Depuis sa prise de fonction, le nouveau sélectionneur des Bleues a entrepris une visite des structures des douze clubs de D1 et assiste aussi à des rencontres chaque week-end.
Albi, Lyon, Juvisy, Rodez, Montpellier, tour à tour, l'ancien joueur professionnel découvre les clubs de la D1 féminine et leur structuration. L'occasion de mieux s'imprégner du football féminin d'élite dans l'Hexagone et de voir aussi les disparités des structures.
"Mon but est de me présenter aux clubs et aux joueuses mais aussi de mieux connaître l'environnement dans lequel elles travaillent. Je veux me donner le temps d'être proche de l'ensemble d'entre elles, de façon à recueillir les messages qu'elles souhaitent faire passer et, dans le sens inverse, à diffuser les miens. Venir les voir hors contexte de match permet également de les observer dans un cadre plus calme, sans la pression de la compétition", indiquait Olivier Echouafni, lundi dernier lors de son passage au domaine de Vabre, près de Rodez. La veille, il avait assisté à la rencontre entre Albi - Juvisy. Car à chaque journée de championnat depuis sa reprise de fonction, il est aussi en observation.
"Mon but est de me présenter aux clubs et aux joueuses mais aussi de mieux connaître l'environnement dans lequel elles travaillent. Je veux me donner le temps d'être proche de l'ensemble d'entre elles, de façon à recueillir les messages qu'elles souhaitent faire passer et, dans le sens inverse, à diffuser les miens. Venir les voir hors contexte de match permet également de les observer dans un cadre plus calme, sans la pression de la compétition", indiquait Olivier Echouafni, lundi dernier lors de son passage au domaine de Vabre, près de Rodez. La veille, il avait assisté à la rencontre entre Albi - Juvisy. Car à chaque journée de championnat depuis sa reprise de fonction, il est aussi en observation.
Après avoir débuté sa tournée le 6 octobre dernier à Albi, l'ancien joueur professionnel de l'OM, Rennes ou encore de Nice veut passer un message : "C'est bien les 12 clubs de D1 que je vais rencontrer en leur expliquant qu'il n'y a pas que les gros" ajoutant que la "porte de l'équipe de France était ouverte. Tout est question de performance". Ces visites sont aussi l'occasion de faire un état sur le chemin à parcourir pour rendre le championnat plus compétitif d'ici la Coupe du Monde 2019 : "Il y a des choses à améliorer, du point de vue de la logistique, de la récupération ou de l'approche physique ou psychologique. Il faut également que le championnat soit plus homogène car c'est de lui que viendra la clé. Lyon, par exemple, a tendance à recruter des joueuses chez ses concurrents directs, ce qui ne renforce pas le niveau de la D1" a souligné le sélectionneur.