La capitaine des Bleues n'est pas inquiète des résultats de ce mois de novembre. La réaction face à la Suède est encourageante selon la future Lyonnaise.
La France a bien réagi selon vous ?
On aurait aimé revenir avec la victoire. C'est un match assez satisfaisant, il y a eu une bonne réaction. On a été présentes dans les duels, contrairement à l'Allemagne. Après on a manqué dans les 30 derniers mètres d'armes offensives. On peut quand même être satisfaites.
Il y a une remise en question après la débâcle face à l'Allemagne ?
Oui forcément. On a été touchées dans notre fierté, on avait à cœur de faire un bon match et de montrer qu'on est l’Équipe de France. Il y a eu une bonne réaction.
Vous mettez beaucoup d'applications même dans cette phase de préparation ?
C'est d'autant plus important car on n'aura pas de matchs de compétition avant la Coupe du Monde, il faut se mettre directement en mode compétition, ce qui n'est pas facile. Mais on est compétitrices, et on a envie de gagner tout le temps, et c'est bien de rencontrer une grosse nation comme la Suède.
En tant que joueuse cadre, qu'avez-vous apporté par rapport aux joueuses essayées ?
Mon rôle est de mettre les plus jeunes ou les nouvelles à l'aise, qu'elles aient confiance. D'apporter mon expérience aussi. C'est un groupe homogène, c'est ce qui fait aussi notre force.
Avez-vous été inquiète après la défaite vendredi ?
Non. Je ne suis inquiète, ça arrive de perdre. Après c'était face à l'Allemagne, ce n'est pas n'importe qui. On fait ce match nul contre la Suède, c'est quand même un bon résultat. Le mois de novembre n'est jamais facile dans une saison. On va revenir en janvier un peu plus fortes. On voit des nouvelles joueuses, on apprend, on sera prête dans un an et demi.
A Bordeaux,
Sébastien Duret
On aurait aimé revenir avec la victoire. C'est un match assez satisfaisant, il y a eu une bonne réaction. On a été présentes dans les duels, contrairement à l'Allemagne. Après on a manqué dans les 30 derniers mètres d'armes offensives. On peut quand même être satisfaites.
Il y a une remise en question après la débâcle face à l'Allemagne ?
Oui forcément. On a été touchées dans notre fierté, on avait à cœur de faire un bon match et de montrer qu'on est l’Équipe de France. Il y a eu une bonne réaction.
Vous mettez beaucoup d'applications même dans cette phase de préparation ?
C'est d'autant plus important car on n'aura pas de matchs de compétition avant la Coupe du Monde, il faut se mettre directement en mode compétition, ce qui n'est pas facile. Mais on est compétitrices, et on a envie de gagner tout le temps, et c'est bien de rencontrer une grosse nation comme la Suède.
En tant que joueuse cadre, qu'avez-vous apporté par rapport aux joueuses essayées ?
Mon rôle est de mettre les plus jeunes ou les nouvelles à l'aise, qu'elles aient confiance. D'apporter mon expérience aussi. C'est un groupe homogène, c'est ce qui fait aussi notre force.
Avez-vous été inquiète après la défaite vendredi ?
Non. Je ne suis inquiète, ça arrive de perdre. Après c'était face à l'Allemagne, ce n'est pas n'importe qui. On fait ce match nul contre la Suède, c'est quand même un bon résultat. Le mois de novembre n'est jamais facile dans une saison. On va revenir en janvier un peu plus fortes. On voit des nouvelles joueuses, on apprend, on sera prête dans un an et demi.
A Bordeaux,
Sébastien Duret