Actuellement en Italie pour y disputer un tournoi, la sélectionneure de l'équipe de France U16, Cécile Locatelli fait le point sur les deux premiers matchs et cette génération 2000.
Quels sont les premiers enseignements après deux matchs ?
Il y a de riches enseignements avec deux adversaires très différents. Sur le premier match contre les Anglaises, on a pu faire tourner pas mal de joueuses. Il y a eu des confirmations et des filles qui ont encore à travailler. Il se dégage en tout cas une ossature, cela nous a permis de construire une équipe pour ce deuxième match contre le Mexique.
Ce 0-0 vaut pour moi une belle victoire en terme de formations surtout parce qu'on a joué contre une équipe U17 qui s'est qualifié pour la Coupe du Monde et qui a perdu en finale en CONCACAF contre les Etats-Unis. On a su répondre avec de grosses valeurs mentales.
Même s'il ne faut jamais prétendre avoir tout réussi, je crois qu'on assiste à la construction d'un groupe avec l'intérieur duquel il y a des associations intéressantes qui se créent. Je pense avoir des joueuses qui s'expriment et un groupe qui monte en puissance. C'est intéressant d'avoir ce tournoi avec un troisième match qui va arriver après un jour de repos.
Il y a de riches enseignements avec deux adversaires très différents. Sur le premier match contre les Anglaises, on a pu faire tourner pas mal de joueuses. Il y a eu des confirmations et des filles qui ont encore à travailler. Il se dégage en tout cas une ossature, cela nous a permis de construire une équipe pour ce deuxième match contre le Mexique.
Ce 0-0 vaut pour moi une belle victoire en terme de formations surtout parce qu'on a joué contre une équipe U17 qui s'est qualifié pour la Coupe du Monde et qui a perdu en finale en CONCACAF contre les Etats-Unis. On a su répondre avec de grosses valeurs mentales.
Même s'il ne faut jamais prétendre avoir tout réussi, je crois qu'on assiste à la construction d'un groupe avec l'intérieur duquel il y a des associations intéressantes qui se créent. Je pense avoir des joueuses qui s'expriment et un groupe qui monte en puissance. C'est intéressant d'avoir ce tournoi avec un troisième match qui va arriver après un jour de repos.
"Le mental fait aussi la différence"
L'intensité et la répétition des matchs n'est-elle pas difficile à gérer ?
Le fait de jouer deux jours de suite, c'est difficile mais c'est intéressant aussi, cela permet de mettre les filles dans leurs derniers retranchements. Après on voit que le mental fait aussi la différence. Je dirais qu'à travers ce tournoi-là, on traite tout ce que l'on veut dans la continuité de la formation. C'est bien, car il y a certaines filles qui montrent des choses et d'autres qui arrivent dans le groupe et qui démontrent aussi des qualités.
Le dernier match sera dans la continuité ?
Cela sera l'Italie ou les Etats-Unis mais peu importe, je pense que ce sont deux bonnes équipes avec des qualités un peu différentes avec une équipe plus teigneuse pour l'Italie et plus physique pour les Etats-Unis. En tout cas, le niveau de toute la préparation de cette année avec le tournoi UEFA en février contre l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Ecosse, a été intéressant. Ce tournoi-là est aussi intéressant et n'oublions pas qu'il nous reste à la Nordic Cup. La Fédération et notamment Sandrine Soubeyrand nous a permis de bien travailler sur les U16 cette année pour livrer une bonne équipe, je l'espère, pour la saison prochaine avec les U17.
A Sevegliano,
Sébastien Duret
Le fait de jouer deux jours de suite, c'est difficile mais c'est intéressant aussi, cela permet de mettre les filles dans leurs derniers retranchements. Après on voit que le mental fait aussi la différence. Je dirais qu'à travers ce tournoi-là, on traite tout ce que l'on veut dans la continuité de la formation. C'est bien, car il y a certaines filles qui montrent des choses et d'autres qui arrivent dans le groupe et qui démontrent aussi des qualités.
Le dernier match sera dans la continuité ?
Cela sera l'Italie ou les Etats-Unis mais peu importe, je pense que ce sont deux bonnes équipes avec des qualités un peu différentes avec une équipe plus teigneuse pour l'Italie et plus physique pour les Etats-Unis. En tout cas, le niveau de toute la préparation de cette année avec le tournoi UEFA en février contre l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Ecosse, a été intéressant. Ce tournoi-là est aussi intéressant et n'oublions pas qu'il nous reste à la Nordic Cup. La Fédération et notamment Sandrine Soubeyrand nous a permis de bien travailler sur les U16 cette année pour livrer une bonne équipe, je l'espère, pour la saison prochaine avec les U17.
A Sevegliano,
Sébastien Duret