Hénin-Beaumont, Lillers et Rouvroy.
À cela s’ajoute la prise en compte par les clubs professionnels masculins de l’injonction qui leur est faite de disposer d’une section féminine. La manière la plus simple de procéder étant de s'appuyer sur un club déjà existant. Cet été, l’Étoile Sportive Blanquefortaise est devenue Girondins de Bordeaux et le FC Templemars Vendeville est devenu LOSC Lille Métropole, avec la possibilité de profiter de l’absence inédite de club nordiste en D1 pour tenter de prendre le flambeau régional dans un groupe A qui compte aussi Arras, Hénin-Beaumont, Lillers et Rouvroy.
Metz et l'OM en favoris
On retrouve d’autres clubs professionnels masculins dans ce groupe A : le FC Metz (ex-Algrange), l’AS Nancy-Lorraine et le Stade Reims (promu cette saison). La montée (et donc le maintien) devrait se jouer entre les relégués Metz et Arras et le haut de tableau de l’an dernier Hénin-Beaumont, Vendenheim et Nancy. Le LOSC bénéficiera sans doute de son nouveau statut pour viser l’une des 6 premières places synonymes de maintien.
Le groupe B fera la part moins belle aux clubs professionnels : outre les Girondins de Bordeaux qui sont encore l’équipe de Blanquefort (qui reste sur une belle 3e place), on ne trouve que le FC Lorient, promu cette saison. Deux autres clubs ont bien un nom connu mais il s’agit du Mans FC et du FC Rouen, qui n’ont plus ni l’un ni l’autre d’équipe professionnelle masculine. Du coup, c’est Yzeure a manqué pour un point l’an dernier derrière La Roche qu'il faudra suivre. L'US St Malo sera aussi à regarder de part son effectif pourvu d'anciennes Guingampaises et Briochines. Bordeaux et Le Mans ou encore Rouen tenteront de créer la surprise. Le relégué Issy aura probabelement plus de difficultés avec son effectif largement remanié après la descente.
Enfin le groupe C ne compte aucun relégué mais trois sections féminines de clubs masculins, qui seront tous les trois parmi les favoris. Bien sûr l’Olympique de Marseille de Sandrine Brétigny et Nora Coton-Pélagie sera le principal candidat à la montée. Mais le Dijon FCO de Laura Bouillot et Adeline Rousseau qui met en place une politique ambitieuse et qui suit la voie marseillaise sera sans doute mieux qu’un faire-valoir. Toulouse fortement remanié devrait rester dans le haut de tableau malgré un effectif sans cesse remanié. Enfin, on suivra avec attention Le Puy et ses anciennes Stéphanoises, 3e la saison dernière et Grenoble-Claix de nouveau entraîné par Nicolas Bach qui a bien recruté.
CHR$ et Sébastien Duret
Le groupe B fera la part moins belle aux clubs professionnels : outre les Girondins de Bordeaux qui sont encore l’équipe de Blanquefort (qui reste sur une belle 3e place), on ne trouve que le FC Lorient, promu cette saison. Deux autres clubs ont bien un nom connu mais il s’agit du Mans FC et du FC Rouen, qui n’ont plus ni l’un ni l’autre d’équipe professionnelle masculine. Du coup, c’est Yzeure a manqué pour un point l’an dernier derrière La Roche qu'il faudra suivre. L'US St Malo sera aussi à regarder de part son effectif pourvu d'anciennes Guingampaises et Briochines. Bordeaux et Le Mans ou encore Rouen tenteront de créer la surprise. Le relégué Issy aura probabelement plus de difficultés avec son effectif largement remanié après la descente.
Enfin le groupe C ne compte aucun relégué mais trois sections féminines de clubs masculins, qui seront tous les trois parmi les favoris. Bien sûr l’Olympique de Marseille de Sandrine Brétigny et Nora Coton-Pélagie sera le principal candidat à la montée. Mais le Dijon FCO de Laura Bouillot et Adeline Rousseau qui met en place une politique ambitieuse et qui suit la voie marseillaise sera sans doute mieux qu’un faire-valoir. Toulouse fortement remanié devrait rester dans le haut de tableau malgré un effectif sans cesse remanié. Enfin, on suivra avec attention Le Puy et ses anciennes Stéphanoises, 3e la saison dernière et Grenoble-Claix de nouveau entraîné par Nicolas Bach qui a bien recruté.
CHR$ et Sébastien Duret
LA PREMIERE JOURNEE
Groupe A
Vendenheim-Rouvroy
Arras-Bischheim
Nancy-Saint-Denis
Lillers-Reims
Metz-Lille
Hénin-Beaumont-Val d'Orge
Groupe B
Angers-Lorient
Bordeaux-Saint-Malo
Issy-Yzeure
Condé-Quimper
Tremblay-Rouen
Arlac Mérignac-Le Mans
Groupe C
Nivolet-Véore Montoison
Nivolas-Vermelle-Marseille Ol.
Monteux-Flacé Mâcon
Marseille FAMF-Toulouse
Le Puy-Grenoble Claix
Dijon-Aurillac Arpajon
Vendenheim-Rouvroy
Arras-Bischheim
Nancy-Saint-Denis
Lillers-Reims
Metz-Lille
Hénin-Beaumont-Val d'Orge
Groupe B
Angers-Lorient
Bordeaux-Saint-Malo
Issy-Yzeure
Condé-Quimper
Tremblay-Rouen
Arlac Mérignac-Le Mans
Groupe C
Nivolet-Véore Montoison
Nivolas-Vermelle-Marseille Ol.
Monteux-Flacé Mâcon
Marseille FAMF-Toulouse
Le Puy-Grenoble Claix
Dijon-Aurillac Arpajon