Entrée en cours de jeu contre l'Angleterre, titulaire face à la Colombie, Kenza Dali se fait une place petit à petit en équipe de France. La milieu de terrain du PSG nous parle de sa coupe du monde.
Comment abordez-vous le huitième de finale contre la Corée ?
"Dans une esprit conquérant. Je pense qu'il n'y a pas besoin de motiver les troupes quand on joue un huitième de finale de coupe du monde. Il va falloir être très concentrées parce que ça ne va pas être une équipe facile à jouer. On sait que les pays asiatiques, ce sont des nations qui ne lâchent rien et qui aiment avoir le ballon, il va falloir les en priver."
Vous n'êtes pas toujours titulaire dans cette coupe du monde, vous entrez et sortez, est-ce déstabilisant ?
"Aucune équipe ne mettra le même onze de départ à chaque match. Physiquement ce n'est pas possible. On sort d'un saison en club, c'est une coupe du monde sur synthétique, il fait chaud. Pour être capable de tenir la compétition il nous faut le groupe. C'est le choix du coach qui prime. Une équipe ce n'est pas onze ou quatorze joueuses c'est vingt-trois. À titre individuel, je suis rentrée contre l'Angleterre, j'ai joué la Colombie. La Colombie pour une première titularisation, je n'en garderai pas un bon souvenir. Il faut que j'arrive à prendre plus de risques comme en club, mais je débute dans cette équipe."
"Dans une esprit conquérant. Je pense qu'il n'y a pas besoin de motiver les troupes quand on joue un huitième de finale de coupe du monde. Il va falloir être très concentrées parce que ça ne va pas être une équipe facile à jouer. On sait que les pays asiatiques, ce sont des nations qui ne lâchent rien et qui aiment avoir le ballon, il va falloir les en priver."
Vous n'êtes pas toujours titulaire dans cette coupe du monde, vous entrez et sortez, est-ce déstabilisant ?
"Aucune équipe ne mettra le même onze de départ à chaque match. Physiquement ce n'est pas possible. On sort d'un saison en club, c'est une coupe du monde sur synthétique, il fait chaud. Pour être capable de tenir la compétition il nous faut le groupe. C'est le choix du coach qui prime. Une équipe ce n'est pas onze ou quatorze joueuses c'est vingt-trois. À titre individuel, je suis rentrée contre l'Angleterre, j'ai joué la Colombie. La Colombie pour une première titularisation, je n'en garderai pas un bon souvenir. Il faut que j'arrive à prendre plus de risques comme en club, mais je débute dans cette équipe."
Comment vous vous adaptez aux terrains synthétiques ?
"Jusqu'ici je ne m'en plains pas du tout. Surtout qu'on a eu des bons terrains. On avait peur de la surface par rapport aux blessures et à la capacité d'enchaîner mais au final on s'est bien habitué. En terme de récupération ça ne pose pas de souci. À Montréal on va être sur synthétique couvert. Il fera beaucoup plus chaud. Les U20 (qui ont disputé la coupe du monde U20 l'an dernier dans ce stade) nous ont parlé de leur expérience, elles nous ont dit que ce n'était pas facilement respirable. On va bien se préparer, on sait à quoi s'attendre et de toute façon ça sera pareil pour les deux équipes."
À Montréal, Laetitia Béraud
"Jusqu'ici je ne m'en plains pas du tout. Surtout qu'on a eu des bons terrains. On avait peur de la surface par rapport aux blessures et à la capacité d'enchaîner mais au final on s'est bien habitué. En terme de récupération ça ne pose pas de souci. À Montréal on va être sur synthétique couvert. Il fera beaucoup plus chaud. Les U20 (qui ont disputé la coupe du monde U20 l'an dernier dans ce stade) nous ont parlé de leur expérience, elles nous ont dit que ce n'était pas facilement respirable. On va bien se préparer, on sait à quoi s'attendre et de toute façon ça sera pareil pour les deux équipes."
À Montréal, Laetitia Béraud