L'internationale canadienne fait le point depuis son arrivée à Lyon. Déjà reconnue sur le plan international, elle apprend quotidiennement au sein du qualitatif effectif lyonnais.
Qu'en pensez-vous de votre victoire ?
Je suis très contente du résultat. Montpellier est une très bonne équipe. Ils ont battu de grandes équipes ici. C’est donc un très bon résultat ici et de prendre les 3 points. Nous voulons être en tête du classement en fin de saison et c”est donc bien parti.
Que pensez-vous de l'équipe de Lyon ?
L’équipe est incroyable, il y a plein de personnalités différentes et c”est ce dont on a besoin dans une équipe. Des joueuses avec des caractères différents et des qualités différentes. Cela se ressent sur le terrain. Chacune amène ses qualités propres dans le jeu. C’est super d’avoir une cohésion et un tel état d’esprit collectif.
Une autre des raisons pour lesquelles je suis partie à l ‘étranger est de devoir faire face a un challenge technique. Pour apprendre au niveau technique et tactique. Je sais que je suis en train de m’améliorer techniquement. Je ne suis pas au même niveau que les joueuses qui sont là depuis des années. Je viens du Canada et des États-Unis où le football est moins technique. J’apprends tous les jours et je donne le meilleur de moi-même.
Je suis très contente du résultat. Montpellier est une très bonne équipe. Ils ont battu de grandes équipes ici. C’est donc un très bon résultat ici et de prendre les 3 points. Nous voulons être en tête du classement en fin de saison et c”est donc bien parti.
Que pensez-vous de l'équipe de Lyon ?
L’équipe est incroyable, il y a plein de personnalités différentes et c”est ce dont on a besoin dans une équipe. Des joueuses avec des caractères différents et des qualités différentes. Cela se ressent sur le terrain. Chacune amène ses qualités propres dans le jeu. C’est super d’avoir une cohésion et un tel état d’esprit collectif.
Une autre des raisons pour lesquelles je suis partie à l ‘étranger est de devoir faire face a un challenge technique. Pour apprendre au niveau technique et tactique. Je sais que je suis en train de m’améliorer techniquement. Je ne suis pas au même niveau que les joueuses qui sont là depuis des années. Je viens du Canada et des États-Unis où le football est moins technique. J’apprends tous les jours et je donne le meilleur de moi-même.
"Il ne faut pas faire attention à la réputation flatteuse qu’on me donne"
Comment se passe votre adaptation à Lyon ?
J’adore la ville de Lyon. J’habite en centre ville, c’est très bien je peux me balader. Les gens sont sympa, je n ai pas eu de problèmes pour l”instant donc tout va bien.
Apprenez-vous le français ?
Oui j’ai démarré des leçons de français. C’est difficile (en français). Quand on utilise être ou avoir par exemple. On ne peut pas dire je suis 21 mais j’ai 21. Ce n’est pas la traduction naturelle de "I am 21". Je veux être alors que c’est avoir (rires) et quand on veut dire certains mots avec 2 consonnes et une voyelle, il faut les lier ensemble. Je suis donc en train d’apprendre et j’aime apprendre de nouvelles langues. Et comme je suis là pour deux ans et demi vous pourrez m’interviewer en français a la fin de mon séjour.
Quel avis avez-vous sur la réputation que l'on vous donne ?
Il ne faut pas faire attention à la réputation flatteuse qu’on me donne, sinon on ne joue plus son jeu naturel. C’est pour cela que les gens vous connaissent, par votre jeu, pas parce que vous êtes Kadeisha Buchanan. On ne peut pas se poser sur un piédestal, sinon on ne peut pas jouer à son meilleur niveau.
Vous partez jouer l'Algarve Cup avec votre équipe nationale. Un mot sur ce tournoi ?
L’Algarve sera une compétition meilleure que l’an passé, avec le Japon, la Suède, l'Australie et la Norvège. Je crois que plusieurs de mes coéquipières lyonnaises seront dans le même avion que moi et on pourra en parler. C’est un super tournoi et je suis très heureuse de retrouver mon équipe nationale car je n’ai pas joué depuis les Jeux Olympiques.
Vous faites partie désormais des joueuses les plus anciennes en sélection ?
Je crois que c’est un phénomène normal et régulier avec notre équipe nationale. On démarre une nouvelle année et un nouveau cycle. On a maintenant 3 ou 4 ans pour intégrer de nouvelles joueuses. C’était la même chose pour moi quand je suis arrivée très jeune, j’étais la benjamine de l’équipe et 4 ans plus tard, je suis l’une des plus anciennes. C'est donc très naturel d’avoir des jeunes joueuses en équipe nationale canadienne et elles seront prêtes pour la prochaine coupe du monde en France.
A Montpellier,
Sylvain Jamet
J’adore la ville de Lyon. J’habite en centre ville, c’est très bien je peux me balader. Les gens sont sympa, je n ai pas eu de problèmes pour l”instant donc tout va bien.
Apprenez-vous le français ?
Oui j’ai démarré des leçons de français. C’est difficile (en français). Quand on utilise être ou avoir par exemple. On ne peut pas dire je suis 21 mais j’ai 21. Ce n’est pas la traduction naturelle de "I am 21". Je veux être alors que c’est avoir (rires) et quand on veut dire certains mots avec 2 consonnes et une voyelle, il faut les lier ensemble. Je suis donc en train d’apprendre et j’aime apprendre de nouvelles langues. Et comme je suis là pour deux ans et demi vous pourrez m’interviewer en français a la fin de mon séjour.
Quel avis avez-vous sur la réputation que l'on vous donne ?
Il ne faut pas faire attention à la réputation flatteuse qu’on me donne, sinon on ne joue plus son jeu naturel. C’est pour cela que les gens vous connaissent, par votre jeu, pas parce que vous êtes Kadeisha Buchanan. On ne peut pas se poser sur un piédestal, sinon on ne peut pas jouer à son meilleur niveau.
Vous partez jouer l'Algarve Cup avec votre équipe nationale. Un mot sur ce tournoi ?
L’Algarve sera une compétition meilleure que l’an passé, avec le Japon, la Suède, l'Australie et la Norvège. Je crois que plusieurs de mes coéquipières lyonnaises seront dans le même avion que moi et on pourra en parler. C’est un super tournoi et je suis très heureuse de retrouver mon équipe nationale car je n’ai pas joué depuis les Jeux Olympiques.
Vous faites partie désormais des joueuses les plus anciennes en sélection ?
Je crois que c’est un phénomène normal et régulier avec notre équipe nationale. On démarre une nouvelle année et un nouveau cycle. On a maintenant 3 ou 4 ans pour intégrer de nouvelles joueuses. C’était la même chose pour moi quand je suis arrivée très jeune, j’étais la benjamine de l’équipe et 4 ans plus tard, je suis l’une des plus anciennes. C'est donc très naturel d’avoir des jeunes joueuses en équipe nationale canadienne et elles seront prêtes pour la prochaine coupe du monde en France.
A Montpellier,
Sylvain Jamet