Débarqué de la tête de l’équipe première de la Roche malgré une bonne première saison en deuxième division, Fréderic Rouzo regrette une décision abrupte et est désormais à la recherche d’un nouveau projet dans le football.
Il restait pourtant sur une série de 7 victoires consécutives en championnat, et on ne peut pas dire que la défaite en 8e de finale de Coupe de France face aux voisins de Soyaux- après une victoire arrachée contre Bordeaux –le 10 février dernier, ressemblait à un échec cuisant. Pourtant, à sa grande surprise, Frédéric Rouzo, arrivé à la tête de La Roche l’été dernier en remplacement de Malika Bousseau, a été débarqué « brutalement » de son poste d’entraîneur le 31 mars dernier. Depuis un mois, c’est donc son ancienne adjointe, Magali Stevant, qui a repris le contrôle des opérations.
Le coup a été dur à encaisser, surtout qu’il avait été installé par sa direction « pour mener un projet à long terme ». Il se voyait rester plus longtemps au sein d’un club qu’il avait intégré la saison dernière en tant que directeur technique. La présidence du club, elle, se désole aussi de cette fin en queue de poisson. Une conclusion brusque qui s’explique essentiellement pour des raisons économiques, avec la réduction des contrats aidés, sous lequel évoluait Frédéric Rouzo jusqu’alors.
Le coup a été dur à encaisser, surtout qu’il avait été installé par sa direction « pour mener un projet à long terme ». Il se voyait rester plus longtemps au sein d’un club qu’il avait intégré la saison dernière en tant que directeur technique. La présidence du club, elle, se désole aussi de cette fin en queue de poisson. Une conclusion brusque qui s’explique essentiellement pour des raisons économiques, avec la réduction des contrats aidés, sous lequel évoluait Frédéric Rouzo jusqu’alors.
Le technicien, qui avait passé une vingtaine d’année à Lorient, en tant que formateur sur bon nombre de catégories d’âge, avait ensuite pris en charge les équipes réserves, avant de partir en Charente en 2016. De ces « 9 mois intéressants », il part évidemment déçu : « Il y avait un potentiel offensif qui avait été sacrément diminué par rapport à l’an passé, donc on a mis un petit plus de temps pour revenir au niveau puisqu’on a compté sur pas mal de jeunes joueuses, mais on avait réussi à remonter à la deuxième place (les Rochelaises sont désormais 3es après deux défaites, ndlr), donc ça prouve qu’il y avait un vrai potentiel. Le regret c’est de ne pas avoir fini la saison, et surtout d’avoir pu aller au bout de ce projet ».
Bien qu’il regrette le fossé qui sépare Metz, actuel leader du groupe A avec 11 points d’avance, du reste de la D2, et qui reflète selon lui le besoin de restructuration de cette division pour combler le vide qui la sépare de la D1, il reste à l’affût d’une nouvelle aventure, dans le foot féminin ou ailleurs. Le président Laurent Grelier, qui n’a « pas eu d’autre choix », intronisera officiellement ce lundi soir lors d’une conférence de presse le duo qui évoluera à la tête de l’ESOF l’an prochain. Il s’agit de deux personnes présentes depuis plusieurs années au club : Bastien Pasquereau et Florence Audouin.
Bien qu’il regrette le fossé qui sépare Metz, actuel leader du groupe A avec 11 points d’avance, du reste de la D2, et qui reflète selon lui le besoin de restructuration de cette division pour combler le vide qui la sépare de la D1, il reste à l’affût d’une nouvelle aventure, dans le foot féminin ou ailleurs. Le président Laurent Grelier, qui n’a « pas eu d’autre choix », intronisera officiellement ce lundi soir lors d’une conférence de presse le duo qui évoluera à la tête de l’ESOF l’an prochain. Il s’agit de deux personnes présentes depuis plusieurs années au club : Bastien Pasquereau et Florence Audouin.