Après le nul face à l'Autriche, la France s'attaque à son voisin suisse pour l'ultime journée de la phase de groupe avec la nécessité de retrouver du jeu.
Après avoir rencontré deux équipes au jeu défensif et physique, Olivier Echouafni espère que son adversaire ira plus de l'avant : "Pour se qualifier, elle va devoir sortir et ne pas faire bloc bas". Un avantage selon le sélectionneur qui regrettait le jeu autrichien ayant empêché son équipe de développer son football. Le système de jeu français devrait donc permettre de trouver des solutions qui ont manqué précédemment : "En fonction de ça, on essaie de trouver des solutions, on les trouve dans l’ensemble. Il s’agit maintenant de se libérer. On va entrer dans une nouvelle compétition avec pratiquement des matches couperet".
Frustrées samedi soir, les partenaires d'Amandine Henry restent malgré tout confiantes en leurs capacités face à un adversaire aussi à se qualifier : "Elles vont jouer leurs cartes à fond pour la qualification mais on ne va rien lâcher. On va chercher la qualification et tout donner sur le terrain. C’est normal qu’elles soient motivées, mais nous le sommes aussi". Il faut pour les Bleues éviter tout calcul. Si le match nul suffit, une victoire serait préférable pour prendre la première place et éviter probablement l'Angleterre dès les quarts de finale. Echouafni précisait ne pas vouloir se contenter du nul : "Il faut en tenir compte malgré tout. L’idée, c’est de vouloir gagner le match et pas se contenter d’un nul".
Frustrées samedi soir, les partenaires d'Amandine Henry restent malgré tout confiantes en leurs capacités face à un adversaire aussi à se qualifier : "Elles vont jouer leurs cartes à fond pour la qualification mais on ne va rien lâcher. On va chercher la qualification et tout donner sur le terrain. C’est normal qu’elles soient motivées, mais nous le sommes aussi". Il faut pour les Bleues éviter tout calcul. Si le match nul suffit, une victoire serait préférable pour prendre la première place et éviter probablement l'Angleterre dès les quarts de finale. Echouafni précisait ne pas vouloir se contenter du nul : "Il faut en tenir compte malgré tout. L’idée, c’est de vouloir gagner le match et pas se contenter d’un nul".
Echouafni : "On a envie d'aller de l'avant"
Face à la France, une équipe suisse qui croit encore à ses chances mais qui a montré des difficultés dans le domaine défensif. De quoi encourager le jeu français à aller de l'avant : "On a envie de jouer, d’aller de l’avant et d’avoir en face de nous une équipe qui joue. Elles connaissent nos qualités, nos arguments. Elles savent qu’on est invaincus depuis 10 mois, qu’on est capables de revenir au score, d’être patientes. Tout ça va nous aider pour la rencontre" selon Olivier Echouafni. Pour la Suisse, Martina Voss-Tecklenburg, la sélectionneuse allemande connaît l'équation et attend de son équipe qu'elles soient au top : "Les quarts de finale, c’est notre objectif. On sait qu’on a besoin de six points. On n’a pas encore atteint notre objectif. C’était bien de gagner contre l’Islande, mais on n’a rien gagné. On sait qu’on doit être à 100% contre la France pour gagner. On a beaucoup analysé les Françaises".
L'impatience est la même de part et d'autre pour espérer prolonger l'aventure. L'attaque suisse Ramona Bachmann trépigne : "On a vraiment hâte de jouer ce match et on va tout donner pour gagner ce match. Les Françaises ne sont pas imbattables et c’est bon à savoir."
L'impatience est la même de part et d'autre pour espérer prolonger l'aventure. L'attaque suisse Ramona Bachmann trépigne : "On a vraiment hâte de jouer ce match et on va tout donner pour gagner ce match. Les Françaises ne sont pas imbattables et c’est bon à savoir."
Un nouveau turn-over dans le onze
Après le nul face à l'Autriche, les choix du staff tricolore avec cinq changements ont été commentés. Cependant le sélectionneur se justifie dans une compétition où il faut gérer l'état de fatigue. Cette option lui a permis de faire appel à 17 des 23 joueuses en deux matchs. Des choix jugés comme une richesse par la milieu de terrain Amandine Henry décisive lors des deux premiers matchs. "On a de la chance d’avoir un banc de touche. On va faire un changement, on ne va pas forcément voir la différence. Après, on joue avec les qualités et les défauts de chacune et là, ce sera plutôt par la percussion, d’autres par la technique." Echouafni déclarait à la veille de cette rencontre continuer à apporter des modifications dans l'équipe : "J’ai trouvé la formule et j’apporterai encore des changements. Une compétition peut être longue et on s’attend à un match difficile". Si malgré ces hésitations en défense, la gardienne Sarah Bouhaddi est confirmée comme étant la numéro 1, la défense pourrait bien retrouver l'allure du premier match mais c'est dans l'animation offensive que les changements les plus importants devraient survenir. A noter que deux Françaises seraient suspendues en quart de finale en cas de nouvel avertissement : Renard et Houara d'Hommeaux.
LE POINT SUR LE GROUPE
1. France, 4 pts (2-1) (discipline : malus 2)
2. Autriche, 4 pts (2-1) (discipline : malus 3)
3. Suisse, 3 pts (2-2)
4. Islande, 0 pt (1-3)
- La France sera qualifiée avec un match nul. Si la France perd et l'Autriche aussi, la deuxième place se sera décidée grâce à la différence de buts globale, les buts marqués puis les critères disciplinaires. Si les deux équipes sont toujours à égalité, la France sera devant grâce à son coefficient.
- L'Autriche sera qualifiée avec un match nul ou en cas de défaite si la Suisse ne gagne pas. Si l'Autriche et la France sont à égalité de points, les deux nations seront départagées par la différence de buts globale, les buts marqués puis les critères disciplinaires. Si les deux équipes sont toujours à égalité, la France sera devant grâce à son coefficient.
- La Suisse sera qualifiée avec une victoire, éliminée avec tout autre résultat. Elle terminera première du groupe si elle s'impose et si l'Autriche ne gagne pas.
- L'Islande est éliminée et assurée de terminer quatrième du groupe.
LES CRITERES DE CLASSEMENT
En cas d'égalité de points de plusieurs équipes du même groupe à l'issue des matches de groupe de la phase finale, les critères suivants sont appliqués dans l'ordre indiqué pour établir leur classement :
a. plus grand nombre de points obtenus dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
b. meilleure différence de buts dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
c. plus grand nombre de buts marqués dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
d. si, après l’application des critères a) à c), plusieurs équipes sont toujours à égalité, les critères a) à c) sont à nouveau appliqués exclusivement aux matches du groupe entre les équipes concernées afin de déterminer leur classement final. Si cette procédure ne donne pas de résultat, les critères e) à h) s’appliquent ;
e. meilleure différence de buts dans tous les matches du groupe ;
f. plus grand nombre de buts marqués dans tous les matches du groupe ;
g. total le plus faible de points disciplinaires sur la base uniquement des cartons jaunes et des cartons rouges reçus durant tous les matches du groupe (carton rouge = 3 points, carton jaune = 1 point, expulsion pour deux cartons jaunes au cours d'un match = 3 points) ;
h. position dans le classement par coefficient des équipes nationales féminines de l’UEFA utilisée pour le tirage au sort de la phase finale (voir l'annexe B.1.2.b du classement).
2. Autriche, 4 pts (2-1) (discipline : malus 3)
3. Suisse, 3 pts (2-2)
4. Islande, 0 pt (1-3)
- La France sera qualifiée avec un match nul. Si la France perd et l'Autriche aussi, la deuxième place se sera décidée grâce à la différence de buts globale, les buts marqués puis les critères disciplinaires. Si les deux équipes sont toujours à égalité, la France sera devant grâce à son coefficient.
- L'Autriche sera qualifiée avec un match nul ou en cas de défaite si la Suisse ne gagne pas. Si l'Autriche et la France sont à égalité de points, les deux nations seront départagées par la différence de buts globale, les buts marqués puis les critères disciplinaires. Si les deux équipes sont toujours à égalité, la France sera devant grâce à son coefficient.
- La Suisse sera qualifiée avec une victoire, éliminée avec tout autre résultat. Elle terminera première du groupe si elle s'impose et si l'Autriche ne gagne pas.
- L'Islande est éliminée et assurée de terminer quatrième du groupe.
LES CRITERES DE CLASSEMENT
En cas d'égalité de points de plusieurs équipes du même groupe à l'issue des matches de groupe de la phase finale, les critères suivants sont appliqués dans l'ordre indiqué pour établir leur classement :
a. plus grand nombre de points obtenus dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
b. meilleure différence de buts dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
c. plus grand nombre de buts marqués dans les matches du groupe disputés entre les équipes concernées ;
d. si, après l’application des critères a) à c), plusieurs équipes sont toujours à égalité, les critères a) à c) sont à nouveau appliqués exclusivement aux matches du groupe entre les équipes concernées afin de déterminer leur classement final. Si cette procédure ne donne pas de résultat, les critères e) à h) s’appliquent ;
e. meilleure différence de buts dans tous les matches du groupe ;
f. plus grand nombre de buts marqués dans tous les matches du groupe ;
g. total le plus faible de points disciplinaires sur la base uniquement des cartons jaunes et des cartons rouges reçus durant tous les matches du groupe (carton rouge = 3 points, carton jaune = 1 point, expulsion pour deux cartons jaunes au cours d'un match = 3 points) ;
h. position dans le classement par coefficient des équipes nationales féminines de l’UEFA utilisée pour le tirage au sort de la phase finale (voir l'annexe B.1.2.b du classement).
SUISSE - FRANCE
Breda (Rat Verlegh Stadion)
Arbitres : Katalin Kulcsár (Hongrie) assistée de Judit Kulcsár (Hongrie) et Ekaterina Kurochkina (Russie). 4e arbitre : Bibiana Steinhaus (Allemagne)
Coup d'envoi à 20h45
En direct sur France 3 et Eurosport
AUTRICHE - ISLANDE se joue également à 20h45
Les confrontations en matchs officiels
02/05/98 QCM France - Suisse : 3-0 (Pichon 4', Lattaf 8', 45')
04/10/97 QCM Suisse - France : 1-2 (Macheret 5' ; Lindegger 24' c.s.c., Lagrevol 32')
29/10/83 QCE Suisse - France : 0-0
07/05/83 QCE France - Suisse : 1-1 (Musset 27' ; Moser 50' s.p.)
Total confrontations amicaux inclus : 20 matchs, 12 victoires, 4 nuls, 4 défaites, 39 buts pour, 22 buts contre
Breda (Rat Verlegh Stadion)
Arbitres : Katalin Kulcsár (Hongrie) assistée de Judit Kulcsár (Hongrie) et Ekaterina Kurochkina (Russie). 4e arbitre : Bibiana Steinhaus (Allemagne)
Coup d'envoi à 20h45
En direct sur France 3 et Eurosport
AUTRICHE - ISLANDE se joue également à 20h45
Les confrontations en matchs officiels
02/05/98 QCM France - Suisse : 3-0 (Pichon 4', Lattaf 8', 45')
04/10/97 QCM Suisse - France : 1-2 (Macheret 5' ; Lindegger 24' c.s.c., Lagrevol 32')
29/10/83 QCE Suisse - France : 0-0
07/05/83 QCE France - Suisse : 1-1 (Musset 27' ; Moser 50' s.p.)
Total confrontations amicaux inclus : 20 matchs, 12 victoires, 4 nuls, 4 défaites, 39 buts pour, 22 buts contre
LA FRANCE
LA SUISSE