Interrogée par sports-auvergne sur les sollicitations pour devenir sélectionneur qu'a connues l'ex-capitaine des Bleues, l'actuelle entraîneur de Clermont Foot est revenue sur le sujet
En quête d'un successeur à Philippe Bergerôo, le Président de la FFF Noël Le Graët avait fait de Corinne Diacre, son premier choix. Mais celle qui a déjà connu la sélection comme joueuse et entraîneur-adjointe n'était pas prête à quitter le club qui lui a permis de se lancer au niveau professionnel : "Je suis bien ici (ndlr : à Clermont Foot), et je sais ce que je dois à mon président. Je n'ai pas terminé ma mission. Beaucoup de choses se mettent en place au club. A mon arrivée ici, je voulais m'inscrire dans la durée, et je n'ai pas changé d'avis" déclarait-t-elle sur sports-auvergne.fr. sports-auvergne.fr
Sollicitée dès la mi-août et le retour du Président de la FFF en France, après l'élimination des Bleues aux JO, elle n'a pas nié un éventuel intérêt mais évoquer un timing qui n'était pas bon : "C'est flatteur, mais les choses arrivent toujours quand on n'en a pas besoin". Corinne Diacre a aussi reconnu qu'après l'éviction de Bruno Bini, elle attendait cette place qui avait été préparée en étant alors adjointe. Mais les choses avaient pris une autre tournure à l'été 2013 : "Cette opportunité m'a fait moins réfléchir que si elle s'était présentée il y a trois ans. A l'époque, j'étais programmée pour ça, mais d'autres choix ont été faits. Je les ai respectés, aussi je trouve logique qu'on respecte le mien aujourd'hui" a-t-elle ajouté à ce même média.
En contrat jusqu'en 2018 avec Clermont Foot, on relèvera que le contrat d'Olivier Echouafni est aussi jusqu'à ce même été 2018. Peut être pas un hasard
>> L'ARTICLE DE SPORTS-AUVERGNE
Sollicitée dès la mi-août et le retour du Président de la FFF en France, après l'élimination des Bleues aux JO, elle n'a pas nié un éventuel intérêt mais évoquer un timing qui n'était pas bon : "C'est flatteur, mais les choses arrivent toujours quand on n'en a pas besoin". Corinne Diacre a aussi reconnu qu'après l'éviction de Bruno Bini, elle attendait cette place qui avait été préparée en étant alors adjointe. Mais les choses avaient pris une autre tournure à l'été 2013 : "Cette opportunité m'a fait moins réfléchir que si elle s'était présentée il y a trois ans. A l'époque, j'étais programmée pour ça, mais d'autres choix ont été faits. Je les ai respectés, aussi je trouve logique qu'on respecte le mien aujourd'hui" a-t-elle ajouté à ce même média.
En contrat jusqu'en 2018 avec Clermont Foot, on relèvera que le contrat d'Olivier Echouafni est aussi jusqu'à ce même été 2018. Peut être pas un hasard
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