Quart de finaliste des Jeux Olympiques avec la Chine, Bruno Bini vient de prolonger avec la sélection jusqu'en 2020 après une année probatoire à la tête des Roses d'Acier
"On a tiré le maximum du potentiel actuel, et je n’ai jamais vu un groupe puiser autant dans ses réserves pour tenir un match" a déclaré Bruno Bini sur lesfeminines.fr après la défaite en quart face à l'Allemagne (0-1). Le sélectionneur français arrivé à l'automne dernier à la tête de la sélection l'avait qualifié pour les JO dès le mois de mars dernier, sortant notamment le Japon de la course.
Son contrat prévoyait une première année probatoire qui arrivait à échéance à la rentrée 2016, avec un terme fixé en 2019, année de la Coupe du Monde en France. La fédération chinoise y a finalement ajouté une année de plus, permettant ainsi d'aller tenter l'aventure jusqu'aux prochains Jeux à Tokyo en 2020.
Les JO restent un bilan positif pour la Chine (12e au classement FIFA) qui après une défaite face aux Brésiliennes (0-3, 8e au classement FIFA), a su éviter le piège face à l'Afrique du Sud (2-0) et tenir la Suède en échec (0-0). Elle n'a cependant rien pu faire face à l'équipe allemande, plus physique, et qui a joué en supériorité numérique durant près de 40 minutes décrochant sa victoire à un quart d'heure de la fin. Les Chinoises auraient cependant pu revenir à 1-1 sur penalty. "Cela n’aurait pas tenu de l’exploit mais du miracle" a souligné Bruno Bini, qui va continuer avec l'aide de la Fédération à investir plus dans la sélection.
Avec lesfeminines.fr
Son contrat prévoyait une première année probatoire qui arrivait à échéance à la rentrée 2016, avec un terme fixé en 2019, année de la Coupe du Monde en France. La fédération chinoise y a finalement ajouté une année de plus, permettant ainsi d'aller tenter l'aventure jusqu'aux prochains Jeux à Tokyo en 2020.
Les JO restent un bilan positif pour la Chine (12e au classement FIFA) qui après une défaite face aux Brésiliennes (0-3, 8e au classement FIFA), a su éviter le piège face à l'Afrique du Sud (2-0) et tenir la Suède en échec (0-0). Elle n'a cependant rien pu faire face à l'équipe allemande, plus physique, et qui a joué en supériorité numérique durant près de 40 minutes décrochant sa victoire à un quart d'heure de la fin. Les Chinoises auraient cependant pu revenir à 1-1 sur penalty. "Cela n’aurait pas tenu de l’exploit mais du miracle" a souligné Bruno Bini, qui va continuer avec l'aide de la Fédération à investir plus dans la sélection.
Avec lesfeminines.fr