Wolfsbourg reçoit Lyon ce jeudi soir (20h15, Eurosport 2) avec la suprématie européenne en jeu. Finalistes l'an dernier, les deux équipes ont gardé les mêmes ambitions.
Actuellement 2e de son championnat, Wolfsbourg est un club toujours ambitieux. Titré deux fois sur le plan national, il a aussi glané deux Ligues des Champions (2013, 2014) avant de devoir se contenter ces deux dernières saisons de la Coupe d'Allemagne (2015, 2016). La faute notamment à Lyon qui au soir de la finale 2016 à Reggio Emilia en Ligue des Champions avait décroché le titre européen sur un tir au but décisif de Kumagai. Cette défaite, les joueuses de Wolfsbourg ne l'ont pas oublié et un esprit de revanche se sentira sur la pelouse de l'AOK Stadion, enceinte de quelques 5 000 places et qui devrait avoisiner les 4 000 spectateurs ce jeudi soir.
Cette rencontre sera l'occasion d'un choc franco-allemand mais aussi de retrouvailles avec la Française Bussaglia, la Suissesse Dickenmann dans les rangs allemands, Marozsan retrouvera une partie de ses partenaires de la sélection où elle est la capitaine. Une équipe allemande qui sera par contre privée de sa buteuse hongroise Jakabfi et de sa milieu de terrain Goessling. Pour Gérard Prêcheur, l'effectif au complet et étoffé depuis les huitièmes de finale avec les arrivées de Morgan, Buchanan et Henning. Wolfsbourg s'est attaché les services de la capitaine et attaquante danoise Harder. "Ils ont recruté de très bonnes joueuses. C’est la même chose pour nous" mais la philosophie reste la même pour Gérard Prêcheur avec des internationales en présence tellement nombreuses que les énumérer en devient long avec des allemandes, françaises, suédoises, belge, islandaise, suisse, danoises, canadienne, japonaise, norvégiennes, américaine et même australienne qui pourraient donc fouler la pelouse de ce choc.
Cette rencontre sera l'occasion d'un choc franco-allemand mais aussi de retrouvailles avec la Française Bussaglia, la Suissesse Dickenmann dans les rangs allemands, Marozsan retrouvera une partie de ses partenaires de la sélection où elle est la capitaine. Une équipe allemande qui sera par contre privée de sa buteuse hongroise Jakabfi et de sa milieu de terrain Goessling. Pour Gérard Prêcheur, l'effectif au complet et étoffé depuis les huitièmes de finale avec les arrivées de Morgan, Buchanan et Henning. Wolfsbourg s'est attaché les services de la capitaine et attaquante danoise Harder. "Ils ont recruté de très bonnes joueuses. C’est la même chose pour nous" mais la philosophie reste la même pour Gérard Prêcheur avec des internationales en présence tellement nombreuses que les énumérer en devient long avec des allemandes, françaises, suédoises, belge, islandaise, suisse, danoises, canadienne, japonaise, norvégiennes, américaine et même australienne qui pourraient donc fouler la pelouse de ce choc.
"Un très beau duel offensif"
Avec deux habiles techniciens sur le banc, il faudra peut-être s'attendre à des surprises au coup d'envoi comme le relevait Gérard Prêcheur qui n'a pas manqué de disséquer le jeu de son adversaire notamment lors des succès face au Bayern. Cela s'annonce en tout cas comme une rencontre offensive : "Les deux équipes aiment attaquer, ça va être un très beau duel offensif (...) Les entraîneurs des deux équipes sont encore là, avec la même philosophie de jeu, les mêmes orientations, les mêmes principes".
Un duel indécis et équilibré pour la capitaine lyonnaise Wendie Renard : "Si on regarde tous nos affrontements avec les clubs allemands, c’est du 50-50. On a perdu certaines fois et gagner d’autres. On reste sur un succès en finale face à Wolfsbourg. On connaît la mentalité des Allemandes, c’est toujours difficile de jouer contre elles. Maintenant, on en a aussi chez nous, elles nous donnent des conseils avant ce match. On devra être fortes collectivement pour faire un gros match là-bas". Gérard Prêcheur mise aussi sur la gestion de son effectif pour ces deux rencontres : "L’aspect physique aura son importance. On a eu la possibilité de gérer notre effectif avec nos nombreuses internationales".
Un duel indécis et équilibré pour la capitaine lyonnaise Wendie Renard : "Si on regarde tous nos affrontements avec les clubs allemands, c’est du 50-50. On a perdu certaines fois et gagner d’autres. On reste sur un succès en finale face à Wolfsbourg. On connaît la mentalité des Allemandes, c’est toujours difficile de jouer contre elles. Maintenant, on en a aussi chez nous, elles nous donnent des conseils avant ce match. On devra être fortes collectivement pour faire un gros match là-bas". Gérard Prêcheur mise aussi sur la gestion de son effectif pour ces deux rencontres : "L’aspect physique aura son importance. On a eu la possibilité de gérer notre effectif avec nos nombreuses internationales".
Les confrontations face aux clubs allemands : 4 victoires, 4 nuls, 3 défaites
Le groupe lyonnais